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Auteur/autrice : logistique

Relation entre un régime alimentaire méditerranéen et le Syndrome de Sjögren

Le Syndrome de Sjögren est une maladie auto-immune qui déclenche notamment une sécheresse oculaire et buccale (et des muqueuses en général). Il a été évalué qu’un régime dit « méditerranéen » pouvait avoir des effets positifs sur cette maladie. 

Une étude publiée en août 2020 conclut qu’une alimentation riche en acides gras essentiels et anti-oxydants (régime dit méditerranéen) protège des sécheresses des muqueuses

Entre 2014 et 2018, à Birmingham au Royaume-Uni, ont été recrutés des participants atteints du Syndrome de Sjögren, et certains non-atteints. Il leur a alors été demandé de remplir des questionnaires concernant leurs habitudes alimentaires avant l’apparition des symptômes de la maladie. En prenant en compte certains critères tels que l’indice de masse corporelle, le sexe, l’âge, le statut tabagique et la durée des symptômes dus au Syndrome de Sjögren.

Pour 55% des patients, la consommation d’un régime méditerranéen a été associé à une probabilité plus faible de déclencher le Syndrome de Sjögren. Les associations les plus fortes ont notamment été observée avec le poisson, les équivalents de vitamine A, et de vitamine C.

Il en a été conclu que l’adhésion à un régime alimentaire méditerranéen était alors associée à une plus faible probabilité d’avoir le Syndrome de Sjögren.

Références :

Mediterranean diet and risk of Sjögren’s syndrome Clin Exp Rheumatol. Jul-Aug 2020;38 Suppl 126(4):216-221. Epub 2020 Oct 23.

Aleksander Machowicz 1, Isaac Hall 1, Paola de Pablo 2, Saaeha Rauz 3, Andrea Richards 4, Jon Higham 4, Ana Poveda-Gallego 5, Fumiaki Imamura 6, Simon J Bowman 2, Francesca Barone 2, Benjamin A Fisher 7

La qualité de l’alimentation pourrait-elle avoir un impact sur le Syndrome Prémenstruel (SPM) des adolescentes ?

Il a été prouvé que l’alimentation d’une femme adulte peut influer sur la gravité des symptômes de son SPM. En revanche, aucune étude n’avait encore été effectuée concernant l’influence que cela pourrait avoir sur les adolescentes.

Une étude a alors été réalisée afin d’estimer la relation entre la qualité de l’alimentation et la sévérité des symptômes du Syndrome Prémenstruel chez les adolescentes. Elle a été menée dans un lycée, auprès de 272 étudiantes âgées de 13 à 18 ans. A l’aide de l’échelle du syndrome prémenstruel, leurs symptômes ont été enregistrés durant 2 mois consécutifs. Ont été étudiés à la fois l’apport alimentaire et la qualité de l’alimentation de cet échantillon. Des mesures anthropométriques ont également été prises ainsi que le poids corporel, la taille, le tour de taille et le tour de hanches.

56,9% des étudiantes de cet échantillon a été diagnostiqué comme souffrant de SPM. Le score moyen de la qualité de l’alimentation des adolescentes atteintes de syndrome prémenstruel était significativement plus élevé que celui du groupe sans symptômes. L’intensité des symptômes du syndrome prémenstruel tels que l’anxiété, les symptômes dépressifs, et les troubles du sommeil étaient corrélés à des scores de qualité de l’alimentation plus bas. En revanche, aucun changement dans les mesures anthropométriques n’a été observée.

Cette étude a mis en évidence qu’une adolescente ayant une alimentation de haute qualité pourrait ressentir des symptômes de SPM (tels qu’anxiété, dépression ou changement du sommeil) moindres que celles ayant une alimentation de plus mauvaise qualité. Cependant, d’autres études devraient être effectuées afin de déterminer le potentiel lien entre la qualité de l’alimentation et la gravité des symptômes du syndrome prémenstruel chez les adolescentes.

Références :

Diet quality in adolescents with premenstrual syndrome : A cross-sectional study

Kubra Isgin-Atici, Nuray Kanbur, Sinem Akgül, Zehra Buyuktuncer

Nutr Diet. 2020 Jul;77(3):351-358. doi: 10.1111/1747-0080.12515. Epub 2019 Feb 6.

Peut-on faire un lien entre l’hygiène alimentaire et le Syndrome Prémenstruel (SPM) ?

Le Syndrome Prémenstruel (ou SPM) est un trouble psychologique et somatique touchant de nombreuses femmes, selon leurs cycles. De nombreuses théories affirment que le régime alimentaire pourrait avoir un impact sur le syndrome prémenstruel d’une femme. Une étude a alors été réalisée afin de déterminer la relation entre les habitudes alimentaires et le syndrome prémenstruel.

Cette étude a été menée auprès de 225 femmes atteintes de syndrome prémenstruel et de 334 femmes en bonne santé, toutes âgées de 20 à 46 ans. Leurs habitudes alimentaires ont été collectées à travers un questionnaire sur les types d’alimentation de chacune.

Différents types d’alimentations ont été observés :

–          L’alimentation dite « occidentale » caractérisée notamment par la consommation de fast-food, de viandes transformées, et de sodas ;

–          L’alimentation dite « traditionnelle » définie par une grosse consommation d’œufs, de sauce tomate, de fruits et de viande rouge ;

–          L’alimentation dite « saine » riche en fruits sec, condiments et noix.

D’après cette étude, ce sont les personnes concernées par l’alimentation dite « occidentale » qui étaient plus susceptibles de souffrir de SPM. A l’inverse, les femmes concernées par une alimentation « saine » ou « traditionnelle » étaient très fortement touchées par le Syndrome Prémenstruel.

Références :

Dietary patterns are associated with premenstrual syndrome: evidence from a case-control study
2020 Apr;23(5):833-842. doi: 10.1017/S1368980019002192. Epub 2019 Oct 15.

Bahareh MoradiFili, Reza Ghiasvand, Makan Pourmasoumi, Awat Feizi, Farnaz Shahdadian, Zahra Shahshahan

Confinement et sommeil 

Manque de lumière, manque d’activité, consommation excessive d’écrans : autant de facteurs qui mettent à rude épreuve votre sommeil. Or, il est primordial de bien dormir pour renforcer notre système immunitaire et donc pour lutter contre le Covid-19. Voici 6 conseils pour préserver vos nuits.

1) Prenez le soleil

Restons chez nous, bien sûr ! Mais rester chez soi toute la journée a une influence sur votre sommeil. En effet, le manque de lumière naturelle réduit la sécrétion de mélatonine, l’hormone qui indique au corps qu’il faut aller se coucher. Ce qui perturbe nos rythmes biologiques internes. « Il est important de s’exposer à la lumière pendant une heure, explique le Docteur Edmond Wolf. Pour ceux qui n’ont pas la chance d’avoir un jardin, prenez le soleil à la fenêtre et profitez de l’heure autorisée de ballade ». Bien sûr, en veillant bien à garder vos distances avec les autres.

2) Couchez-vous et levez-vous à heures régulières

« Il est important d’aller se coucher et de se réveiller à heures régulières, conseille le Dr Wolf. Certes, l’homme a besoin de se reposer et de récupérer. Une demi-heure de sieste peut être bénéfique, mais pas plus ! Il faut veiller à garder un rythme pour avoir un sommeil de bonne qualité. » De plus, il est conseillé de ne pas « laisser passer le train », explique le Docteur Edmond Wolf. « Il faut écouter son corps et se coucher lorsque l’on se sent fatigué. Sinon, on risque de laisser passer un cycle de sommeil et de devoir attendre 90 minutes à deux heures pour pouvoir s’endormir. »

3) Faites du sport

Faire du sport favorise également l’endormissement et permet de lutter contre la déprime : « Les endorphines sécrétées pendant l’activité physique ont un rôle analgésique et antidépresseur », explique le Dr Wolf. Si vous êtes joggeur1, optez plutôt pour la tranche horaire du matin plutôt que celle du soir. Il est préférable d’arrêter l’activité physique 3 ou 4 heures avant de se coucher. D’autre part, en faisant du sport le matin, vous en aurez les bénéfices toute la journée.

4) Préférez la lecture aux écrans

Difficile de ne pas succomber à la tentation de regarder 5 épisodes d’affilée de votre série préférée. Notre petit plaisir pendant cette période de confinement. Et pourtant, il n’y a rien de pire pour le sommeil. Les experts sont unanimes : le binge watching (le visionnage boulimique) a un effet catastrophique sur le sommeil et il favorise l’état dépressif. Idéalement, il faudrait éviter les écrans une heure avant de se coucher.
Et, si vous vous (re)mettiez à la lecture ?

5) Adaptez votre alimentation

Le soir, évitez de manger trop riche. Les plats trop gras, en sauce ou les viandes rouges sont à bannir. Évitez également tous les excitants : café, thé et alcool.
Une complémentation alimentaire à base de tyrosine, de magnésium et de vitamine B représente une solution naturelle pour améliorer la qualité de votre sommeil.

6) Dormez dans de bonnes conditions

Il est important de dormir dans une pièce fraîche. N’hésitez pas à aérer avant d’aller vous coucher. Veillez également à avoir des volets bien occultant et une bonne literie.

Note
1. En respectant les mesures de confinement mises en place, par le gouvernement, pour lutter contre le développement du Covid-19 (sorties limitées à une heure quotidienne et dans un rayon maximal d’un kilomètre autour du domicile) et en vous conformant aux restrictions éventuellement définies par votre municipalité.

#RestezChezVous

Confinement : comment gérer son stress

Peur de tomber malade, peur pour vos proches, peur de perdre votre travail. Difficile de ne pas céder à la panique et ou la déprime en ce moment. Alors qu’on rêverait de s’aérer la tête à l’extérieur, on se doit de rester confiné. Selon une étude de l’université de Toronto, près de 29 % des personnes mises en quarantaine présentent à la fin de l’isolement des signes de stress et 31 % des symptômes de dépression. Comment ne pas craquer ? Voici quelques conseils.

Évitez de regarder les infos en continu

S’informer oui mais, il n’est pas indispensable de regarder les informations en boucle. Cela risque d’accroître votre anxiété. Évitez également de passer trop de temps sur les réseaux sociaux qui regorgent de fake news pour faire le buzz.

Pratiquez des activités constructives

Évitez de traîner en pyjama toute la journée. Le soir, vous aurez le sentiment d’avoir « gâché » votre journée. Levez-vous à une heure régulière et habillez-vous. Établissez une to do liste et un calendrier à respecter : administratif, jardinage (pour les chanceux), cours de langue étrangère, bricolage… N’hésitez pas à réaménager votre intérieur, ouvrez les fenêtres, rangez : faîtes de votre lieu de vie un espace agréable. Les journées n’auront pas la même saveur si le soir venu, vous vous êtes activé(e) toute la journée.

Gardez le lien avec vos amis, votre famille

Gardez un lien social est primordial pour la santé mentale. N’hésitez pas à appeler vos proches, famille ou amis. Parler de tout et de rien et éviter de ressasser les sujets anxiogènes. On voit fleurir des challenges en tout genre sur les réseaux sociaux. C’est une bonne initiative, cela permet de garder le lien et de se changer les idées avec des sujets drôles ou légers. Ne culpabilisez pas. Rire est le meilleur antidépresseur !

Faites du sport

Comme nous l’évoquions dans l’article « confinement et sommeil », faire du sport favorise également l’endormissement et permet de lutter contre la déprime.
L’activité maintient une santé psychique à peu près convenable. Arrêter toute activité peut être très préjudiciable : la moindre baisse d’humeur peut vous faire plonger dans la déprime.

Faites des projets

Le confinement vient d’être prolongé mais ce qui est sûr, c’est qu’on en sortira ! Alors, faites des projets pour l’« après » confinement. Repérer les lieux qui vous font voyager, les adresses qui vous font rêver.

#Restezchezvous

5 conseils pour vivre le confinement plus sereinement

Difficile de rester enfermé dans ce climat anxiogène. Alors qu’on rêverait de prendre l’air pour se changer les idées, on doit rester confiner. Dans ce contexte particulier, où nous sommes préoccupés, il faut être indulgent avec soi-même. Il est normal d’être moins performant en télétravail avec des enfants à gérer en même temps. Tout comme il est normal de s’énerver plus souvent. Voici toutefois, quelques conseils pour vous aider à vivre le confinement plus sereinement… 

Faîtes des exercices !

Ce n’est pas parce qu’on est enfermé qu’on ne peut pas faire de sport ! Abdos, pompes, fessiers, squats : rien de tel que les basiques pour rester en forme. Si vous avez besoin d’un peu plus de motivation et de diversité, n’hésitez pas à aller faire un tour sur le web : cours de yoga, cours de fitness, cours de zumba : il y en a pour tous les goûts ! Peut-être même que cela relèvera des passions chez certains !

Pallier l’absence de soleil : jardin, balcon…

Pour son équilibre, l’être humain a besoin de lumière et de soleil. Pour ceux qui ont la chance d’avoir un balcon ou un jardin, profitez-en pour jardiner : coupez les fleurs fanées, taillez rosiers, arbustes. Non seulement, vous vous videz la tête mais en plus vous pratiquez une activité physique.
Et pour ceux qui nous pas la chance d’avoir un jardin, placez-vous devant votre fenêtre et prenez le soleil le temps d’un postcast radio ou en écoutant votre album préféré par exemple.

Cultivez-vous !

Et si vous profitiez de ce temps de confinement pour vous cultiver ? On a tous des livres qui sentent encore le neuf, qui dorment dans notre bibliothèque. C’est le moment de les lire ! La radio propose également différents postcasts (historiques, artistiques, économiques…) pour se cultiver. Canal + et Netflix proposent l’accès gratuit à leurs programmes ; c’est le moment rêvé pour regarder un classique ou dévorer une série recommandée par vos amis.

Socialisez-vous

Il est important de garder du lien social. Surtout pour les personnes qui vivent seules et qui sont donc confinées seules. Un nouveau concept a émergé depuis le confinement, c’est l’apéro skype, ou le Whatsapp apéro. On se parle en visio au travers d’un écran. A deux ou à plusieurs, l’important est de vivre un moment de convivialité et de se changer les idées !

Mangez équilibré

Difficile de ne pas grignoter toute la journée avec le stress et le frigo tout proche. Essayez de vous discipliner et de manger équilibré. Pour vous apaiser, les compléments alimentaires à base de safran ont des effets positifs sur l’équilibre émotionnel et le système nerveux.
Les compléments alimentaires à base de cuivre, de magnésium et de Tyrosine aident à lutter contre la fatigue et le stress tandis que ceux composés de plantes sédatives, comme la valériane ou la mélisse, améliorent la qualité du sommeil.

Enfin, n’oubliez pas qu’en restant confinés, nous sauvons des vies.

Qu’est-ce qu’un complément alimentaire ?

On en compte des milliers sur le marché. Depuis plusieurs années, les compléments alimentaires s’invitent dans notre régime alimentaire. Alors, quel est le rôle d’un complément alimentaire et pourquoi donc en consommer ?  

Au sens propre, c’est une denrée alimentaire qui va apporter un complément à une alimentation normale. Un complément en vitamines, minéraux, calcium, sélénium, oligo-éléments, acides gras essentiels, ou oméga 3. Ces compléments se présentent sous la forme de comprimés, de capsules, de gélules, de granules ou de solutions à boire. 

Seulement 5 % des Français respectent les apports nutritionnels recommandés 

Une alimentation est qualifiée de « normale » lorsqu’elle apporte tous les nutriments dont le corps a besoin. L’enquête Comportements et consommations alimentaires (CAAT 20161) réalisée par Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie a révélé que moins de 5 % des Français, seulement, respectaient les apports nutritionnels recommandés. Ceci s’explique en partie par le fait que les aliments s’appauvrissent en certains nutriments, en conséquence de la généralisation de la culture hors sol ou bien de la cueillette avant maturité par exemple. 
« La quantité de minéraux et de vitamines présents dans les produits est très inférieure à celle qui existait auparavant, surtout dans les fruits et légumes, principalement du fait que les cultures intensives épuisent les réserves du sol », explique la nutritionniste Gemma Calzada.

Pourquoi consommer des compléments alimentaires ?

On peut donc considérer qu’on est tous concernés. Ajoutez à cela, le fait que nous traversons certains moments de notre vie où notre organisme est plus fragilisé : grossesse, ménopause, pathologie…
Dans ces situations, la prise de compléments alimentaires peut être vraiment nécessaire.
La directive « Cadre2 » des compléments alimentaires précise que les compléments alimentaires ne sont ni des médicaments, ni des alternatives aux médicaments prescrits par un médecin ou délivrés par un pharmacien.

Comment prendre des compléments alimentaires ? 

Si les compléments alimentaires sont en vente libre, il est conseillé de respecter la posologie. Certains peuvent être utiles pour répondre à un besoin précis ; d’autres peuvent être utilisés en cure. Référez-vous aux indications formulées sur la notice de vos compléments alimentaires pour connaître la posologie exacte. À noter qu’il est conseillé de prendre les vitamines pendant ou juste après un repas. Elles seront ainsi mieux assimilées si elles sont en contact d’un élément gras dans l’estomac. En ce qui concerne les minéraux, éviter de boire du thé. Il a tendance à annuler l’action du fer, alors que la vitamine C la booste. 

Notes

1. Enquête en face à face, réalisée tous les 3 ans, auprès d’un échantillon représentatif de 1 500 ménages, 2 500 adultes de 15 ans et plus et 600 enfants de 9 à 14 ans.
2. Directive 2002/46/CE du Parlement européen et du Conseil du 10 juin 2002

Quels compléments alimentaires sont efficaces pour la ménopause ?

Bouffées de chaleurs, troubles de l’humeur et du sommeil : pour soulager les symptômes de la ménopause, il existe des solutions naturelles. 

Pour la plupart des femmes, la ménopause est une période compliquée. Elle s’accompagne d’un ensemble de symptômes qui affectent à la fois le physique et le psychique. Bouffées de chaleur, insomnies, prise ou perte de poids, fatigue, douleurs articulaires, troubles de l’humeur et sécheresse vaginale. 80 % des femmes souhaitent avec recours à une solution non hormonale pour accompagner cette période difficile. Si, au fil des mois, le corps s’habitue à ce bouleversement hormonal, voici les plantes reconnues pour leurs différentes vertus qui aident à passer ce cap avec plus de sérénité. 

Des solutions naturelles pour lutter contre la sécheresse vaginale et l’état dépressif 

Le safranal, un extrait de safran, rééquilibre la flore intestinale et agit comme un régulateur d’humeur. Sur le plan gynécologique, il soulage les symptômes de sécheresse vaginale. Sur le plan psychique, il agit comme un antidépressif. Par ailleurs, c’est un antioxydant qui ralentit les effets du vieillissement, notamment en prévenant l’apparition des rides. (Cf. Le safran l’or rouge déstressant

Le millepertuis pour être en forme malgré la ménopause 

Les bouleversements hormonaux fatiguent et peuvent générer des insomnies. Les troubles de l’humeur sont la conséquence des troubles du sommeil mais aussi de la baisse de la progestérone. Le millepertuis aide à lutter contre l’état dépressif et la fatigue. On peut le consommer en tisane ou sous forme de complément alimentaire

Vous souhaitez en savoir plus sur les avantages et les inconvénients du millepertuis ? N’hésitez pas à consulter notre article juste ici.

Le soja, complémentaire alimentaire pour atténuer les bouffées de chaleur 

Durant la ménopause, des sensations de chaleur intense surviennent au niveau du visage et du thorax. Ces symptômes s’accompagnent d’une transpiration et d’une accélération du rythme cardiaque. Les protéines de soja seraient efficaces pour lutter contre les bouffées de chaleur. Elles contiennent en effet des isoflavones et des phyto-estrogènes, des molécules dont la composition s’apparente aux hormones secrétées par les ovaires avant la ménopause. Cependant, il est important de noter que la consommation d’isoflavones n’est pas sans risques. Il est donc conseillé de consulter un professionnel de santé avant d’initier un traitement à base d’isoflavones, particulièrement pour les femmes ayant des antécédents familiaux ou personnels de troubles hormonaux.

Des solutions naturelles efficaces vous permettent d’atténuer les symptômes liés à la ménopause. Toutefois, il est toujours vivement conseillé de consulter.

menopause comment savoir

Comment savoir si l’on est proche de la ménopause ?

Chaque année, 400 000 femmes sont ménopausées. Si l’arrêt des règles est le premier signe de la ménopause. Elle s’accompagne d’autres symptômes.

L’âge moyen de la ménopause 

La ménopause est l’arrêt du fonctionnement des ovaires. L’âge moyen est de 51 ans en France. Certaines femmes peuvent être ménopausées dès 35 ans ! (cf. La ménopause précoce, comment l’expliquer ?). À l’inverse, la ménopause peut survenir beaucoup plus tard, après 55 ans (cf. La ménopause tardive, comment l’expliquer ?). L’arrivée de la ménopause est souvent liée à la génétique : « Si votre mère ou votre grand-mère a souffert de ménopause précoce ou de ménopause tardive, vous êtes susceptible d’y être sujette également », explique le Dr Éric Berg.

La période qui précède la ménopause est la périménopause. Elle peut être plus ou moins longue selon les femmes. Les symptômes sont sensiblement les mêmes que ceux que l’on ressent durant la ménopause. 

Les premiers symptômes de la ménopause 

Le premier symptôme de la ménopause est la disparition des règles. On appelle cela l’aménorrhée. Elle s’accompagne d’autres symptômes :

– les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes : elles se manifestent par une sensation de chaleur au niveau du visage et du thorax. Elles s’accompagnent d’apparition de rougeurs et de sueurs. Les sueurs peuvent aussi survenir la nuit sans bouffée de chaleur;

– la sécheresse vaginale et les douleurs durant les rapports sexuels : la carence en œstrogènes, peut engendrer une sécheresse intime à la ménopause. Cela entraîne des douleurs lors des rapports et une diminution du plaisir chez la femme;

– les douleurs articulaires : la production d’œstrogène, une hormone qui préserve la masse osseuse, diminue brutalement. Cela entraîne une diminution de la résistance des os;

– la prise de poids.« À la ménopause, les femmes prennent souvent du poids, explique Msika Razon, médecin au Mouvement français pour le planning familial (MFPF) et à la maternité des Bluets à Paris, Le métabolisme se ralentit et une carence en œstrogènes favorise l’accumulation de graisse et les kilos s’installent »; Il existe toutefois des solutions pour éviter la prise de poids à la ménopause.

– la fatigue et manque d’énergie : La diminution progressive du taux d’œstrogènes a des répercussions sur la qualité du sommeil. La fatigue et l’irritabilité s’installent.  

Lire aussi : Comprendre les symptômes douloureux associés à la ménopause

Des compléments alimentaires pour soulager les effets de la ménopause 

Il existe des solutions naturelles pour aborder la ménopause de façon plus sereine : prendre des compléments alimentaires peut être réellement efficace (cf. Quels compléments alimentaires efficaces pour la ménopause). Associez à cela une bonne hygiène de vie ainsi que des soins de confort pour soulager le phénomène de sécheresse vaginale.

Chaque femme a sa sensibilité et les symptômes de la ménopause ne touchent pas toutes les femmes. Toutes vivront cette période différemment. Certaines y verront peut-être des avantages, comme le fait de ne plus avoir de règles !

« Mal de dos ? Le bon traitement, c’est le mouvement »

« Mal de dos ? Le bon traitement, c’est le mouvement », voilà le slogan que martèle l’Assurance maladie depuis deux ans pour lutter contre les idées reçues concernant le mal de dos. Qu’en est-il aujourd’hui ?

Il y a deux ans, la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) lançait une grande campagne de sensibilisation pour lutter contre les croyances associées à ce que l’on appelle le « mal du siècle », puisque 93 % des Français* ont déjà eu des problèmes de dos. Et oui, contrairement à ce que l’on pourrait penser, lorsqu’on a mal au dos, il faut bouger ! Depuis 2017, le programme de l’Assurance maladie s’est déployé en plusieurs vagues de campagne successives invitant les personnes souffrant du dos à ne pas arrêter leurs activités quotidiennes, de loisir ou professionnelles, parce que « pour que le mal de dos s’arrête, mieux vaut ne pas s’arrêter ».

93 % des Français ont déjà eu des problèmes de dos

Aujourd’hui, les mentalités évoluent : les Français sont désormais 83 % à considérer que « lorsqu’on a mal au dos, il vaut mieux continuer sa vie normalement ». D’autre part, ils remarquent le lien entre la poursuite des activités quotidiennes/professionnelles et le soulagement rapide des maux de dos : ils sont respectivement 74 % et 70 % à l’affirmer.

Des astuces basiques permettent d’éviter ou de limiter les lombalgies

Les experts de la CPAM rappellent tout de même quelques règles de vie basiques qui permettent d’éviter ou de limiter les lombalgies :

  • changez de position régulièrement, marchez, levez-vous, étirez-vous;
  • apprenez à vous asseoir correctement : prenez appui sur les accoudoirs ou sur vos cuisses avec les deux mains. Une fois assis, votre dos doit reposer sur un dossier et vos pieds sur le sol ou sur un repose-pieds;
  • faîtes attention à la façon dont vous ramassez un objet : positionnez-vous face à l’objet que vous souhaitez prendre, accroupissez-vous pour l’attraper sans risque puis redressez-vous à l’aide de vos jambes. Surtout ne vous penchez pas jusqu’à terre !
  • enfin, lorsque vous faites vos courses, répartissez les poids dans chaque main. Et préférez le sac à dos plutôt que le sac à main !

*selon un baromètre BVA réalisé pour l’assurance-maladie en juin 2017