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Auteur/autrice : logistique

Un Français sur deux souffre de rhumatisme !

Aie ! Les résultats d’un sondage Ifop réalisé en 2016 révèlent que 93 % des Français déclarent avoir souffert de douleurs articulaires. Un sur deux en souffre au moment de l’enquête. Et surprise ! Parmi eux, un tiers a entre 18 et 24 ans !

Halte aux idées reçues ! On associe volontiers rhumatisme et personnes âgées. En réalité, ce terme qui désigne l’ensemble des douleurs articulaires chroniques touche un français sur deux ! Et un tiers ont entre 18 et 24 ans ! C’est ce que révèle une enquête IFOP réalisée pour l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) et l’association « Ensemble contre les rhumatismes ». Plus édifiant encore, le sondage dévoile que 93 % des Français déclarent avoir déjà souffert de douleurs articulaires.  

Découvrez les bienfaits de l’harpagophytum pour réduire les douleurs articulaires


Parmi les Français touchés par les douleurs articulaires, 74 % citent un impact négatif sur le quotidien. 2 sur 3 reconnaissent mal dormir à cause des douleurs. Près de la moitié (56 % exactement) se sent gêné dans la pratique de leurs loisirs et 1 sur 3 (30 % pour être précis) est affecté dans sa vie professionnelle !
Le Pr Francis Berenbaum, de l’Inserm, précise que « les maladies articulaires qui entravent la mobilité sont une cause majeure d’arrêts de travail. Elles peuvent accentuer le risque de maladies cardiovasculaires et de cancers en raison de la sédentarité qu’elles entraînent ».
L’Inserm préconise de ne pas céder à l’immobilité, mais de pratiquer une activité physique adaptée lorsque l’on souffre de rhumatisme (lire notre prochain article sur les sports à privilégier et les gestes à adopter pour lutter contre les raideurs articulaires).

Découvrez aussi les plantes qui peuvent soulager vos douleurs articulaires.


Le sujet est d’importance. À l’échelle européenne, un quart de la population, soit plus de 120 millions de personnes, est touché par des troubles musculo-squelettiques (lombalgies, cervicales, tendinites, arthrose de la hanche ou du genou, ostéoporose…). Cela représente la plus grande cause de handicap dans la région européenne, d’après l’OMS-Europe.
De quoi continuer à inciter les Français à agir dès le plus jeune âge pour préserver leur capital articulaire (lire notre prochain article « Manger mieux pour se sentir mieux »).

Arthrose, arthrite, rhumatisme : quels maux sous ses mots ?

L’arthrose et l’arthrite sont deux pathologies de la famille des rhumatismes qui concernent les articulations et qui entraînent des douleurs articulaires. Mais il ne faut pas les confondre. Elles sont bien différentes !

On confond souvent l’arthrose et l’arthrite. En effet, ces deux maladies concernent les articulations et entraînent toutes deux des douleurs parfois invalidantes. Pourtant, elles sont différentes : l’arthrose est une pathologie dite « mécanique » alors que l’arthrite est une inflammation articulaire. Explications.

L’arthrose, une pathologie mécanique

L’arthrose est une altération mécanique du cartilage. C’est une pathologie souvent liée à l’âge : le cartilage articulaire s’abîme peu à peu jusqu’à disparaître et laisser les os à vif les uns contre les autres. Les articulations les plus touchées sont celles du genou, de la hanche ou de la colonne vertébrale. Il existe plusieurs facteurs qui expliquent l’apparition de la pathologie : les anomalies anatomiques, les traumatismes liés à une pratique sportive trop violente et la surcharge pondérale.
L’arthrose entraîne des douleurs lorsque l’on est en mouvement. Plus intenses en fin de journée, les douleurs s’apaisent avec la mise au repos de l’articulation et ne s’accompagnent pas de signes inflammatoires. L’arthrose qui touche 17 % de la population en France est une maladie chronique qui, une fois enclenchée évolue inexorablement.

L’arthrite, une inflammation articulaire

L’arthrite est tout à fait différente de l’arthrose : c’est une inflammation de l’articulation. L’inflammation entraîne la sécrétion de quinine, substance qui détruisent petit à petit l’articulation. Contrairement à l’arthrose, elle engendre des douleurs au repos, en particulier en fin de nuit. Ces douleurs peuvent s’estomper lors d’une activité physique. Elle touche principalement les articulations des pieds et des mains. L’arthrite se caractérise par un niveau d’inflammation très élevé qui concerne la membrane synoviale. L’arthrite peut avoir une cause infectieuse, immunitaire ou métabolique. La déformation de l’articulation s’accompagne d’échauffements et/ou de rougeurs locales. L’arthrite regroupe un ensemble de maladies inflammatoires plus rares, plus intenses, plus graves et touchent des patients plus jeunes. Elle a bénéficié au cours des dix dernières années de progrès thérapeutiques significatifs qui permettent de ralentir et même de prévenir son évolution et de sauver des vies. Encourageant !

Le safran, l’or rouge déstressant

Utilisé en Orient comme plante médicinale dans l’antiquité pour aider au bien-être mental puis tombé dans l’oubli, le safran et ses vertus apaisantes reviennent en force en occident.

Le safran, un stimulant psychique et déstressant

La légende remonte à la nuit des temps. En Orient, le safran tiré de trois filaments (ou stigmates) du pistil du Crocussativus était censé apporter gaieté et sagesse. C’est la raison pour laquelle le vêtement des moines bouddhistes serait de cette couleur. Les propriétés du safran comme stimulant psychique et déstressant sont petit à petit tombées dans l’oubli, jusqu’à ce que des études récentes viennent réhabiliter l’épice.

Le safran, une solution naturelle

Sans être qualifiable de médicament, le safran est une solution naturelle et sans effets secondaires pour aider à lutter contre la dépression. Des essais cliniques ont en effet confirmé l’effet positif de l’épice sur l’équilibre émotionnel et le système nerveux. Le safran est un tonique psychologique qui favorise le bon fonctionnement des neuromédiateurs cérébraux, source de bien-être mental.

Safran, un atout minceur

Cerise sur la paëlla ! Le safran serait un atout minceur et aiderait à lutter contre les effets du temps. Les principes actifs de l’épice provoqueraient un sentiment de satiété qui favoriserait la perte de poids. Et cet antioxydant naturel neutraliserait les radicaux libres, aidant ainsi à lutter contre les rides. Avec autant d’atouts et de richesses, le safran justifie bien son surnom…

Quand dépression rime avec saison…

Besoin de dormir, perte d’énergie, manque de concentration : lorsque l’hiver s’installe, on a parfois un petit coup de mou. Voici 3 conseils pour lutter contre la « déprime saisonnière » autrement appelée trouble affectif saisonnier (TAF).

En automne et pendant les mois d’hiver, il arrive que l’on soit légèrement déprimé. Cela peut être causé par une carence de lumière qui affecte l’organisme. Notre corps produit moins de sérotonine, une substance qui a une influence sur l’humeur. D’où un besoin de dormir croissant, une baisse de motivation, une somnolence durant la journée, des fringales fréquentes, une hypersensibilité au froid et un manque de concentration. Ces symptômes s’en vont généralement au printemps et en été. Mais en attendant les beaux jours, suivez nos recommandations pour lutter contre le blues hiverna.

Pour aller plus loin découvrez nos meilleures astuces pour ne plus être fatigué en hiver !

Ce que nous mangeons a une influence sur notre moral

  • Misez sur les légumes riches en vitamine B (pomme de terre, lentille, épinard) qui permettent de garder des réserves en énergie et sont indispensables au système nerveux.
  • Consommez des légumes verts, des céréales complètes, des légumes secs et de l’eau minérale riche en magnésium. Celui-ci contribue à lutter contre l’anxiété.
  • Optez pour les aliments riches en tyrosine, un acide aminé qui aide à combattre la fatigue et le stress. On le trouve dans les volailles, amandes, bananes, avocats, graines de sésame, fromages à pâte dure et le soja.

Offrez-vous un break

Rien de telle qu’une escapade à la mer, en forêt ou à la montagne pour recharger les batteries. La baisse de luminosité a une influence directe sur le moral. Une journée d’été apporte 100 000 lux tandis que l’éclairage à la maison émet seulement entre 50 et 100 lux. Alors sortez ! 

Couchez-vous tôt

Lorsque vous ne dormez pas bien, vous fragilisez vos défenses immunitaires. Veillez à vous coucher plus tôt que d’habitude pour dormir 7 heures par nuit. Le sommeil permet à l’organisme de se régénérer. Vite ! Une tisane et au lit !

Sécheresse intime et sexualité

Encore tabou, la sécheresse vaginale, concernerait plus d’une femme sur six. Et, à partir de 50 ans, une sur deux serait touchée ! Ce phénomène fréquent perturbe la sexualité du couple. On vous en parle.

Douleur, inconfort, perte de libido. Plus d’une femme sur six déclare souffrir de sécheresse vaginale. Conséquence d’un trouble de l’hydratation au niveau du vagin, ce phénomène, plus fréquent à la ménopause -mais qui touche aussi les jeunes femmes !- peut bouleverser l’intimité et l’harmonie sexuelle du couple.

« Lors des rapports sexuels, le manque de lubrification peut occasionner un inconfort, une sensation de brûlure, voire même parfois des douleurs, explique Dr Marie Msika Razon, médecin au Mouvement français pour le planning familial (MFPF) et à la maternité des Bluets à Paris, et si on laisse la gêne s’installer, la sécheresse vaginale peut, du coup, avoir un impact négatif sur la libido ».

Des causes multiples

Tout comme elle touche différentes femmes, les causes de la déshydratation du vagin peuvent être très différentes : « Cela peut être dû à un déséquilibre de la flore vaginale (suite à un stress, une infection, une hygiène excessive ou inadaptée, un traitement antibiotique, etc.) affirme le Dr Msika Razon, un déséquilibre hormonal chez la femme ménopausée, le plus souvent par carence en oestrogènes, peut engendrer une sécheresse. Chez les femmes plus jeunes, le manque d’hydratation du vagin est entre autres en rapport avec la grossesse, l’allaitement ou l’utilisation d’un contraceptif hormonal ».

Des solutions adaptées

Il est important d’en parler avec son médecin car de nombreuses solutions existent :

  • une hygiène adaptée : utiliser un savon doux, respectant la flore, éviter les toilettes excessives et les douches vaginales, porter des vêtements et des sous-vêtements non irritants…
  • des soins de confort : de nombreux traitements non hormonaux existent, localement ou par voie orale, comme les compléments alimentaires dédiés à la sècheresse vaginale. Ils améliorent l’hydratation de la muqueuse (les spécialités à base d’acide hyaluronique en particulier) et la qualité de la flore vaginale (les pré et probiotiques par exemple);
  • la contraception doit parfois aussi être repensée.
femme qui a mal au genou qui a besoin de plantes douleurs articulaires

Des plantes pour soulager vos douleurs articulaires

Les douleurs articulaires peuvent être très inconfortables et causer une gêne quotidienne. Prêle, harpagophytum, cassis, ortie blanche… Heureusement, il existe plusieurs plantes connues pour leurs propriétés anti-inflammatoires et analgésiques qui peuvent aider à soulager ces douleurs. Voici le guide des meilleures plantes pour soulager et prévenir les douleurs articulaires.  

Qu’est-ce qu’une douleur articulaire ? 

Par définition, une douleur articulaire aussi, scientifiquement appelée une arthralgie, est une sensation douloureuse au niveau d’une ou plusieurs articulations. Gêne au moment d’un mouvement, douleur lancinante ou ponctuelle… Ces dernières peuvent se manifester de plusieurs manières et vous handicaper au quotidien. L’arthralgie est un mal très fréquent touchant des millions de personnes, que ce soit à la suite d’un choc ou d’une pathologie longue durée. 

Pour bien comprendre les douleurs articulaires, il est important de comprendre le rôle et la constitution des articulations. Les articulations sont des zones du corps humain extrêmement sollicitées à cause de leur fonction de point de contact entre plusieurs os. Sans articulation, nous n’aurions aucune mobilité. 

Os, cartilage, tendons, membrane synoviale, capsule, muscles, liquide synovial et ligaments… Une articulation est constituée d’une structure complexe où chaque élément joue un rôle crucial, si l’un d’entre eux est enflammé ou endommagé, c’est la douleur articulaire assurée. 

Quelles sont les causes et origines des douleurs articulaires ?

Choc, mouvement répété, entorse ou encore usure due à l’âge… Une multitude de facteurs peuvent entraîner des douleurs articulaires. Plus précisément, en cas d’usure du cartilage dû à l’âge, on parle d’arthrose alors que pour une douleur suite à un choc ou une inflammation, on parle plutôt d’arthrite aiguë ou chronique.

Mais concrètement, comment se manifeste une douleur outre la sensation désagréable qu’elle entraîne ? Une douleur articulaire peut se manifester par une rougeur au niveau de la zone enflammée, ainsi que par un gonflement. En cas de manifestation de ce type et de douleur aiguë, nous vous recommandons de consulter un médecin afin qu’il mette en place le traitement adéquat. 

Gestion de la douleur articulaire pendant la ménopause. Consultez notre page dédiée à cette thématique !

Top 3 des plantes pour soulager les douleurs articulaires 

L’harpagophytum

Histoire & Bienfaits 

L’harpagophytum (harpon végétal en grec) autrement appelé la griffe du diable est une plante originaire de l’Afrique du Sud. Son surnom vient du fait que les griffes de ses fruits se fixent dans les parties molles des sabots des animaux et les blessent douloureusement. Pour l’homme en revanche, cette plante se révèle être très bénéfique. Notamment pour soulager les rhumatismes. « L’harpagophytum est un anti-inflammatoire naturel, précise le docteur Sylvette Desroches, elle agit sur les rhumatismes en réduisant l’inflammation et les douleurs. Elle diminue les raideurs articulaires et tendineuses et favorise la souplesse des muscles ». Grâce à leur action douce, les extraits de Griffe du diable peuvent être administrés pendant des semaines sans effet secondaire désagréable. Un vrai plus !

plante dans le desert d'harpagophytum bienfaits

Usage et posologie 

Vous l’aurez donc compris, l’harpagophytum est une solution anti-douleur articulaire sans danger pour la santé, bien au contraire. Néanmoins, elle est tout de même déconseillée aux femmes enceintes ou allaitantes et aux personnes souffrant de diabète et calculs biliaires. En effet, l’harpagophytum est reconnu pour faire baisser le taux de glucose dans le sang et augmenter la production de bile. 

Pour retrouver votre confort articulaire, nous vous recommandons de privilégier la prise de complément alimentaire dosé entre 1,5 à 6 g par jour pendant au minimum 3 mois. 

Vous êtes à la recherche d’un complément alimentaire à base de Prêle des champs efficace pour soulager les douleurs articulaires et renforcer vos articulations ?

Découvrez Algiflex, un complément alimentaire idéal pour protéger et soutenir vos articulations grâce à sa formule unique à base d’harpagophytum et de prêle des champs. Avec Algiflex dites adieu aux sensations désagréables. 

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Algiflex pour votre souplesse articulaire

Ce complément naturel favorise le renforcement du système locomoteur tout en préservant la souplesse et la santé de vos articulations grace à sa formule complète.

L’ortie blanche

Histoire & Bienfaits

Contrairement à la grande ortie, l’ortie blanche ne pique pas. Ses fleurs blanches permettent de la distinguer de sa cousine. Grâce à sa richesse minérale, elle aide à la consolidation du cartilage en traitement de fond. « Associé à un anti-inflammatoire comme l’harpagophytum, l’ortie blanche est un vrai reminéralisant, explique le docteur Desroches, cette plante est riche en silice, recommandée pour stimuler la production de collagène dans les os et les cartilages. De plus, elle aide à l’élimination de l’acide urique, très impliqué dans les troubles rhumatismaux ».

Usage et posologie 

L’ortie blanche est une solution sans danger, n’y contre-indication pour la santé. Notre astuce pour profiter de tous ses bienfaits, faire des tisanes avec les fleurs séchées le plus souvent possible. 

ortie blanche plantes douleurs articulaires

La prêle des champs

Histoire & Bienfaits 

La prêle des champs, de son nom scientifique Equisetum arvense, est une plante utilisée depuis des millénaires, elle est définie, comme une plante primitive, c’est-à-dire, qu’elle était présente bien avant l’arrivée de l’homme sur terre. Reminéralisante, diurétique, cicatrisante…. Elle est utilisée depuis l’antiquité pour ses nombreuses vertus sur l’organisme. 

Ce végétal est, d’ailleurs, tout particulièrement reconnu pour améliorer le confort articulaire, grâce à sa forte concentration en silice qui permet : 

  • de maintenir les os et les cartilages en bonne santé 
  • de favoriser la synthèse du collagène, une protéine indispensable dans les cartilages et les os.  
prêle des champs plantes douleurs articulaires

Usage et posologie 

Comme pour de nombreuses solutions de phytothérapie, la prise de complément alimentaire à base de prêle des champs est déconseillée aux femmes enceintes ou allaitantes et aux personnes souffrants de pathologies cardiaques ou rénales. De plus, si vous suivez un traitement médicamenteux, nous vous recommandons de demander l’avis de votre médecin pour éviter toute interaction.  

Pour profiter de tous les bienfaits de la prêle, nous vous recommandons de faire des cures d’au maximum 1 mois et de boire beaucoup d’eau. 

Sports et douleurs articulaires : lesquels privilégier, lesquels éviter ?

Le sport est un moyen précieux pour assouplir et solidifier les articulations. Il faut juste bien le choisir et ne pas trop forcer !
 

Plus on s’active, plus on lutte contre les raideurs articulaires !

Difficile de sortir du lit lorsqu’on a mal… Grave erreur ! Plus on s’active, plus on lutte contre les raideurs articulaires. « Plus les muscles sont solides, moins on sollicite les os, explique le docteur Raphael.S. Du coup, on se remet plus rapidement. Il ne faut pas surprotéger les articulations mais au contraire, toutes les solliciter et rester actif. C’est l’activité qui permet la lubrification des articulations ». Attention toutefois à privilégier des activités sportives adaptées !

Découvrez également quelles plantes peuvent soulager les douleurs articulaires.

Rien de mieux que les sports aquatiques !

Les sports pratiqués dans l’eau sont recommandés car ils ménagent bien les articulations. Comme l’eau porte, elle réduit la pression. La natation, l’aquajogging, l’aquagym sont des sports doux et très bénéfiques. Ils musclent tout en ayant un effet positif sur le système cardiovasculaire et le métabolisme.
« L’eau a un effet antalgique, relaxant et même apaisant psychologiquement : c’est le retour à la vie intra-utérine », explique le docteur Raphael.S.
Vite un maillot !

Attention aux sports violents !

Le football, le tennis, le squash ou encore la course à pieds sont autant de sports « violents » qui peuvent engendrer des blessures musculaires et articulaires. Elles sont d’ailleurs très fréquentes chez les sportifs de haut niveau. Les efforts répétés peuvent produire des lésions et la compétition peut provoquer des traumatismes importants. Des exercices de renforcement ainsi que la prise de compléments alimentaires naturels (voir notre article « Des plantes pour soulager les douleurs articulaires ») peuvent prévenir ces désagréments.

Vous l’aurez compris : sans tomber dans l’excès et en choisissant des activités sportives non traumatiques, s’activer permet de préserver et d’irriguer nos articulations. Bougeons !

8 conseils pour bien dormir !

Comment mieux dormir ? Une préoccupation qui concerne un Français sur trois. Voici des astuces, souvent très simples, qui peuvent vous aider à vous lever du bon pied !

Couchez-vous au bon moment

« Il est important de ne pas laisser passer le train, explique le Docteur Edmond Wolf, il faut écouter son corps et se coucher lorsque l’on se sent fatigué. Sinon on risque de laisser passer un cycle de sommeil et de devoir attendre 90 minutes à deux heures pour pouvoir s’endormir ».

Dans la mesure du possible, il faut se lever et se coucher à la même heure le plus régulièrement possible.

Faites du sport… mais pas trop tard le soir

Le sport permet de secréter des endorphines. Cela libère les tensions et favorise l’endormissement. Attention tout de même à ne pas pratiquer un sport trop tard le soir. En stimulant vos muscles, vous aurez plus de mal à vous endormir.

Ne buvez pas trop d’eau après 18 h

S’il est important de boire tout au long de la journée, il est conseillé de ne pas avaler des litres d’eau avant de vous coucher. Vous risquez d’être réveillé par votre vessie en pleine nuit !

Évitez les écrans

Les écrans (télévision, smartphone, ordinateur) émettent une lumière bleue proche de celle de la lumière du jour qui perturbe l’endormissement. Couper tout une demi-heure avant de vous coucher et détendez-vous plutôt avec un bon livre !

Dinez léger

Évitez de dîner trop riche et trop arrosé. Si l’alcool favorise l’endormissement, il perturbe ensuite le sommeil. Les repas lourds engendrent une digestion difficile et peuvent également avoir des répercussions sur le sommeil. Attention toutefois à ne pas sauter le repas du soir. Vous pourriez être réveillé par la faim. Privilégiez les aliments digestes comme les pâtes ou le riz. Et mangez au moins deux heures avant de vous coucher pour ne pas digérer allongé.

Évitez le café après 14 h

Dès l’après-midi, veillez à ne plus consommer de café où de thé. Ces deux boissons contiennent de la caféine, une substance excitante qui peut vous empêcher de dormir.

Des plantes pour un sommeil de meilleure qualité

Des compléments alimentaires à base de plantes sédatives comme la Valériane, la Mélisse et le Coquelicot ont l’avantage de favoriser l’endormissement et améliore la qualité du sommeil sans problème d’accoutumance.

Choisissez une bonne literie

Il est important de dormir sur un bon matelas plutôt ferme pour éviter les problèmes de dos. Sachez également qu’un matelas se change tous les dix ans. Qu’en est-il du vôtre ?

Un Français sur trois souffre de trouble du sommeil !

Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), un tiers de la population française est concernée par un trouble du sommeil. Préoccupant !

Le sommeil, c’est la santé ! 

Les médecins sont unanimes : le sommeil est essentiel pour être en bonne santé. « C’est le moment où l’organisme se régénère, explique le Docteur Edmond Wolf, une bonne nuit de sommeil a des répercussions positives sur la mémoire, l’apprentissage, le métabolisme et l’immunité ».
Malheureusement, les Français dorment de moins en moins bien. En moyenne, selon l’INSERM, ils dorment 1 heure 30 de moins qu’il y a 50 ans ! De plus, 45 % des 25-45 ans considèrent qu’ils dorment moins que ce dont ils ont besoin. Ils sont même 13% des 25-45 ans considèrent que dormir est une perte de temps.

Pourtant, il a été prouvé qu’une mauvaise qualité et quantité de sommeil accentue le risque d’irritabilité, les symptômes dépressifs mais aussi la prise de poids, l’hypertension ou les infections. En résumé : plus on est fatigué, plus on risque de tomber malade.

Découvrez également l’impact du stress sur la qualité du sommeil et la fatigue.

Une bonne nuit de sommeil, c’est 3 à 5 cycles de 90 minutes

« Ce qui est important, c’est de déterminer le temps de sommeil dont on a besoin, assure le Docteur Wolf, Il y a des gros dormeurs et des petits dormeurs. L’essentiel est de se sentir bien dans la journée ». Pour l’Inserm, certains n’auront besoin que de 3 cycles de 90 minutes pour bien récupérer quand d’autres en auront besoin de 5.

Et « Si l’activité professionnelle ne permet pas de dormir autant que nécessaire, il est important de pouvoir récupérer le week-end », précise le Docteur Wolf.

Pas une mais plusieurs insomnies

Il existe différents types de troubles du sommeil et d’insomnies : les ponctuelles et les chroniques. Certaines sont caractérisées par des difficultés d’endormissement, d’autres par des réveils nocturnes ou par la sensation de ne pas avoir récupéré. Les facteurs peuvent être internes (stress, traumatismes…) ou externes (usage d’écran, pratique tardive du sport…). Voir notre article «  8 conseils pour bien dormir  ».

Si l’insomnie perdure, il est important d’aller consulter.

Douleurs articulaires et ménopause

Mains qui craquent, genoux enflés, hanches douloureuses… La ménopause pointe le bout de son nez et avec elle, apparaissent les douleurs articulaires. Pas d’inquiétude, c’est le lot de bon nombre de femmes, mais de nombreuses solutions naturelles existent pour améliorer le quotidien. Nos experts vous expliquent tout. 

La ménopause : définition et symptômes

La ménopause est une phase de grand changement naturel pour le corps des femmes, elle apparaît généralement vers l’âge de 50 ans. Plus spécifiquement, la ménopause est le processus correspondant à l’arrêt du fonctionnement des ovaires et donc de l’ovulation, ainsi qu’à la diminution drastique du taux des hormones féminines comme les œstrogènes et la progestérone. 

Attention aux idées reçues, la ménopause ne vous tombe pas dessus du jour au lendemain. C’est un long processus qui se caractérise par de nombreux symptômes comme des règles irrégulières, des bouffées de chaleur, des troubles du sommeil ou encore des sautes d’humeur, on appelle cette période la pré ou péri-ménopause.

Traditionnellement, on dit qu’une femme est ménopausée au bout d’un an sans règle, à cette phase, les symptômes liés à la préménopause disparaissent, pour laisser apparaître d’autres désagréments liés à la disparition totale des œstrogènes, comme des douleurs articulaires et musculaires ou encore des migraines.

Pourquoi a-t-on plus de douleur au moment de la ménopause ? 

L’apparition de douleur au moment de la ménopause est principalement due au taux anormalement bas d’œstrogène. Cette hormone est principalement produite par les ovaires et joue un rôle essentiel sur le corps féminin, et ce, à de nombreux niveaux comme la peau, les muqueuses, le squelette, le système cardiovasculaire. À noter, cette hormone joue aussi un rôle d’anti-douleur indispensable au niveau des neurotransmetteurs du cerveau. 

Pourquoi est-ce que les femmes ménopausées ont des douleurs articulaires ? 

L’apparition de douleurs articulaires est un symptôme très fréquent au moment de la ménopause, 50 % des femmes en souffriraient. Douleur dans le genou, sensation d’être rouillé au réveil ou encore claquement intempestif au niveau d’une articulation, les douleurs articulaires liées à la ménopause se manifestent de nombreuses manières et peuvent être très handicapantes au quotidien, et ainsi dégrader la qualité de vie. 

Ces douleurs articulaires, aussi appelées rhumatismes de la ménopause, apparaissent surtout à la suite de la chute hormonale. En détail, à la ménopause, on observe sur les articulations : 

  • Un accroissement de la douleur, le message douloureux n’est plus aussi bien modulé au niveau du cerveau
  • Une perte de mobilité due à la diminution de la production de collagène et d’acide hyaluronique. 
  • Une dégradation du cartilage dû à la perte de chondrocyte

Les meilleures plantes contre les douleurs articulaires pendant la ménopause

Pas d’inquiétude, pour venir à bout de vos douleurs et retrouver une bonne qualité de vie, il est possible d’utiliser des plantes aux mille et une vertus, voici les plus efficaces : 

L’harpagophytum 

L’harpagophytum, aussi dite griffe du diable, est une plante herbacée très utilisée en phytothérapie pour ses propriétés anti-douleurs, anti-oxydantes et anti-inflammatoires. C’est, d’ailleurs, un allié de taille contre les douleurs articulaires, elle permettrait de réduire la dégradation du cartilage et limiterait les douleurs. 

Le cassis 

Afin de limiter tous les symptômes articulaires au moment de la ménopause, il peut être intéressant d’utiliser du cassis. En effet, les feuilles du cassissier sont particulièrement reconnues pour limiter la dégradation articulaire et favoriser le maintien d’une bonne mobilité grâce à leur richesse en flavonoïde. De plus, le cassis permettrait aussi au moment de la ménopause de prévenir la perte de densité osseuse et donc de diminuer les risques d’ostéoporose. 

La prêle des champs 

Cette plante est utilisée depuis des siècles pour ses nombreux bienfaits sur le corps humain. Mais elle est aujourd’hui principalement recommandée et utilisée en phytothérapie pour prévenir et soulager les douleurs articulaires grâce à sa richesse en silice. Elle permettrait, entre autres, de maintenir le cartilage en bonne santé et de favoriser la synthèse de collagène. Pour en savoir plus sur les bienfaits de la prêle pour soulager l’arthrose et les douleurs articulaires, consultez notre article dédié.

Lire également : Les plantes pour soulager les douleurs articulaires

Les solutions pour soulager ces douleurs 

Pour venir à bout des différents désagréments liés à la ménopause, il est possible de suivre un traitement médicamenteux à base d’œstrogène, suivant vos symptômes et leur intensité. Mais, il est aussi possible d’adapter son mode de vie pour une approche plus naturelle, nos experts vous expliquent tout : 

Utiliser des compléments alimentaires adaptés 

Vous l’aurez compris, pour soulager et prévenir l’apparition de douleurs trop importantes, il est conseillé de se supplémenter avec des compléments riches en actifs naturels comme l’harpagophytum ou la prêle des champs. Les compléments alimentaires permettront d’apporter les nutriments nécessaires à vos articulations. Gélules, comprimés ou encore solutions à boire, ces derniers se déclinent sous une multitude de formes pour répondre aux besoins du plus grand nombre. Bien évidemment, n’hésitez pas à demander conseil à votre médecin traitant, il pourra vous prescrire le traitement le plus adapté pour passer une ménopause sereine. 

Notre coup de cœur : Algiflex. Ce supplément hautement dosé en principes actifs comme la prêle et l’harpagophytum aide à maintenir les articulations en bonne santé. 

Boire suffisamment d’eau 

L’eau est indispensable pour la bonne santé du corps humain, mais c’est aussi un partenaire important pour prévenir les douleurs articulaires, et ce, pas seulement au moment de la ménopause. En effet, un manque d’hydratation provoque une accumulation d’acide urique au niveau des articulations et des muscles, ce qui favorise l’inflammation de ces derniers. 

Pratiquer une activité sportive douce régulière

Faire une activité douce, non traumatisante pour les articulations, comme le yoga ou le stretching est idéale pour maintenir la souplesse articulaire et renforcer ces dernières. En détail, les cellules du cartilage sont nourries lorsqu’il est en mouvement. L’exercice favorise donc la bonne santé du cartilage

En conclusion, il existe de nombreuses approches pour soulager les douleurs articulaires au moment de la ménopause. Il est important de maintenir une activité physique régulière, de consulter un médecin pour des traitements appropriés et d’utiliser les bons suppléments. En combinant ces différents aspects, il sera possible d’atténuer les douleurs et d’améliorer la qualité de vie pendant la ménopause.