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Auteur/autrice : logistique

Cancer du sein : la survie après la maladie a nettement progressé et atteint maintenant 87 % !

1 femme sur 8 risque de développer un cancer du sein. Comme chaque année depuis 26 ans, l’association « Le Cancer du Sein, Parlons-en ! » organise « octobre rose », un mois de mobilisation, pour lutter contre le cancer du sein. Alors… Parlons-en ! 

En France, le cancer du sein reste le cancer le plus fréquent de la femme. En 2018, 58 459 nouveaux cas ont été diagnostiqués. C’est le cancer qui est le plus « mortel », en nombres, chez la femme mais les dépistages de plus en plus fréquents et la prise en charge de la maladie de plus en plus tôt ont significativement diminué le taux de mortalité : « la survie après traitement pour cancer du sein a nettement progressé, explique le Dr Anne Vincent-Salomon, médecin pathologiste MD, PhD service de pathologie et U934 INSERM Institut Curie à Paris. 9 femmes sur 10 en survivent (87% exactement à 5 ans), alors qu’il y a 25 ans, ce taux de survie était de 80%. » 

Le dépistage, la clé de la diminution du taux de mortalité 

Les dépistages de plus en plus fréquents ont permis une prise en charge de la maladie beaucoup plus précoce : « Le dépistage est primordial, précise le Dr Vincent-Salomon, lorsque des métastases de cancer du sein apparaissent, la survie n’est plus que de 26%. Il est donc urgent de poursuivre les efforts de recherche et d’encourager toutes les pistes d’innovation pour faire progresser la survie des femmes atteintes de cancer du sein métastatique. Soutenir la recherche et informer les femmes : ce sont les deux piliers de la lutte contre la maladie. » 

Le travail de la recherche est fondamental 

Les travaux entrepris par la recherche sont fondamentaux. Ils permettent de mieux comprendre les facteurs de risque : « C’est grâce à la recherche en épidémiologie que des équipes françaises ont mis en évidence le rôle de l’alcool dans le développement des cancers du sein, explique le Dr Vincent-Salomon. L’association « Le Cancer du Sein, Parlons-en ! » soutient également chaque année des projets audacieux visant à améliorer la qualité de vie des patientes. D’autre part, les traitements évoluent : « On développe des traitements ambulatoires moins lourds mais qui nécessitent un accompagnement soutenu des patientes.» En France, près de 58 000 nouveaux cas sont dépistés chaque année, il est impératif de continuer à se mobiliser ! 

Le cancer du sein en chiffres 

  • En France, avec près de 12 000 décès chaque année, le cancer du sein est le cancer qui génère le plus grand nombre de décès de femmes.
  • Dans plus de 8 cas sur 10, le cancer du sein touche des femmes âgées de 50 ans et plus.
  • Près de 50% des cancers du sein sont diagnostiqués entre 50 et 69 ans et environ 28% sont diagnostiqués après 69 ans.
  • Environ 10 % des cas de cancer du sein se manifestent chez les femmes âgées de moins de 35 ans.
  • 1% des cancers du sein concerne des hommes.
  • 5 à 10% seulement des cancers sont d’origine génétique et 85% sont sporadiques et isolés.
  • 50% des cancers du sein n’ont aucune cause identifiée.
  • En plus du risque de récidive du cancer au niveau du sein traité, une femme qui a eu un cancer du sein a un risque 3 à 4 fois plus élevé de développer un nouveau cancer du sein qu’une femme du même âge. Ce risque justifie un suivi régulier et prolongé.
  • S’il est dépisté à un stade précoce (c’est-à-dire à un stade peu avancé de la maladie), ce cancer peut être guéri dans 9 cas sur 10.

Gérer son stress : 3 conseils efficaces !

Difficile de vivre sans être stressé(e) dans une société où l’on nous demande d’être toujours plus performant(e) et où l’environnement est de plus en plus anxiogène… Si le stress peut être une réaction positive, il peut aussi s’avérer complètement paralysant. Le psychologue et psychothérapeute Erik Pigani a réalisé un « Petit cahier d’exercices pour rester zen dans un monde agité »*. Morceaux choisis.

Travail préalable avant de commencer les exercices qui permettent de gérer son stress

Munissez-vous d’un petit cahier. Votre travail de préparation va se décomposer en 3 phases : identification de vos « stresseurs », apprentissage du calme et prise de conscience de soi.

1re phase : identifier les « stresseurs » internes et externes

Les « stresseurs » internes peuvent être le manque de confiance en soi, la peur de l’échec, etc. Parmi les « stresseurs » externes, on trouve les transports en communs, les horaires de travail, etc.

2e phase : apprendre le calme

Le calme n’est pas inné en nous et sa définition diffère. On peut le trouver quand les enfants sont couchés, lorsqu’on a fini de travailler. Il convient de noter tout ce qui nous vient à l’esprit pour savoir l’identifier.

3e phase : prendre conscience de soi dans l’instant présent

Pour y arriver, on utilise « la technique du pot de miel ». L’idée est d’imaginer que l’on est plongé dans un énorme pot de miel, de choisir un acte que l’on fait de façon routinière, de façon mécanique et de l’exécuter en ralentissant nos mouvements comme si l’on était plongé dans un pot de miel. On expérimente ainsi un état de calme intérieur sur un exercice routinier. On pense à ce que l’on fait et l’on ralentit ses mouvements. Une minute par jour suffit.

Des exercices qui permettent de trouver le calme rapidement

L’idéal est de trouver, parmi tous les exercices, celui qui vous correspond le plus et qui vous permettra de trouver le calme rapidement. Erik Pigani en liste 14 dans son livre. Ce sont des petites techniques toutes simples qui aident à trouver le calme très rapidement : automassages, postures, mouvements, respirations contrôlées… Voici 3 exemples.

Vous sentez de la tension dans l’air

  • Mettez-vous debout, les pieds légèrement écartés, les bras relâchés.
  • Poussez légèrement votre bassin vers l’avant.
  • Respirez lentement, le plus profondément possible, en levant les épaules vers les oreilles et en serrant les poings. Ne forcez pas, ne vous brusquez pas et laissez les bras ballants.
  • Bloquez votre respiration cinq secondes et, d’un seul coup, soufflez rapidement en relâchant les épaules et les poings.
  • Faites ce mouvement de contraction décontraction huit fois.

Vous vous sentez oppressé(e)

  • Asseyez-vous confortablement, en tâchant de garder le dos droit et les deux pieds bien à plat au sol.
  • Posez vos mains sur votre ventre, un peu en-dessous du nombril.
  • Inspirez très lentement et profondément par le nez en détendant le ventre (comme s’il gonflait naturellement à chaque inspiration).
  • En expirant par la bouche, rentrez le ventre en le contractant légèrement. Concentrez-vous sur ce mouvement de respiration. Même s’il vous semble inhabituel, c’est pourtant un mouvement naturel.
  • Faites une vingtaine de respirations : l’effet relaxant est immédiat.

 Vous vous sentez stressé(e)

La « respiration de la paille » est une technique bien connue au Japon pour réguler le rythme cardiaque, faire baisser la tension, gérer le stress et évacuer les émotions négatives.

> Debout, les pieds légèrement écartés, la tête droite, inspirez lentement par le nez en laissant le ventre se gonfler.

> Expirez lentement par la bouche, comme si vous souffliez à travers une paille.

  • Inspirez lentement par le nez en vous concentrant sur vos épaules.
  • Expirez par la paille en relâchant les épaules.
  • Inspirez lentement en vous concentrant sur votre ventre.

> Expirez par la paille en relâchant complètement le ventre.

  • Inspirez lentement en vous concentrant sur votre mâchoire inférieure.
  • Expirez par la paille en relâchant le plus possible votre mâchoire inférieure.
  • Inspirez en vous concentrant à la fois sur vos épaules, votre ventre, votre mâchoire.
  • Expirez par la paille en relâchant vos épaules, votre ventre et votre mâchoire.

Répétez cet exercice cinq fois.

Les objets ont une grande utilité pour retrouver l’état de calme

« Je crois également beaucoup aux objets magiques, à savoir ici des objets reliés à l’état de calme. Cela peut être un stylo, un caillou, un morceau de tissu. Il suffit de toucher le vôtre pour provoquer en vous une réaction psychophysiologique immédiate de calme, et même de prendre du recul sur une ambiance stressante. On en revient à l’objet transitionnel, le doudou qui nous rassurait enfant, c’est la même logique », explique Erik Pigani.

Pour ne pas se laisser déborder par une émotion et rester zen – c’est-à-dire conscient de soi-même – il est nécessaire d’identifier et de nommer vos émotions. Dites-vous : « je ressens de la colère » et non « je suis en colère ». Cela peut vous paraître banal mais c’est primordial pour prendre une vraie distance face au stress.

*Publié chez Jouvence éditions

Les nouvelles sexualités : seniors, apps de rencontre, quels impacts sur la vie intime ?

Avec l’arrivée d’Internet et les progrès médicaux, le paysage de la sexualité s’est métamorphosé, notamment pour les seniors. Passé 60 ans, plus question de se mettre en retraite sous la couette !

« Au-delà de 70 ans, 54 % des hommes et 31 % des femmes déclarent avoir une activité sexuelle. »

Contrairement aux idées reçues, la ménopause ne signe pas l’arrêt du désir. Et l’arrivée du Viagra pour lutter contre les pannes sexuelles liées au vieillissement a été une vraie révolution. Ajoutez à cela l’arrivée d’internet qui a radicalement modifié les relations humaines et les modes de rencontres. En 50 ans, la sexualité des seniors a complètement évolué.

En 1970, le rapport Simon1 montrait qu’à peine plus de la moitié des plus de 50 ans avaient eu des relations sexuelles dans les douze derniers mois. Le chiffre tombait à 37 % des femmes et 53 % des hommes pour la période couvrant les quatre semaines précédant l’enquête statistique.

Des études plus récentes montrent que désormais 9 seniors en couple sur 10 ont eu des rapports au cours de l’année écoulée2. En 2015, la National Survey of Sexual Attitudes and Lifestyles (NATSAL), publiée dans le journal britannique Archives of Sexual Behavior allait dans le même sens3. L’étude montrait qu’au-delà de 70 ans, la vie amoureuse se poursuivait : 54 % des hommes et 31 % des femmes déclaraient avoir une activité sexuelle.

« La durée de la période sexuellement active s’est prolongée et la fréquence des rapports s’est accrue »

« Si l’on constate que la durée de la période sexuellement active s’est nettement prolongée et que la fréquence des rapports a augmenté, le mode de relation a lui également évolué » explique le docteur Antoine Faix, urologue à Montpellier, responsable du Comité d’andrologie et de médecine sexuelle de l’Association française d’urologie (AFU).

Pour lui, l’arrivée de traitements efficaces contre la dysfonction érectile a libéré la parole chez les patients : « Les hommes – y compris les plus âgés – n’hésitent plus à aborder le sujet en consultation. Cela a également obligé les médecins à se former et à s’informer pour apprendre à prescrire de nouvelles molécules et à accompagner les couples demandeurs d’une aide thérapeutique dans ce domaine. » Du côté des femmes, on aborde aussi la sexualité plus librement. Si la lubrification naturelle est moins abondante après la ménopause, il existe aujourd’hui des traitements naturels pour lutter contre la sécheresse vaginale et avoir une sexualité épanouie.

« La sexualité est un marqueur de bonne santé. Veiller au bien-être sexuel des seniors, c’est veiller à leur santé »

En 2018, l’Organisation mondiale de la Santé indiquait qu’avoir une sexualité épanouie permettait de vivre plus longtemps. De nos jours, tenir compte de la sexualité fait partie intégrante de la prise en charge de la santé. « Elle est à la fois un élément de diagnostic d’une maladie plus grave (diabète, affection cardiovasculaire, SAOS…) mais aussi une fonction à préserver, explique le docteur Antoine Faix. C’est a fortiori le cas en urologie où de nombreuses pathologies et certains traitements peuvent affecter la vie intime. Face à un senior en consultation, il est de règle de s’intéresser à sa vie intime et d’adapter le traitement en fonction de ses attentes en matière de sexualité. »

« Le net favorise les rencontres chez les seniors aussi ! »

« Aujourd’hui, chercher l’amour sur internet n’est plus tabou, ni pour les jeunes ni pour les anciens » constate le praticien. Bien au contraire, c’est à la mode. Il y a encore 20-30 ans, la principale cause de solitude chez les seniors était le veuvage. Les divorces et séparations sont beaucoup plus fréquents de nos jours et le nombre de seniors seuls désireux de débuter une nouvelle vie sentimentale est en croissance. Pour trouver chaussure à son pied, le clic d’ordinateur a bien souvent remplacé le thé dansant !

https://journals.openedition.org/gss/2165

Enquête sur le « Contexte de la Sexualité en France » (enquête CSF), menée entre octobre 2005 et mars 2006 à l’initiative de l’Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales.

https://www.lshtm.ac.uk/research/centres-projects-groups/natsal

Confinement et enfants à la maison : gardez la Zen attitude !

Depuis le début du confinement, les vidéos humoristiques mettant en scène des parents débordés se multiplient sur la toile. Et, si cela nous fait rire c’est parce que la réalité n’est souvent pas si éloignée. Un enfant qui ne tient pas en place et qui multiplie les crises. Des parents qui doivent télé-travailler, tout en assurant l’école à la maison, et qui finissent par craquer… Voici quelques conseils qui pourront vous aider à mieux vivre cette période avec votre progéniture. 

Être pédagogue : expliquer la situation

Le « non-dit » est très insécurisant pour l’enfant. Expliquez-lui la situation de façon transparente. Il existe des podcasts très intéressants que vous pouvez écouter avec eux. Cela peut être un support pour échanger. (cf. liste à la fin de l’article).
Il est également nécessaire que l’enfant comprenne que vous avez besoin de travailler et qu’ils doivent aussi faire des efforts. Ce n’est pas parce que vous êtes à la maison que vous pouvez être disponible pour eux toute la journée.

Instaurer un emploi du temps

À l’école, les journées sont rythmées par un programme précis. Faîtes en de même à la maison : instaurer un emploi du temps. Par exemple, devoirs le matin et temps libre l’après-midi, un temps de rangement, de lecture ou de dessin pour les plus petits. Il est important de se lever à la même heure tous les matins et de respecter un horaire de coucher. L’enfant est rassuré par un cadre.

Trouver des activités « plaisir » avec les enfants

Profitez de ce temps passé avec votre enfant pour partager des moments agréables avec lui. Des activités que vous n’auriez pas le temps de faire en temps normal. Pourquoi ne pas jouer à un jeu de société, leur faire la lecture ou encore participer ensemble à un entrainement de sport sur Youtube ? Vous pouvez aussi en profiter pour faire ensemble des activités créatives. Si vous manquez d’inspiration, il y a de nombreux exemples de DIY (Do it yourself) sur internet. En voici un : https://www.idkids.fr/enfant/loisirs-avec-les-enfants/diy-2 

Faîtes le plein de vitamines !

Pour booster votre système immunitaire, il en a bien besoin, misez sur la vitamine C.
Une complémentation alimentaire à base de Ginseng, pour son action énergisante, et à base de gelée royale pour son double effet anti-asthénique (contre la fatigue) et anti-bactérienne, peut aussi s’avérer intéressant.

Ne vous mettez pas la pression !

Nous faisons face à une situation exceptionnelle, les parents/grands-parents ne sont pas enseignants. Ne culpabilisez pas si vous ne venez pas à bout de la liste de devoirs distribuée par l’enseignant (surtout si cette liste est conséquente). L’important est que votre enfant garde un rythme et fasse son maximum, sans le dégoûter.

Nos suggestions de podcasts 

Améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de rhumatismes (et arthrite) grâce à la griffe du diable (harpagophytum)

L’arthrite et les autres types d’affections rhumatismales sont une des principales causes d’invalidité, et sont souvent associées à une mauvaise qualité de vie.Une étude a tenté d’évaluer l’efficacité de la prise d’harpagophytum et ses bienfaits (aussi appelée Griffe du diable) dans le traitement de l’arthrite et des autres types de rhumatismes.

Cette étude a été réalisée au Royaume-Unis, et a pris en considération un groupe de 259 patients, durant 8 semaines. L’efficacité de ce traitement a été évalué grâce à des échelles d’évaluation numériques, de l’indice d’arthrose des universités Western Ontario et McMaster (WOMAC) et de l’indice d’arthrose algofonctionnelle de la main. La tolérance au traitement a été mesurée par une échelle d’évaluation numérique, et la sécurité par auto-évaluation, analyse de sang et tests de la fonction hépatique.

Il a été constaté une amélioration statistiquement significative dans l’évaluation par les patients de la douleur globale, de la raideur et de la fonction. Ont également été soulevé des réductions significatives des scores moyen de douleur pour les douleurs à la main, au poignet, au coude, à l’épaule, à la hanche, au genou et au dos. Les mesures concernant la qualité de vie (évaluée grâce à une questionnaire dédié) ont été amélioré par rapport à la période pré-traitement. 60% des patients ont soit réduit, soit totalement arrêté les analgésiques concomitants.

L’harpagophytum, ou Griffe du diable, est donc une option thérapeutique sérieuse efficace et assez bien tolérée pour les affections rhumatismales dégénératives légères à modérées, permettant alors une meilleure qualité de vie.

Références :

Phytother Res . 2007 Dec;21(12):1228-33. doi: 10.1002/ptr.2288. – Mary Warnock, Douglas McBean, Andreas Suter, Jen Tan, Patricia Whittaker

L’efficacité de l’huile d’onagre sur les symptômes psychologiques de la ménopause

La ménopause peut avoir des effets dévastateurs psychologiques chez certaines femmes. Entre septembre 2018 et février 2019, en Iran, sur le principe de cures de 8 semaines, des femmes ont reçu au hasard 1000 mg de capsules d’huile d’onagre par jour ou un placebo correspondant.

Cette étude avait pour but de déterminer l’efficacité de l’huile d’onagre sur les symptômes psychologiques de la ménopause. Certaines de ces femmes recevaient des placebos, et d’autres les capsules d’huile d’onagre. 189 femmes sont arrivées à la fin de la cure de 8 semaines. Il a alors été défini un « score psychologique » pour chacune d’elle en le comparant à celui du début de traitement. Il a finalement été trouvé qu’une nette atténuation ressortait chez les femmes qui avaient pris le traitement à l’huile d’onagre.

Outre les bouffées de chaleur et les douleurs, qui auraient tendance à pousser à une baisse de moral, les troubles hormonaux peuvent également mettre la femme dans un état dépressif. Il est donc également très important, pour la santé mentale de ces femmes, de prendre en compte ces changements, et de tenter de les atténuer et les traiter au mieux.

Référence :

Menopause. 2020 Feb;27(2):194-198. doi: 10.1097/GME.0000000000001434

Impact of evening primrose oil consumption on psychological symptoms of postmenopausal women: a randomized double-blinded placebo-controlled clinical trial

Seyedeh Nazanin Sharif, Fatemeh Darsareh

Tarte aux myrtilles

Les myrtilles sont réputées pour leurs bienfaits sur la vision. En effet, elles associent Vitamine C et anthocyanidines, des ingrédients connus pour leurs effets bénéfiques sur la fatigue oculaire. Trioptec contient une forte teneur en myrtilles.

Vous aurez besoin de (tarte pour 8 personnes) :

–          1 pâte sablée

–          500g de myrtilles

–          20cl de crème fraiche

–          100g de sucre

–          3 œufs

–          De la poudre d’amande

Préparation :

–          Etaler la pâte dans un plat à tarte, la piquer avec une fourchette et la saupoudrer d’un peu de poudre d’amande

–          Garnir la pâte avec les myrtilles, et enfourner durant 15 minutes à 210°C

–          Mélanger dans un récipient la crème, les œufs et le sucre.

–          Verser sur les myrtilles, et enfourner de nouveau pendant 15 minutes à 210°C

Bon appétit !

L’intérêt des acides gras (Oméga 3) pour freiner la rétinite pigmentaire

La rétinite pigmentaire est une maladie génétique dégénérative de l’œil, ou des yeux, se manifestant par une perte progressive de la vision évoluant généralement vers une cécité.

Les acides gras, en général, et plus particulièrement l’acide docosahexaénoïque (ou DHA), sont essentiels à l’intégrité des cellules photoréceptrices et sont impliqués dans la lutte contre la progression de la maladie.

Une étude a été réalisée, permettant l’analyse des changements du profil des acides gras dans la rétine d’une souris afin de tenter d’identifier les facteurs de risque potentiels de dégénérescence rétinienne. Grâce à la méthode de Folch, les acides gras contenus dans les rétines de différentes souris ont été extraits et analysés par chromatographie (1).

La rétine d’une des souris a montré une diminution du nombre de rangées de photorécepteurs et des altérations de la morphologie de ceux-ci, par rapport aux rétines des autres souris. La quantité totale d’acides gras des rétines avec altération de la morphologie a chuté de 29,4% par rapport aux autres.

De ce fait, il a alors été démontré une corrélation positive entre la teneur rétinienne en acides gras et le nombre de rangées de photorécepteurs dans une rétine : il a été constaté que la teneur en acides gras spécifiques de la rétine a diminué avec la dégénérescence des photorécepteurs chez les souris atteintes de rétinite pigmentaire.

Ces acides gras pourraient alors être nécessaires à la viabilité des cellules photoréceptrices, et devraient être étudiés pour la conception de traitements thérapeutiques et de suppléments nutritionnels.

(1) La chromatographie est une technique séparative analytique et/ou préparative qui consiste à faire migrer les constituants à séparer sur une phase stationnaire immobile, à l’aide d’une phase mobile, liquide ou gazeuse, de nature différente.

Références : 

2021 Jun 10;209:108667. doi: 10.1016/j.exer.2021.108667. Online ahead of print.

María José Ruiz-Pastor, Oksana Kutsyr, Pedro Lax, Nicolás Cuenca

Relation entre la concentration de mélatonine et la perturbation de l’horloge biologique chez les mères en post-partum

Le rythme circadien, communément appelé « horloge interne » ou « horloge biologique » peut parfois être perturbé, et cela est étroitement lié aux troubles de l’humeur chez les travailleurs de nuit par exemple. On retrouve le même type de situation pour les mères en post-partum. En revanche, leur situation est très méconnue du fait de l’absence d’un marqueur de phase circadienne approprié dans le cadre clinique.

Une étude a tenté d’évaluer si la concentration de mélatonine salivaire au réveil pouvait alors avoir un lien avec une perturbation entre l’heure du réveil et le système d’horloge biologique, notamment pouvant être associé à une humeur dépressive chez certaines mères.

Ont été recruté 98 jeunes mères, un mois après leur accouchement, en bonne santé, qui étaient, au moment de l’étude, les principales dispensatrices de soins parentaux. Elles ont toutes rempli l’échelle de dépression postnatale d’Edimbourg et ont porté une montre d’actigraphie chez elle durant 3 jours consécutifs afin de déterminer les potentielles variables de sommeil nocturne. Durant les périodes de réveil, les chercheurs ont également collecté des échantillons de salive afin de doser la concentration de mélatonine.

Les résultats ont alors indiqué que les niveaux de mélatonine salivaire après 30 minutes de réveil avaient un lien avec le temps d’endormissement. En revanche, cela n’était pas corrélé au temps de sommeil décalé ou le temps total de sommeil.

6 mères qui avaient un score extrêmement bas à l’échelle de dépression postnatale d’Edimbourg (9 = valeur seuil pour les femmes japonaises à haut risque de dépression postnatale) avaient un niveau moyen de mélatonine durant les 3 jours (inférieur à 4 pg/ml ou supérieur à 16pg/ml). Les mères qui avaient un niveau de mélatonine supérieur à 16pg/ml avaient, en revanche, un temps d’endormissement plus tardif, et une durée de sommeil nocturne plus courte.

Il en a alors été conclu que les niveaux élevés/bas de mélatonine pouvaient permettre une prédiction significative des scores à l’échelle de dépression postnatale d’Edimbourg. Cela suggère donc que des niveaux élevés de mélatonine après 30 minutes de réveil pourraient indiquer un rythme circadien à retard de phase chez les mères en post-partum, mais aussi que des niveaux de mélatonine relativement plus élevés ou plus faibles pourraient être associés à une humeur dépressive accrue.

Références :

2021 Jun 8;1-12. doi: 10.1080/07420528.2021.1930028. Online ahead of print. – Naoko Kudo, Hitomi Shinohara, Satoko Kagabu, Hideya Kodama

Clafouti aux raisins

Le raisin aurait des bienfaits sur les yeux, et sur la santé en générale ! En effet, en plus de stimuler la circulation sanguine, il agit contre le stress oculaire et prévient les maladies des yeux liées à l’âge. Découvrez Corvitec, à l’extrait de pépins de raisin.

Pour 6 personnes

Vous aurez besoin de :

  •          450g de raisins blancs et noirs
  •          40cl de lait
  •          180gr de sucre semoule
  •          100g de farine
  •          4 œufs
  •          20g de sucre vanillé
  •          1 noisette de beurre

Préparation :

  1.        Préchauffez votre four à 180°C (th.6)
  2.        Dans un saladier, mélangez les œufs, le sucre et le sucre vanillé. Fouettez bien, et ajoutez petit à petit le lait, jusqu’à obtention d’une pâte homogène.
  3.        Lavez et égrainez les raisins, puis disposez-les dans un moule à tarte beurré.
  4.        Versez la pâte par-dessus.
  5.        Enfournez pendant environ 40 minutes
  6.        Laissez bien refroidir avant de servir.