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Auteur/autrice : Dergam

Fatigue physique et intellectuelle : les bienfaits de la noix de cola

Fruit du kolatier, la noix de kola (ou cola) est consommée depuis des millénaires en Afrique. Cette plante est connue par les populations locales pour ses propriétés naturelles anti-fatigue. Si au départ elle était mastiquée pour en extraire le principe actif, elle est aujourd’hui disponible sous des formes beaucoup plus pratiques. Découvrez les bienfaits de la noix de cola, son origine et comment l’utiliser. 

D’où vient la noix de kola ? 

Les kolatiers sont des arbustes qui apprécient les climats tropicaux. On en recense environ 125 espèces qui poussent en Afrique centrale, par exemple au Cameroun, au Bénin ou en Angola. On en trouve aussi en Amérique centrale, aux Antilles, au Sri Lanka ou en Malaisie. Ces arbres qui aiment l’ombre peuvent atteindre 20 mètres de hauteur et vivre jusqu’à 80 ans. Ils fleurissent toute l’année et portent de petites fleurs blanches à jaunâtres. Les premiers fruits qui n’apparaissent qu’au bout de 20 ans, se composent d’un groupe de 2 à 6 cabosses. Récoltées avant maturité, ces dernières sont ouvertes et les graines sont laissées quelques jours en tas ou plongées dans l’eau. Leur couleur oscille entre le blanc et le rouge clair à l’état frais. Une fois séchées, elles deviennent brunes et se fragmentent en 2 ou plusieurs morceaux selon l’espèce. 

Quelle est l’histoire du cola ? 

La noix est décrite pour la première fois au XVIIIe siècle par un botaniste français Étienne Pierre Ventenat. Ce dernier découvre que des esclaves agricoles des Antilles en avaient ramené avec eux pour augmenter leur force. Il la nomme Sterculia nitida. 

À la même époque, un naturaliste français identifie une seconde espèce, la Sterculia acuminata, lors d’un voyage entre le Nigéria et le Bénin. Ces deux espèces sont les plus répandues. 

Au XIXe siècle, J.S Pemberton, un pharmacien américain établi à Atlanta, a l’idée de créer une boisson énergisante. Cette boisson, ancêtre du Coca-Cola baptisée « French Wine Cola », mélangeait noix de cola et feuilles de coca. Aujourd’hui, le soda ne comporte plus ni l’un ni l’autre. 

Que contient-elle ? 

De la taille d’une châtaigne, une noix de kola pèse environ 20 grammes. Après récolte, elle est dépourvue de son enveloppe puis séchée et broyée. Elle renferme notamment : 

  • de la caféine (aux alentours de 2 % pour la graine sèche) et de la théobromine aux vertus stimulantes ; 
  • de l’épicatéchine et de la catéchine, substances connues pour leurs propriétés antioxydantes ; 
  • des tanins responsables de la coloration rouge des noix.  

 Quels sont les bienfaits de la noix de cola ? 

Le kola est reconnu pour son action contre la fatigue, qu’elle soit physique ou intellectuelle. Vous pouvez en consommer notamment en hiver pour atténuer la fatigue hivernale, alors qu’on manque de lumière et que notre moral est en berne. Il aura alors un effet stimulant et vous vous sentirez plus en forme. 

Cet impact bénéfique a été mis en évidence par une étude animale. Au cours de celle-ci, des rats ont été placés au centre d’un labyrinthe. Ceux qui avaient reçu de la noix de kola étaient plus nombreux et plus rapides à trouver la sortie que le groupe témoin. Enfin, il a été constaté qu’à l’inverse de la caféine de synthèse, la noix de kola ne crée pas de phénomène d’accoutumance. 

Grâce à la présence de polyphénols, l’extrait de noix de kola est aussi doté de propriétés antioxydantes. Une étude menée en 2007 au Nigéria a comparé plusieurs espèces et a réussi à démontrer leurs effets contre les radicaux libres.  

Enfin, la noix de kola possède d’autres caractéristiques moins connues. En raison de sa grande teneur en tanin, elle est astringente et antidiarrhéique. De plus, elle augmente la fréquence cardiaque, la force de contraction et le métabolisme de base

Existe-t-il des contre-indications ?  

Le kolatier est présent sur la liste A des plantes médicinales traditionnellement utilisées de la Pharmacopée française. 

La noix de kola n’est pas indiquée chez les enfants ni chez les femmes enceintes ou qui allaitent. Du fait de sa teneur en caféine, la consommation de noix de cola doit être limitée chez tous ceux qui souffrent d’insomnie. Cette recommandation est également valable en cas de troubles anxieux, cardiaques et d’hypertension artérielle. Les personnes victimes d’ulcères gastriques ou duodénaux doivent également restreindre leur apport. 

Les effets indésirables potentiels sont principalement l’agitation, la nervosité, des insomnies ou une majoration de troubles gastriques existants. Si la noix de kola est mastiquée à l’état frais, elle entraîne une coloration jaune de la bouche. 

En raison de sa teneur en caféine, l’extrait de noix de kola peut interagir avec certains médicaments. Il s’agit des antibiotiques, des benzodiazépines, des antidiabétiques ou encore des médicaments bronchodilatateurs. Avant de prendre un complément à base de noix de kola, un avis médical est recommandé. 

Comment la consommer ? 

Les modes d’administration traditionnels sont l’infusion, l’ingestion d’un extrait liquide ou d’une teinture mère. Cependant, toutes les préparations ne sont pas équivalentes, notamment en matière de dosage. L’EMA, l’Agence européenne du médicament, a établi des recommandations journalières. Les voici :

  • en infusion, 1 à 3 g dans 150 ml d’eau bouillante, 3 fois par jour ; 
  • sous forme d’extrait liquide, 0,6 à 1,2 ml, 3 fois par jour ; 
  • en teinture mère : 1 à 4 ml 3 fois par jour. 

Dans tous les cas, il est important de bien respecter la posologie mentionnée sur l’emballage et d’en parler avec votre pharmacien.

Pour une utilisation plus pratique, vous pouvez opter pour un produit prêt à consommer en une seule prise. Ainsi, 3 pressions-mesure de Tonimax au petit-déjeuner et vous faites le plein d’énergie pour la journée. Cette solution vous offre de meilleures performances physiques et mentales sans accoutumance, grâce à l’association du kola et de l’extrait de ginseng.

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Le safran : l’épice aux 1 000 bienfaits

Prélevé à la main sur les fleurs de crocus, le safran est une épice précieuse dont le prix concurrence celui de l’or. De nos jours, les stigmates séchés et la poudre de safran sont particulièrement appréciés en cuisine pour colorer et parfumer les plats les plus raffinés. Mais ce n’est pas tout ! L’or rouge possède aussi de nombreuses vertus thérapeutiques, exploitées depuis l’antiquité à travers le monde. Quels sont les bienfaits du safran pour la santé ? On fait le point. 

D’où vient le safran ?

Utilisé depuis plus de 3 000 ans, le safran également appelé « or rouge » est une épice précieuse parmi les plus chères du marché. Le safran ou crocus sativus est une plante à bulbe de la famille des Iridaceae fleurissant à l’automne. 

Les bienfaits du safran sont reconnus à travers les continents et les civilisations. Originaire d’Orient et plus précisément de Turquie et d’Inde, le safran possède des vertus médicinales appréciées depuis l’antiquité. Pour les Égyptiens, le safran était un remède pour lutter contre les troubles gastro-intestinaux. En Europe, dès le Moyen Âge, le safran est exploité pour ses bienfaits sur la santé. En Chine, il est utilisé pour soigner les maux du quotidien depuis son apparition sur le continent.

De nos jours, les stigmates (c’est-à-dire le pistil entier séché) et la poudre de safran sont principalement employés en cuisine pour leurs pouvoirs colorants et aromatiques. 

Que contient-il ?

La composition et les valeurs nutritionnelles du safran lui confèrent de nombreux bénéfices pour la santé, notamment grâce aux caroténoïdes qui lui donnent sa couleur ambrée. 

Les caroténoïdes, tels que la crocine et la picrocrocine, possèdent des effets antioxydants bénéfiques pour la santé. 

Le safranal contenu dans le safran participe notamment à l’apaisement du système nerveux. Cette précieuse épice contient également de nombreuses vitamines et minéraux parmi lesquels les vitamines A, C et B ainsi que du magnésium et du manganèse. 

Quels sont les effets bénéfiques du safran sur la santé ?

Les principes actifs contenus dans cette précieuse épice peuvent contribuer au bon fonctionnement de l’organisme. 

Safran, une épice aux vertus apaisantes et relaxantes 

Le safran est une épice appréciée pour sa teneur en safranal. Ce principe actif puissant possède des effets relaxants et anxiolytiques. 

Utilisé en cas d’angoisse, de stress, de dépression légère ou modérée ou encore de dépression post-partum, le safran tout comme le millepertuis ou la mélisse aide à réguler l’équilibre émotionnel. Le safranal est également bénéfique contre l’insomnie ainsi que pour son action contre les troubles de l’humeur.  Découvrez notamment pourquoi le safran est un antidépresseur naturel et dans quelle mesure il peut améliorer l’efficacité des antidépresseurs classiques.

En savoir plus sur les meilleures pratiques pour soulager les douleurs articulaires ménopausiques.

Des effets antalgiques et anti-inflammatoires

Le safran présente des effets antalgiques et anti-inflammatoires. Ainsi, en Chine, le safran est recommandé en cas de douleurs abdominales. En massage, cette épice est également utilisée pour apaiser les inflammations liées aux poussées dentaires. Le safran contribue alors à soulager les règles douloureuses ainsi que les douleurs articulaires. D’autre part, il participe au traitement des aménorrhées et stimule les menstruations.

Les bienfaits du safran sur la digestion 

Les stigmates du safran participent au bon fonctionnement du système digestif. Cette épice est donc employée pour faciliter la digestion, limiter la fermentation intestinale, mais également en prévention des ulcères ou des désordres gastriques. 

D’autre part, le safran stimule le foie et atténue les effets de l’alcool sur l’organisme. Véritable allié minceur, le safran aide à diminuer l’appétit et à lutter contre les envies de grignotage.

Le safran : un hypocholestérolémiant

La consommation de safran semble par ailleurs avoir un effet bénéfique sur le taux de triglycérides et de cholestérol. Grâce à son activité antilipémiante, la safran contribue à limiter l’absorption des graisses et du cholestérol. En aidant à lutter contre les excès de cholestérol dans le sang, le safran présente un véritable intérêt pour prévenir les maladies cardio-vasculaires.

Une épice riche en antioxydants 

La crocine et la crocétine contenues dans le safran sont deux caroténoïdes agissant en tant qu’antioxydants naturels. Ainsi le safran protège les cellules des effets néfastes des radicaux libres. Dans ce sens, la consommation de safran pourrait être particulièrement intéressante pour lutter contre le développement de certaines maladies neurodégénératives telles que la sclérose en plaques ou la maladie d’Alzheimer. Enfin, le pouvoir antioxydant du safran participerait à la protection du système cardio-vasculaire. De plus, riche en pigments caroténoïdes, le safran pourrait aider à prévenir certains cancers. 

Lire également : Comment les antioxydants améliorent-ils votre santé ?

Le safran, un allié pour la vue 

Les vitamines A, C et B ainsi que les antioxydants contenus dans le safran jouent un rôle bénéfique contre le vieillissement des yeux. Les pigments caroténoïdes sont de véritables alliés pour la prévention de la dégénérescence maculaire liée à l’âge plus communément connu sous le nom de DMLA. 

Comment le consommer ?

La dose journalière recommandée est de 30 mg. Il est conseillé de ne pas dépasser la dose de 1,5 g de safran par jour.
En cuisine, le safran parfume et colore les plats tels que la paella, le risotto ou encore la bouillabaisse. En infusion, l’or rouge offre également de nombreuses vertus. Dilué dans de l’eau frémissante, le safran délivre toutes ses propriétés les plus bénéfiques et permet, entre autres, de lutter contre les douleurs digestives. 


Enfin, pour profiter de son action apaisante et relaxante, il est possible de consommer le safran sous forme de compléments alimentaires. 

Maintenir un bon équilibre émotionnel grâce à Saphren®

Le safranal contenu dans Saphren® contribue au maintien du bon équilibre émotionnel. Les propriétés apaisantes de l’extrait de safran favorisent la relaxation et les pensées positives. 

Quels effets indésirables ?

Consommé dans le respect des doses journalières recommandées, le safran ne présente pas de danger. Toutefois, un surdosage peut entraîner des effets secondaires parmi lesquels : 

  • Des troubles de la coagulation sanguine tels que des saignements au niveau des lèvres, du nez, des paupières ainsi que des hémorragies utérines
  • Des troubles digestifs parmi lesquels des vomissements et des diarrhées parfois sanguinolentes
  • Une coloration jaune des muqueuses et de la peau 
  • Des troubles urinaires et particulièrement la présence de sang dans les urines
  • Une modification de la pression artérielle 
  • Une modification de la composition du sang

Le saviez-vous ? Le prix élevé du safran s’explique par le coût de la main-d’œuvre nécessaire pour en cultiver et récolter les stigmates. En effet, il faut environ 150 000 fleurs de crocus pour obtenir 1 kg de safran. 

En cosmétique où il est apprécié pour ses propriétés anti-âge, en gastronomie ou à des fins thérapeutiques, le safran n’a pas fini de surprendre. Aussi précieux que délicieux, il est sans aucun doute une épice aux mille vertus. Au-delà de ses qualités gustatives, le safran se positionne comme un véritable allié pour la santé qui séduit de plus en plus les occidentaux. Dans les assiettes ou en cure de 3 mois, sous forme de compléments alimentaires, le safran délivre alors tous ses bienfaits.

La mélisse est-elle contre-indiquée pour les femmes enceintes ?

Félicitations, vous êtes enceinte. En tant que future maman, vous vous tournez vers des remèdes naturels pour soulager vos maux de grossesse. Vous avez entendu parler de la tisane de mélisse, mais vous ignorez si elle est adaptée aux futures mamans. Découvrez les bienfaits de cette plante, et les tisanes adaptées aux femmes enceintes.

Quels sont les bienfaits de la mélisse ?

La mélisse fait partie des remèdes naturels les plus populaires. La plante est utilisée dans les pharmacopées traditionnelles depuis l’époque d’Hippocrate (460-356 av. J.-C.). Depuis les années 80, elle figure parmi les plantes approuvées par des organismes tels que l’ESCOP, la commission E. et l’OMS.

Les principaux bienfaits de la mélisse sont : 

  • le traitement de l’herpès labial ;
  • la lutte contre les troubles mineurs de la digestion ;
  • la diminution des troubles de l’anxiété ;
  • la réduction des troubles mineurs du sommeil.

Mélisse et grossesse, quelles précautions prendre ?

La vie des futures mamans n’est pas toujours simple. Sensation de jambes lourdes, hémorroïdes, nausées, ces maux quotidiens peuvent rapidement devenir gênants. Pour prévenir les nausées et l’insomnie, la mélisse est souvent recommandée.

Toutefois, même si elle est réputée sécuritaire, le Vidal rappelle qu’il n’existe, à ce jour, aucune preuve de l’innocuité de la plante durant la grossesse. L’utilisation de la mélisse est donc déconseillée à la fois pendant la grossesse et durant la période de l’allaitement.

Quelles tisanes choisir pendant la grossesse ?

Internet regorge de conseils sur les remèdes naturels destinés aux femmes enceintes. Néanmoins, ceux-ci ne se substituent pas à votre sage-femme ou à votre pharmacien. 

Tisanes populaires : attention aux faux pas 

Certaines infusions sont populaires durant la grossesse. Elles ne sont cependant pas forcément sécuritaires pour votre bébé. Petit tour d’horizon.

La tisane de camomille

La tisane de camomille est réputée pour ses vertus sédatives et digestives. Toutefois, il existe plusieurs variétés de camomille. Si la camomille allemande est sécuritaire pendant la grossesse, ce n’est pas le cas de sa cousine la camomille romaine (ou grande camomille). Cette dernière pourrait, en effet, favoriser l’apparition de fausses couches.

La tisane de vigne rouge

L’infusion de vigne rouge ou de vigne rouge et hamamélis est très souvent recommandée pour les problèmes de jambes lourdes, de rétention d’eau ou encore d’hémorroïdes pendant la grossesse. Cependant, si les principes actifs de la plante ont effectivement ces propriétés, la vigne rouge demeure déconseillée durant la grossesse. En effet, la plante contient du resvératrol, un composé à l’action phytoœstrogénique contre-indiqué au cours de la grossesse.

La tisane de feuilles de framboisier

La feuille de framboisier est, depuis la nuit des temps, utilisée par les sages-femmes. En effet, elle facilite l’accouchement. Cette tisane est donc intéressante en fin de grossesse uniquement. La littérature médicale parle d’attendre le 8ᵉ mois pour la consommer, exclusivement sur avis médical.

La tisane de menthe poivrée

L’utilisation des infusions de menthe poivrée est reconnue pour leurs bienfaits sur les troubles digestifs mineurs. Cette utilisation est d’ailleurs approuvée par l’EMA, l’ESCOP, l’OMS, la commission E. et le NIH. Toutefois, en raison de son action tonique supposée sur l’utérus, la menthe poivrée est déconseillée pendant le premier trimestre de grossesse. La tisane de menthe poivrée est également déconseillée chez la femme allaitante en raison du passage possible de ses principes actifs dans le lait maternel.

La tisane de sauge

La feuille de sauge est un aromate très commun. Sous forme de tisane, elle est réputée pour ses bienfaits contre les affections virales mineures et les troubles digestifs. Néanmoins, comme la plupart des plantes contenant des phytoœstrogènes, la sauge, en tisane, ne doit pas être consommée pendant la grossesse. Sa consommation alimentaire ne semble cependant pas poser de problème.

Le saviez-vous ? L’OMS recommande une consommation inférieure à 300 mg de caféine par jour durant la grossesse. La consommation de café ou de thé doit donc être réduite. Il est possible de les remplacer par du rooibos, exempt de caféine. 

Mais alors, quelles tisanes pendant la grossesse ?

Durant la grossesse, il est conseillé de privilégier les infusions bio. Mais, outre le label, il convient de vous assurer de la provenance des plantes utilisées. 

Pendant votre grossesse, le mieux est de choisir, avant tout, des infusions à base de fruits. Mais cela n’est pas toujours suffisant pour les troubles du quotidien d’une future maman. 

Pour le sommeil ou la nervosité, pensez alors à la fleur d’oranger. Celle-ci est sans danger connu durant la grossesse et l’allaitement. La fleur d’oranger est également disponible en hydrolat, réputé plus doux.

Pour les troubles du transit, pensez à la mauve. Celle-ci est riche en mucilages. C’est également le cas du psyllium, reconnu sans danger pendant la grossesse

Pour les nausées et les troubles digestifs, l’OMS recommande les infusions de gingembre. Cette épice asiatique s’utilise à la fois comme condiment et comme plante médicinale.

Le saviez-vous ? Si un grand nombre de tisanes sont autorisées pendant la grossesse, il n’en est pas de même avec les huiles essentielles. En effet, celles-ci ayant des principes actifs plus concentrés, la grande majorité est interdite durant toute la grossesse et toute la période d’allaitement. De plus, les huiles essentielles sont aussi, pour la plupart, interdites chez les nourrissons et les enfants, préférez-leur des hydrolats.

La grossesse n’est pas toujours un moment de tout repos dans la vie d’une femme. Toutefois, la nature offre de nombreux remèdes naturels pour faciliter la vie d’une future maman. Certaines infusions restent néanmoins déconseillées durant cette période. Une tisane pour femme enceinte ne se substitue pas à un régime alimentaire équilibré, demandez toujours l’avis d’un professionnel de la santé.

La mélisse : une plante aux mille vertus

Surnommée « piment des abeilles », la mélisse est la plante du système nerveux et du système digestif. Communément utilisée sous forme d’infusion, les vertus de cette plante sont reconnues par le monde médical. Découvrez les bienfaits de la mélisse et comment la prendre efficacement.

Qu’est-ce que la mélisse ?

La mélisse (melissa officinalis) est une plante vivace au léger goût citronné. De la même famille que la menthe, la mélisse provient du bassin méditerranéen. Elle est très appréciée des abeilles, c’est pour cela qu’elle est aussi nommée « piment des ruches ».

Quelle est l’histoire de la mélisse ?

Ce végétal est depuis très longtemps utilisée pour ses propriétés médicinales. Dans la Grèce Antique, déjà, Hippocrate utilisait la plante pour lutter contre les troubles du système nerveux. Elle était aussi connue des Européens et des Arabes.

Elle connaît son heure de gloire sous le règne de Louis XIII. C’est, à cette époque, qu’elle se popularise en Europe comme ingrédient principal de la célèbre « eau de mélisse des Carmes ». Dans les années 80, elle fait officiellement son entrée dans plusieurs pharmacopées traditionnelles européennes.

Que contient la mélisse ?

Comme vous l’aurez compris, cette plante vivace est un trésor pour l’organisme grâce à sa forte concentration en principe actif. Flavonoïdes, acide oléanolique ou encore huiles essentielles sa composition lui confère de nombreux bienfaits. Il est aussi intéressant de noter,  que comme ingrédient culinaire, les feuilles de mélisse contiennent : 

  • du calcium ;
  • du magnésium ;
  • de la vitamine A ;
  • de la vitamine C.

Quels sont les bienfaits de la mélisse ?

Surtout connue pour ses effets sur les troubles du sommeil et les troubles digestifs, le piment des abeilles  procure aussi des bienfaits sur d’autres systèmes du corps humain. Zoom sur les propriétés de la plante des abeilles.

Mélisse et système nerveux

Depuis la nuit des temps, elle est utilisée pour lutter contre les troubles du système nerveux. Seule, ou en association avec de la valériane, la mélisse est reconnue pour réduire l’agitation nerveuse. Elle est ainsi indiquée pour réduire la nervosité et l’anxiété. La plante lutte également contre les troubles du sommeil et contre le stress chronique.

Contenue dans certains compléments alimentaires, elle facilite l’endormissement. Dorlon® associe ainsi l’extrait sec de feuille de mélisse (Melissa officinalis L.) à d’autres principes actifs pour permettre un sommeil réparateur.

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Découvrez les vertus calmantes de la mélisse, un allié naturel dans la lutte contre l’insomnie. Avec Dorlon : zéro risque d’accoutumance ou de réveil difficile.

Il est d’ailleurs intéressant de noter que par voie interne, l’ESCOP et la Commission Européenne approuvent l’utilisation de cette plante  pour soulager les troubles nerveux.

Mélisse et système gastro-intestinal

La mélisse a des effets antispasmodiques. C’est pour cela qu’elle est souvent utilisée pour soulager les troubles gastro-intestinaux mineurs. Des études démontrent que la plante possède des effets antalgiques utiles pour réduire les douleurs des coliques, des ulcères et des spasmes. L’ESCOP et la Commission Européenne approuvent, d’ailleurs, l’utilisation de la mélisse pour soulager les troubles digestifs.

Ses bienfaits pour la peau

En ce qui concerne la peau, elle est particulièrement efficace dans le traitement de l’herpès labial. En effet, grâce à la composition exceptionnelle de son huile essentielle, la mélisse est dotée de propriétés antivirales et bactéricides. Elle agit alors à la fois sur la taille des lésions de l’herpès, mais aussi sur la récurrence des crises. Dans ce domaine, les études ont démontré l’efficacité de la plante sur deux souches du virus

Le saviez-vous ? Par voie externe, l’ESCOP, la Commission Européenne et l’OMS approuvent l’utilisation de la mélisse comme traitement de l’herpès labial.

Ses effets sur l’hypertension

En raison de ses vertus supposées sur le rythme cardiaque et la dilatation/contraction des vaisseaux sanguins, la mélisse est souvent citée en phytothérapie comme agent hypotenseur. Toutefois, cette utilisation empirique n’a pas été approuvée par les autorités de santé publique.

Quelles sont les précautions d’utilisation de la mélisse ?

Elle fait partie des plantes médicinales dont l’utilisation est plus que millénaire. Consommées comme aliments, les feuilles sont tout à fait inoffensives. L’utilisation de produits plus concentrés, bien que relativement sûre, demande cependant quelques précautions.

Quels sont les effets secondaires de la mélisse ?

Il n’existe à ce jour aucun effet secondaire documenté pour cette plante. Toutefois, en l’absence de preuve d’une totale innocuité, l’utilisation de la mélisse est déconseillée pour les femmes enceintes et allaitantes. Pensez à demander un avis médical avant toute utilisation, surtout sous forme d’huile essentielle.

Quelles sont les interactions possibles de la mélisse ?

En ce qui concerne les médicaments, la mélisse pourrait théoriquement augmenter l’effet des sédatifs et des anxiolytiques. La plante inhiberait également les effets des médicaments prescrits aux patients souffrant de la thyroïde.

En ce qui concerne les plantes, la mélisse pourrait augmenter l’effet des plantes sédatives. Elle pourrait par ailleurs accroître les effets de l’alcool.

Comment utiliser la mélisse ?

Comme beaucoup de plantes médicinales, la mélisse s’utilise sous diverses formes : 

  • feuilles séchées ;
  • extraits liquides ;
  • teinture mère ;
  • huile essentielle ;
  • hydrolat.

Les feuilles séchées constituent la forme la plus courante et servent, en général, à réaliser des infusions. L’huile essentielle, à l’opposé, est la forme la plus concentrée. Son utilisation en interne nécessite obligatoirement un avis médical.

Comment la préparer  ?

Ce végétal est principalement utilisé comme tisane, c’est l’usage le plus courant, et le plus simple. La préparation se réalise comme suit : 

  • plonger une cuillère à soupe de feuilles séchées dans une tasse d’eau chaude ;
  • laisser infuser pendant 10 minutes ;
  • filtrer.

Quels sont les dosages recommandés ?

Les dosages sont à adapter selon la personne et le problème à traiter. D’une manière générale, les dosages classiques sont : 

En usage interne pour les troubles anxieux ou digestifs : 

  • une tasse d’infusion, deux à trois fois par jour ;
  • trois millilitres d’extraits liquides, trois fois par jour ;
  • cinq millilitres de teinture mère, trois fois par jour.

En complément alimentaire

Sous forme de cure, 1 gélule le soir après le dîner et 1 gélule avant le coucher avec un grand verre d’eau. Cet usage n’engendre pas d’accoutumance et favorise un repos de qualité.

Pour des usages externes, un avis médical est hautement requis, car la forme utilisée est généralement l’huile essentielle.

Troubles nerveux, problèmes digestifs ou herpès labial, les usages de la mélisse sont nombreux. Cette plante séculaire, jadis popularisée pour l’eau de mélisse des Carmes, a su conquérir de nombreuses pharmacopées traditionnelles. Reconnue par l’ESCOP, la Commission Européenne et l’OMS, elle s’utilise sous forme d’infusion, de teinture mère, d’huile essentielle et de complément alimentaire.

Le coquelicot : un allié ancestral naturel du sommeil

Le coquelicot, fleur délicate qui colore les campagnes de mai à septembre, est particulièrement apprécié depuis des siècles pour ses propriétés thérapeutiques. Cet allié ancestral est aussi connu pour ses bénéfices sur le sommeil. En effet, ce végétal contient des substances actives qui peuvent aider à soulager l’insomnie et à améliorer la qualité du sommeil. Par ailleurs, cette plante médicinale offre de nombreux autres avantages. Découvrez les différents bienfaits du coquelicot pour la santé. 

Le coquelicot : des bienfaits connus depuis l’Antiquité

Le coquelicot, ou Papaver rhoeas, est une fleur sauvage connue pour ses multiples propriétés médicinales depuis l’Antiquité. La délicatesse des champs de coquelicots est d’ailleurs représentée à travers de nombreuses œuvres d’art comme les célèbres tableaux de Vincent Van Gogh, de Claude Monet ou encore de Gustave Klimt. 

Mais la beauté de cette fleur n’est pas son seul avantage. En effet, elle est employée depuis toujours pour ses propriétés apaisantes comme en témoignent certains ouvrages tels que De Materia Medica de Dioscorides où le coquelicot était utilisé pour favoriser l’endormissement. 

Le coquelicot à travers la mythologie 

Les Grecs et les Romains utilisaient déjà cette fleur colorée pour traiter les troubles du sommeil et les douleurs chroniques. Ainsi, ses propriétés sédatives sont également représentées au cœur de l’histoire puisque les Égyptiens parsemaient les tombeaux de pétales dans l’intention d’apaiser le sommeil des défunts. Dans la mythologie grecque, cette fleur tient également une place importante car, Morphée, dieu des songes, endormait les mortels à l’aide de coquelicots. 

Les bienfaits du coquelicot 

De nos jours, ses pétales sont employées séchées en phytothérapie pour contribuer à soigner l’anxiété, la dépression et les troubles du sommeil. Toutefois, les principes actifs contenus dans le coquelicot permettent parallèlement de soulager la toux. Cette plante présente des vertus antitussives, antiseptiques et apaisantes, ce qui en fait un véritable allié dans le traitement des bronchites ou de la coqueluche. 

Cette fleur également appelée pavot rouge est principalement utilisé en cas de troubles du sommeil, particulièrement chez les enfants de plus de 7 ans. Ses bienfaits profitent aux enfants dont l’endormissement est compliqué ou agité. Grâce à ses propriétés calmantes, il permet de réduire les états de stress. En somme, le coquelicot favorise l’endormissement, offre une action apaisante et permet de bénéficier de nuits plus paisibles et d’un sommeil de meilleure qualité. 

Pour aller plus loin, découvrez les plantes anti-stress les plus efficaces.

Quelles sont les propriétés médicinales de ces fleurs?

Les fleurs de coquelicot sont riches en principes actifs tels que les tanins et les anthocyanosides ou anthocyanes (pigments), le mucilage, l’acide méconique ou encore les alcaloïdes (papavérine, rhoeadine et isorhoeadine). 

Les pétales de ce végétal sauvages sont utilisés en phytothérapie pour traiter un vaste éventail de maux, notamment les troubles du sommeil et anxieux et la dépression. Le coquelicot de culture quant à lui est exploité pour ses propriétés antitussives et plus largement contre les problèmes respiratoires. De plus, cette plante est appréciée pour ses vertus analgésiques, anti-inflammatoires et cicatrisantes. 

D’autre part, les fleurs et les graines de coquelicots sont comestibles. De ce fait, il est possible de l’intégrer en cuisine pour agrémenter une salade ou pour colorer des préparations. L’huile végétale obtenue à partir des graines peut être utilisée en cuisine, mais également pour la peau comme huile de massage. L’huile de coquelicot est particulièrement appréciée en cosmétique pour ses propriétés émollientes, adoucissantes, cicatrisantes et nourrissantes. 

Comment l’utiliser ? 

Les troubles du sommeil sont fréquents et peuvent toucher aussi bien les adultes que les enfants. De nombreuses études ont mis en avant l’impact négatif du manque de sommeil sur la qualité de vie et la santé des personnes qui en souffrent. La phytothérapie offre des solutions efficaces pour lutter contre l’insomnie de manière naturelle. Dans ce sens, le coquelicot peut être utilisé sous différentes formes, comme en compléments alimentaires, en tisanes, ou en sirop.

Pour favoriser l’endormissement, les compléments alimentaires à base de coquelicots permettent une prise facile, sous forme de gélule, et un dosage adapté. 

Dorim : coquelicot et mélatonine pour un meilleur endormissement

L’association de mélatonine, de plantes (coquelicot, tilleul) et de vitamines aide à trouver rapidement le sommeil.

Quelles précautions d’emploi ?

Comme tous les produits de phytothérapie, le coquelicot doit être utilisé avec précaution. S’il n’est pas employé dans le respect des dosages conseillés, le coquelicot peut être à l’origine d’effets secondaires tels qu’une somnolence ou des hallucinations. Il existe également un risque d’interaction médicamenteuse. C’est pourquoi le coquelicot ne doit pas être pris en même temps que des somnifères ou des anxiolytiques. D’autre part, il est recommandé de ne pas cumuler sirop contre la toux et compléments à base de coquelicots. 

Enfin, le coquelicot est contre-indiqué chez les femmes enceintes ou allaitantes ainsi que chez les enfants de moins de 7 ans. En cas de doute, il est préférable de prendre l’avis d’un professionnel de santé avant d’entamer une cure à base de coquelicot. 

Bon à savoir : bien que proche du pavot (papaver somniferum), le coquelicot ne contient pas d’alcaloïde d’opium tel que la codéine ou la morphine. Ainsi, les effets modérés du coquelicot en phytothérapie permettent de l’utiliser aussi bien chez les enfants que chez les personnes âgées.

Le coquelicot est un remède ancestral qui a fait ses preuves depuis des siècles pour favoriser l’endormissement et améliorer la qualité du sommeil. Ses bienfaits font de cette plante sauvage un allié naturel pour les personnes qui souffrent d’anxiété ou de troubles du sommeil. Toutefois, le coquelicot doit être utilisé avec précautions afin d’éviter l’apparition de certains effets indésirables. En cas de doute, il convient de consulter un professionnel de santé avant de débuter une cure de compléments alimentaires ou autre traitement à base de coquelicots.

La valériane présente-t-elle des dangers ?

La valériane est une plante médicinale largement exploitée pour ses propriétés apaisantes et sédatives depuis l’Antiquité. Aujourd’hui, elle est principalement utilisée en phytothérapie afin de soulager les troubles légers du sommeil liés à l’anxiété. Bien que la valériane offre de nombreux avantages, son usage demande quelques précautions particulières.  

Quels sont les bienfaits de la valériane ?

Les origines de l’usage de cette plante

La valériane ou Valeriana officinalis est une plante médicinale originaire d’Europe et d’Asie qui est utilisée depuis des siècles pour ses propriétés sédatives et calmantes. En Grèce antique, la valériane était considérée par Hippocrate ou Galien comme un remède contre les insomnies et les maux de tête. 

Obtenue par séchage et broyage du rhizome et des racines, la poudre de valériane peut être consommée sous plusieurs formes : teinture, gélules ou tisanes. 

Le rhizome, qu’est-ce que c’est ? C’est une tige souterraine, le plus souvent horizontale. Cette partie de la plante constitue une grande réserve nutritionnelle. 

Aujourd’hui, à l’image de l’aubépine, de la passiflore, ou de la lavande, la valériane est largement employée en phytothérapie traditionnelle dans le but de soulager l’anxiété, l’insomnie, le stress et d’autres troubles du sommeil. 

Des vertus nombreuses

Les bienfaits de la valériane sont nombreux. 

Ainsi, en association avec d’autres plantes, cette herbe odorante, très appréciée par les chats, est utilisée contre les spasmes du gros intestin ou pour apaiser certaines affections cutanées telles que l’acné. 

Surnommée « valium végétal », la valériane est aussi indiquée en cas de palpitation chez l’adulte.  

En raison de ses propriétés calmantes, la valériane peut être bénéfique pour la santé mentale et physique. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît l’efficacité de la valériane comme alternative aux sédatifs classiques sur les troubles mineurs du sommeil. 

Toutefois, les principes actifs de la valériane sont encore aujourd’hui peu connus. Administrées séparément, les différentes substances présentes dans la plante comme l’acide valérénique, les valépotriates ou la glutamine semblent avoir une incidence limitée. Les études scientifiques penchent alors pour un effet global des substances associées à certains composés chimiques fabriqués par l’organisme tels que les baldinals. 

En somme, en cas de stress, d’anxiété ou d’insomnie, la prise de complément alimentaire à base de valériane tel que Dorlon® se révèle efficace pour lutter contre les troubles du sommeil légers et faciliter l’endormissement

Dorlon

Dorlon : pour un sommeil réparateur

Découvrez les vertus calmantes de la valériane, un allié naturel dans la lutte contre l’insomnie. Avec DORLON : zéro risque d’accoutumance ou de réveil difficile.

Quels sont les effets secondaires de la valériane ?

La valériane est généralement considérée comme sûre pour la plupart des personnes, mais elle peut causer certains effets indésirables. Toutefois, les effets secondaires de la valériane restent rares. On observe principalement des maux de tête, des douleurs abdominales ou des nausées. 

En général, une cure de valériane ne devrait pas excéder 6 semaines. Dans le cas contraire, un usage prolongé pourrait provoquer des insomnies. 

Il existe, également chez certains individus, un effet de manque lors de l’arrêt brutal du traitement qui peut se traduire par des palpitations, une agitation ou un délire. 

Enfin, l’action sédative de la valériane peut entraîner une baisse de vigilance et se révéler dangereuse pour les conducteurs de véhicule ou de machine. 

Quelles précautions d’emploi ?

Il est important de prendre certaines précautions lors de l’utilisation de la valériane. En effet, les compléments alimentaires à base de valériane peuvent être déconseillés en cas de maladie hépatique

La valériane peut également interagir avec d’autres médicaments, tels que les sédatifs et les anticoagulants, ce qui peut augmenter le risque d’effets secondaires. 

Il est préférable de limiter la conduite ou de ne pas effectuer des tâches nécessitant une attention élevée après avoir pris de la valériane, car celle-ci peut causer une somnolence accrue. 

Enfin, il est indispensable de respecter les doses recommandées pour éviter les effets secondaires potentiels. 

Les dangers de la valériane 

Les effets de la valériane reposent sur des études scientifiques solides, et l’on observe des dangers potentiels liés à son utilisation. 

En raison de son action sédative, la valériane peut causer une somnolence accrue, ce qui peut s’avérer dangereux en cas de conduite ou d’utilisation d’outils. En association médicamenteuse, la prise de valériane peut augmenter le risque de somnolence de nombreux médicaments tels que les antidépresseurs, les somnifères, les neuroleptiques, les antihistaminiques ou certains antalgiques. 

En outre, il existe une interaction médicamenteuse entre la valériane et les anticoagulants pouvant majorer le risque de saignement. 

De plus, l’usage de la valériane est également déconseillé aux personnes souffrant d’une maladie du foie. La valériane tout comme le millepertuis, la consoude officinale ou encore la menthe Pouliot, peuvent avoir des effets toxiques sur le foie. 

Enfin, en raison de sa teneur en tanins, la prise de valériane et de compléments alimentaires à base de fer doit être évitée puisque cela pourrait entraîner un risque de diminution de l’absorption du fer. 

Les femmes enceintes ou allaitantes ne devraient pas prendre de valériane sans avis médical préalable, car il n’y a pas suffisamment de données sur les effets potentiels sur le fœtus ou le nouveau-né. 

Le saviez-vous ? Selon les données de l’INSERM, 37 % de la population souffre de trouble du sommeil de manière régulière. L’insomnie, quant à elle, touche 15 à 20 % des Français.

À lire : Antidépresseurs naturels, une alternative saine aux médicaments

Les bienfaits de cette plante médicinale sont nombreux lorsqu’elle est utilisée de manière appropriée. En effet, la prise de valériane améliore la qualité du sommeil grâce à ses propriétés apaisantes et relaxantes et aide à lutter contre les troubles nerveux. Cependant, il est important de connaître les dangers de la valériane et de faire attention aux interactions médicamenteuses potentielles. En cas de doute, il convient de demander l’avis d’un professionnel de santé avant d’y avoir recours.

Où trouver de la mélatonine naturelle ?

La mélatonine est une hormone produite naturellement par le corps humain. Elle favorise une bonne qualité de sommeil et réduit les effets du décalage horaire. Toutefois, sa production n’est pas toujours optimale. Pour augmenter la mélatonine naturelle, une bonne hygiène de vie, une alimentation riche en tryptophane et une cure de compléments alimentaires spécifiques sont de précieux alliés. 

À quoi sert la mélatonine ?

La fonction principale de la mélatonine est de faciliter l’endormissement. En effet, l’hormone régule le rythme circadien, c’est-à-dire l’alternance jour-nuit de l’organisme.

Cependant, en plus de favoriser un sommeil de qualité, la mélatonine a d’autres rôles dans l’organisme : 

  • régulation des hormones féminines ;
  • amélioration de la sensibilité à l’insuline ;
  • diminution de la pression artérielle ;
  • amélioration du système immunitaire.

Jetlag ? Travail en horaires décalés ? 

Associant la mélatonine naturelle à d’autres plantes et vitamines, Dorim® vous aide à rééquilibrer votre rythme de sommeil et facilite l’endormissement.

Comment fonctionne la mélatonine ? 

Dans l’organisme, la mélatonine est sécrétée dans le cerveau par la glande pinéale. Avant d’être libérée dans le sang, au moment de la tombée du jour, la mélatonine suit un processus complexe. En effet, la mélatonine est synthétisée à partir d’un acide aminé : le tryptophane, qui va être transformé en sérotonine puis en N-acétyl sérotonine et pour finir en mélatonine.

Malheureusement, chez certaines personnes, ce processus peut être déséquilibré ce qui peut engendrer différents troubles comme des difficultés à l’endormissement ou encore des insomnies. 

Quel dosage de mélatonine pour améliorer le sommeil ? 

Comme vous l’aurez compris, la mélatonine est primordiale au bon fonctionnement du corps humain. En cas de problème de sommeil, l’usage de complément alimentaire à base de mélatonine peut être une bonne alternative. 

Néanmoins, pour en ressentir les effets, il est nécessaire de respecter un certain dosage. Globalement, il est recommandé de privilégier les dosages entre 0,5 et 3 mg de mélatonine. La Commission Européenne estime que les compléments contenant 1 mg de mélatonine réduiront le temps d’endormissement. 

Comment peut-on augmenter son taux de mélatonine de manière naturelle ?

Un mode de vie sain ainsi qu’une alimentation variée et équilibrée sont essentiels pour réguler le taux de mélatonine. En effet, l’hormone est très sensible. Quelques pistes pour améliorer sa production.

Augmentez votre taux de mélatonine grâce à l’alimentation

Pour fabriquer de la mélatonine, le corps humain a besoin d’un acide aminé particulier : le tryptophane. Ainsi, si ce dernier est déficitaire, la production de mélatonine est ralentie. À l’opposé, assurer un bon taux de tryptophane aide à produire de la mélatonine en suffisance pour un sommeil réparateur.

Manger des aliments riches en tryptophane se révèle alors judicieux, particulièrement en soirée. Les aliments les plus réputés pour leur richesse dans cet acide aminé sont : 

  • les ananas ;
  • les amandes ;
  • les légumineuses ;
  • les poissons ;
  • le riz complet ;
  • les noix ;
  • les arachides ;
  • les flocons d’avoine ;
  • les bananes ;
  • les œufs ;
  • les produits laitiers ;
  • la levure de bière.

Augmentez naturellement votre taux de mélatonine grâce au mode vie

La production de mélatonine est fortement influencée par l’alternance jour/nuit. Ainsi, l’utiliser à bon escient la lumière peut déjà favoriser le bon équilibrage de l’hormone. Voici quelques gestes simples qui peuvent faire la différence : 

  • s’exposer aux rayons du soleil dès le réveil pour favoriser la production de sérotonine, un des précurseurs de la mélatonine ;
  • dormir dans le noir complet pour favoriser la production de la mélatonine puisque celle-ci ne s’exprime pas lorsqu’il y a de la lumière ;
  • éviter les écrans dans les deux heures qui précèdent le coucher et/ou l’endormissement puisque les lumières bleues freinent la production de l’hormone du sommeil ;
  • faire du sport dans la première partie de la journée, et au plus tard deux à quatre heures avant le moment du coucher ;
  • éviter le tabac, la caféine et l’alcool dans les heures qui précèdent l’endormissement, car ils perturbent la production des hormones.

Quelles sont les sources de mélatonine ?

Dans les compléments alimentaires, il existe, globalement, trois types de mélatonine : 

  • la mélatonine naturelle végétale

La mélatonine naturelle végétale est la plus commune dans les compléments alimentaires. Présente en particulier dans Dorim®, la mélatonine naturelle végétale est issue des racines et des feuilles de certains végétaux.

Dorim : coquelicot et mélatonine pour un meilleur endormissement

L’association de mélatonine, de plantes (coquelicot, tilleul) et de vitamines aide à trouver rapidement le sommeil.

  • la mélatonine animale

La mélatonine animale provient généralement de cervelles de porc. Elle est, aujourd’hui, très rarement utilisée.

  • la mélatonine synthétique.

La mélatonine synthétique est en réalité de la mélatonine végétale mélangée à de la mélatonine synthétique. Elle ne doit cependant pas être confondue avec ce qui est populairement appelé « mélatonine chimique » et qui est en réalité un somnifère classique.

En tout état de cause, même à la dose journalière recommandée, un avis médical est requis avant toute consommation d’un complément alimentaire contenant de la mélatonine.

Où trouver de la mélatonine naturelle végétale ?

Bien qu’il ne s’agisse pas d’une source véritable de mélatonine, certains aliments en contiennent en très petites quantités. 

Ces aliments sont : 

  • la cerise ;
  • la luzerne ; 
  • la chlorelle ; 
  • le riz ;
  • le fenouil ;
  • l’orge ;
  • le lierre ;
  • la tomate.

Un bon taux de mélatonine est indispensable pour un sommeil de qualité. En cas de déficit de production, une bonne hygiène du sommeil, mais aussi une alimentation riche en tryptophane associée à une cure de compléments alimentaires riches en mélatonine naturelle peuvent améliorer la situation. En cas d’apparition de problèmes de sommeil ou d’une fatigue non justifiée, il est recommandé de faire appel à un avis médical surtout si vous souhaitez vous supplémenter en mélatonine.

La mélatonine a-t-elle des effets indésirables ?

Communément suivi pour favoriser la bonne qualité du sommeil, un traitement à base de mélatonine n’est pas sans danger. Ainsi, l’hormone responsable de l’endormissement causerait notamment de la somnolence. De plus, il semble que la mélatonine interagit avec de nombreuses autres substances médicamenteuses. Le point sur les effets indésirables de cette hormone.

Qu’est-ce que la mélatonine ?

Aussi appelée « hormone du sommeil », la mélatonine naturelle est une hormone naturellement fabriquée par le cerveau humain, au niveau de la glande pinéale. Dans le détail, cette substance est produite à la tombée du jour afin de réguler les phases d’éveil et de sommeil. L’apogée de la sécrétion de cette hormone a lieu vers 3 heures du matin, sa concentration est alors multipliée par 10. Elle décroît ensuite jusqu’au lever du soleil, où sa concentration est à son plus bas niveau. 

Le saviez-vous ? Si la glande pinéale est la principal source de mélatonine, celle-ci est aussi fabriquée en moindre quantité dans l’appareil digestif, la rétine et les cellules sanguines.

La mélatonine est responsable de la régulation du cycle circadien. Ce cycle correspond à notre horloge interne, il permet de réguler le rythme biologique de l’organisme, mais aussi de contrôler de nombreuses réactions physiologiques. Ce sont les phases d’éveil et de sommeil qui régule ce cycle. Au-delà de cette fonction bien connue, la mélatonine joue aussi un rôle dans la motricité intestinale, le contrôle de la température corporelle, de la pression artérielle et des comportements sexuels. 

La mélatonine est également une substance présente dans certains médicaments ou compléments alimentaires destinés à réguler les troubles du sommeil. Dans la plupart des cas, il s’agit alors de mélatonine à libération prolongée.

Dans quels cas utiliser de la mélatonine ?

La prise de mélatonine est souvent conseillée pour lutter contre les troubles du sommeil. Dans l’Union européenne, seules deux allégations de santé sont autorisées : 

  • « soulager les effets subjectifs du décalage horaire », à condition de délivrer 0,5 mg de mélatonine par portion et d’être pris avant le coucher, le jour du départ et les jours suivant l’arrivée à destination. 
  • « réduire le temps nécessaire à l’endormissement », à condition de délivrer 1 mg de mélatonine par portion et d’être pris avant le coucher.

Quels peuvent être les effets secondaires de la mélatonine ?

L’utilisation de la mélatonine comme médicament ou complément alimentaire est assez récente. Si les observations permettent de déjà connaître les effets indésirables à court ou moyen terme, il n’existe aujourd’hui aucune certitude quant à son innocuité à long terme.

Le principal effet secondaire de la mélatonine est la somnolence. C’est pourquoi cette hormone ne peut être utilisée qu’au moment du coucher. Ainsi, il est fortement déconseillé de conduire ou d’utiliser des machines après avoir consommé de la mélatonine.

D’une manière générale, le système de nutrivigilance rapporte des effets indésirables variés : 

  • des symptômes généraux tels que des céphalées, des vertiges, de la somnolence, des cauchemars et de l’irritabilité ;
  • des troubles neurologiques tels que des tremblements ou des migraines ;
  • des troubles gastro-entérologiques tels que des nausées, des vomissements ou plus globalement des douleurs abdominales.

Utilisée à faible dose, la mélatonine constitue une aide précieuse pour favoriser l’endormissement et rétablir l’équilibre du cycle du sommeil, le tout sans accoutumance.

Ainsi, en complément alimentaire, Dorim® associe la mélatonine à d’autres plantes (extrait de coquelicot, tilleul) et des vitamines afin de retrouver rapidement le sommeil.

Dorim : coquelicot et mélatonine pour un meilleur endormissement

L’association de mélatonine, de plantes (coquelicot, tilleul) et de vitamines aide à trouver rapidement le sommeil.

Quelles sont les interactions de la mélatonine ?

L’ANSES rapporte également de nombreuses interactions entre l’hormone et des médicaments.

Ainsi, d’après ce rapport, certaines substances augmentent la concentration de mélatonine telles que :

  • la fluvoxamine,
  • les quinolones
  • les œstrogènes ;

D’autres, au contraire, peuvent réduire la concentration de mélatonine telles que :

  • le tabac,
  • la carbamazépine
  • la rifampicine ;

La mélatonine peut aussi modifier la concentration d’autres substances telles que la warfarine ou les corticoïdes.

En tout état de cause, au-delà des interactions au sens propre, il demeure dangereux d’associer la mélatonine avec des substances aux propriétés analogues. Ainsi, en association avec le Zolpidem ou le Zopiclone, la mélatonine augmente les risques de troubles de la mémoire et de la concentration. De manière générale, avec les psychotropes, la mélatonine favorise l’apparition de l’hypotension, des hallucinations visuelles et des troubles de l’équilibre.

Quelles sont les précautions d’usage 

La mélatonine est aujourd’hui un complément alimentaire passé dans les usages courants. Pourtant, la molécule n’est pas sans danger. Aussi, des précautions d’usage strictes sont à suivre, notamment chez les enfants et chez les femmes enceintes. 

Ainsi, selon l’ANSES, l’utilisation de la mélatonine est déconseillée chez : 

Selon la même source, l’utilisation de la mélatonine doit être de courte durée et soumise à un contrôle médical strict chez : 

  • les personnes asthmatiques ;
  • les personnes elliptiques ;
  • les personnes souffrant de troubles de la personnalité ;
  • les personnes avec un traitement médicamenteux, ponctuel ou chronique.

Le saviez-vous ? En France, l’utilisation de la mélatonine dans le cadre du TDAH (trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité) de l’enfant n’a pas été validée. En effet, des études américaines ont révélé que l’usage de cette molécule chez l’enfant n’était pas sans danger.

Que dit la législation sur les compléments alimentaires ?

À la différence des médicaments, les compléments alimentaires ne nécessitent pas d’autorisation de mise sur le marché. Ils sont donc considérés comme des aliments et soumis aux réglementations agroalimentaires. Toutefois, les allégations santé des compléments alimentaires sont, quant à elles, soumises à des législations strictes. Ainsi, seules les allégations santé validées par l’Union européenne sont, depuis 2012, acceptées sur les emballages.

La mélatonine est une hormone naturellement présente dans le corps humain. Consommée sous forme de compléments alimentaires dans le cadre d’une cure, elle permet de lutter contre l’insomnie et de rétablir les cycles du sommeil. Indispensable à la vie, son utilisation exogène nécessite certaines précautions d’usage. N’hésitez pas à demander un avis médical.

Bienfaits et vertus de l’onagre ou belle de nuit

L’onagre est une petite plante, aux mille et une vertus, originaire d’Amérique du Nord. Elle est utilisée depuis des siècles pour ses nombreuses propriétés, notamment sur la peau et l’équilibre hormonal. Découvrez ce guide pour tout savoir sur ce concentré de bien-être naturel. 

Qu’est-ce que l’onagre ? 

L’onagre est une plante largement utilisée en phytothérapie, de la famille des Onagraceae, très reconnaissable à ses petites fleurs jaunes à quatre pétales et à sa tige tachetée de rouge. Cette plante a la particularité, après sa floraison, de produire des fruits dont les graines sont riches en nutriments comme les omégas-6.  

L’usage de ce végétal remonte à des millénaires. En effet, les Amérindiens utilisaient cette plante pour soulager les infections de la peau, les blessures ou encore pour ses vertus nutritionnelles. D’abord originaire d’Amérique du Nord, cette plante se retrouve maintenant à l’état sauvage dans de nombreuses régions d’Europe aux climats tempérés comme sur la côte atlantique ou méditerranée suite à son exportation au XVIIe siècle. 

Le saviez-vous ? L’onagre est aussi appelée “Belle de nuit” ou “Primevère du soir”, car ses fleurs ont la particularité de s’ouvrir seulement à la nuit tombée. 

L’huile d’onagre : un concentré de nutriments essentiels 

La phytothérapie utilise principalement les graines d’onagre. Acide oléique, acide linoléique, vitamine E, vitamine F, phytostérols ou encore minéraux… L’onagre, une des plus grandes sources végétales, avec l’huile de bourrache, d’acides gras oméga-6 gamma linoléique, aussi appelés AGL.

Les omégas sont des sources importantes de lipides indispensables au bon fonctionnement du corps humain qu’on retrouve essentiellement dans les huiles végétales. Il est primordial de vieller au bon apport d’acides gras essentiels, car le corps n’est pas capable de les synthétiser, autrement dit, il ne peut pas en créer lui-même, à la différence de certaines vitamines ou hormones.

Quels sont les bienfaits de l’onagre ? 

Comme expliqué plus haut dans cet article, l’onagre présente de nombreuses propriétés pour le corps, on vous explique tout. 

Amélioration du confort féminin 

Tout au long de leur vie, le corps des femmes est soumis à de nombreuses variations hormonales. Douleur utérine, irritabilité, rétention d’eau, bouffées de chaleur ou encore douleur mammaire, les troubles liés à ces variations peuvent être nombreux. 

Absolument exempte de phytohormones, l’huile d’onagre a pourtant de nombreux effets bénéfiques sur le système hormonal. Grâce à sa composition riche en acides gras essentiels, principalement les omégas-6, l’huile d’onagre permet de réguler le taux de prostaglandine, une hormone jouant un grand rôle dans le cycle féminin aussi bien pendant les règles qu’à la ménopause. En effet, suivant les personnes, le taux de prostaglandine peut-être assez bas et provoquer certains symptômes inconvenants comme le syndrome prémenstruel.

Spm600® : l’onagre au service de votre bien-être 

Un complexe exclusif à base d’huile d’onagre, de magnésium et de vitamines pour soulager les désagréments liés au cycle menstruel. 

Effet cardio-protecteur 

L’huile d’onagre est aussi une solution idéale lorsqu’on souhaite prévenir les problèmes cardiovasculaires comme l’hypertension artérielle. Selon la Fondation de Recherche Médicale, en France, 1 adulte sur 3 serait touché par ce type de pathologie. Les acides gras et les phytostérols contenus dans les graines d’onagre permettent de prévenir les problèmes de cholestérol et évitent l’athérosclérose, c’est-à-dire la formation de dépôts graisseux dans les artères). 

Bienfaits cutanés

Limitation du vieillissement cutanée, meilleure hydratation… L’huile d’onagre est aussi largement reconnue et utilisée en cosmétique pour ses bienfaits sur la peau. Sa richesse en vitamine E et en anti-oxydants permet aux cellules de la peau de limiter l’impact des radicaux libres sur l’épiderme et donc de limiter un vieillissement cutané prématuré. 

Les radicaux libres, qu’est-ce-que c’est ? Ce sont des molécules naturellement présentes dans l’environnement qui ont la propriété d’endommager les cellules de la peau. 

Outre ses propriétés anti-âge, l’huile d’onagre permet aussi de préserver l’hydratation de la peau grâce à sa forte teneur en omégas, ce qui assure la bonne santé du film hydrolipidique de l’épiderme et évite ainsi les démangeaisons. Vous l’aurez alors compris, cette plante est l’alliée des peaux sèches, mais pas seulement. En effet, elle peut aussi être conseiller pour soulager les maladies de peau comme l’eczéma ou bien même l’acné grâce à ses propriétés anti-inflammatoires. 

Protection des capacités cognitives

Comme nous l’avons vu précédemment, l’huile d’onagre permet de maintenir en bonne santé les cellules de l’épiderme humain grâce à sa forte teneur en anti-oxydant. Cette capacité anti-oxydante s’applique aussi aux cellules du cerveau. Les acides gras contenus dans cette huile végétale sont indispensables au bon fonctionnement de ce dernier. En effet, le cerveau est composé à 50 % de lipides, les constituants principaux des AGL. 

Comment bien utiliser l’onagre ? 

Posologie 

Il est possible d’utiliser l’huile d’onagre de différentes manières : 

  • Par voie externe, en la massant à même la peau, par exemple à la place de votre soin hydratant. Le truc en plus, il est aussi possible de s’en servir sur les ongles et les cheveux. Pour profiter de tous les bienfaits de cette huile, il est conseillé de choisir une huile issue d’une première pression à froid. 
  • Par voie orale, avec des compléments alimentaires comme avec les gélules Effi-onagre600® recommandée par les professionnels de santé depuis 1984. 

Effi Onagre® : l’huile d’onagre pure

Effi-onagre600® est composé d’huile d’onagre de très grande qualité, extraite par première pression à froid, conservant et protégeant ainsi toutes ses propriétés.

Elle est particulièrement intéressante lors de chamboulements hormonaux comme la ménopause : elle régule les hormones, soulage les bouffées de chaleur, et apaise l’humeur et les irritabilités.

Effi-onagre600® est recommandé par les professionnels de santé depuis 1984.

Quels sont les effets secondaires de l’huile d’onagre ? 

L’onagre est une solution de phytothérapie sans danger pour la santé, néanmoins, il est nécessaire de suivre quelques recommandations afin d’éviter les mauvaises surprises. En effet, dans certains cas, l’onagre peut être déconseillé, comme pour les femmes enceintes, les personnes épileptiques ou encore pour les personnes sous traitement anticoagulant. 

En cas de prise de complément alimentaire, nous vous recommandons de bien suivre la posologie indiquée, un surdosage pourrait entraîner quelques désagréments comme des maux de tête ou des douleurs intestinales ou encore des troubles digestifs. Il est aussi nécessaire, lors d’une supplémentation en onagre, d’être vigilant sur ses apports alimentaires en acides gras, encore une fois, pour éviter tout surdosage. 

Références : 

  • Du bon usage des plantes qui soignent, Jacques Fleurentin – Editions Ouest-France
  • Rôle de la détection centrale des lipides dans le contrôle nerveux de la balance énergétique, Valentine S. Moullé, Alexandre Picard, Céline Cansell, Serge Luquet et Christophe Magnan – Med Sci (Paris) Volume 31, Number 4, Avril 2015
  • Recherches maladies cardiovasculaires, focus hypertension artérielle – FRM (Fondation Recherche Médicale)

Comment augmenter le sommeil profond ?

Le sommeil profond est la troisième phase du cycle du sommeil. Il se caractérise par un état de relaxation profond permettant à votre corps de se régénérer. Normalement, il représente un quart de votre sommeil total. Sans lui, vous restez fatigué, vous avez des problèmes de mémoire et d’irritabilité. Mais, parfois, certaines conditions environnementales ou certains troubles physiques réduisent sa qualité. Voici comment rétablir l’équilibre. 

Quelles sont les différentes phases du sommeil ?

Une nuit se décompose en plusieurs cycles de sommeil. Chaque cycle de sommeil est, lui-même, composé de plusieurs phases. Ces dernières se succèdent sur une durée de 90 minutes environ. Une nuit classique comporte, pour un adulte en bonne santé, un ensemble de 4 à 6 cycles.

Chaque cycle de sommeil comporte 3 grandes phases : 

  • une phase de sommeil léger ;
  • une phase de sommeil profond ;
  • une phase de sommeil paradoxal.

Qu’est-ce que le sommeil profond ?

Le sommeil profond constitue la deuxième phase du cycle du sommeil. Pendant cette période, vos muscles se relâchent et votre activité cérébrale diminue. Vous observez aussi un ralentissement du rythme cardiaque. La durée du sommeil profond est plus importante en début de nuit. Au total, le sommeil profond représente environ 25 % du temps de sommeil total de la nuit.

À quoi sert le sommeil profond ?

Le sommeil profond est essentiel pour votre santé. Ainsi, cette phase de sommeil permet à votre cerveau d’évacuer ses déchets métaboliques. C’est à ce moment-là que vos défenses immunitaires se renforcent. Le sommeil profond permet aussi la récupération physique.

Le sommeil profond a aussi d’autres bienfaits sur votre organisme : 

  • cicatrisation ;
  • énergie ;
  • production hormonale ;
  • renforcement de la mémoire.

Quelles sont les causes d’un manque de sommeil profond ?

Il est médicalement impossible de ne pas avoir de sommeil profond du tout. Toutefois, les perturbations du sommeil entraînent presque systématiquement un déficit en sommeil profond. Les causes les plus communes sont alors : 

Stressé(e) et fatigué(e) ? Découvrez pourquoi ces deux sont souvent liés.

Quelles sont les conséquences d’un manque de sommeil profond ?

Le sommeil profond est essentiel, car c’est le moment le plus récupérateur de votre nuit. Ainsi, lorsque vous manquez de sommeil profond, votre corps, tout comme votre esprit, ne suit plus la cadence. Vous ressentez, bien sûr, de la fatigue. Vous avez aussi du mal à rester concentré sur votre travail. Enfin, vous avez des humeurs assez changeantes, et vous devenez plus irritable. Sur le long terme, le manque de sommeil profond peut être préjudiciable pour votre santé.

Comment augmenter son sommeil profond ?

Les phases de sommeil profond participent grandement à un sommeil de qualité et réparateur. Il est, dès lors, essentiel d’avoir une durée de sommeil profond suffisante. Pour cela, une hygiène de vie correcte est fondamentale, mais pas toujours suffisante. Quand le sommeil profond demeure d’une qualité ou d’une quantité insatisfaisante, certains compléments alimentaires peuvent se révéler intéressants.

Quelles règles d’hygiène de vie adopter ?

Lorsque votre sommeil n’a plus la qualité souhaitée pour vivre pleinement, certaines mesures d’hygiène de vie doivent être prises. Ainsi, pour conserver ou retrouver un sommeil profond suffisant : 

  • évitez de vous exposer aux écrans dans les heures qui précèdent le sommeil, car leur lumière bleue empêche la sécrétion correcte de la mélatonine, l’hormone du sommeil ;
  • couchez-vous à heure fixe, de préférence avant minuit, car la durée des phases de sommeil profond diminue après 3 heures du matin ;
  • soignez votre alimentation et préférez des aliments riches en tryptophane ;
  • évitez les excitants tels que le tabac, le café, le thé et le chocolat noir dans les heures qui précèdent le sommeil ;
  • évitez l’alcool parce qu’il perturbe la régulation naturelle des cycles du sommeil ;
  • pratiquez une activité relaxante telle que le yoga, la méditation pour favoriser la détente de votre corps ;
  • enfin, pensez à adopter une bonne literie et à maintenir la température de votre chambre à coucher entre 16 et 18 °C.

Quels compléments alimentaires utiliser ?

Lorsque votre sommeil n’est plus assez récupérateur, certains compléments alimentaires peuvent débloquer la situation. Ainsi, certaines plantes, mais aussi certains nutriments, sont réputés pour leurs actions sur le sommeil. 

Dorlon

Dorlon : pour un sommeil réparateur

Découvrez les vertus apaisantes du coquelicot, un allié naturel dans la lutte contre l‘insomnie. Avec Dorlon : zéro risque d’accoutumance ou de réveil difficile.

C’est généralement encore mieux lorsque leurs principes actifs se retrouvent en synergie. C’est ce que propose le complément alimentaire Dorlon®, une combinaison unique de 10 actifs reconnus pour leurs bienfaits sur la qualité du sommeil profond. 

Vous avez des difficultés à vous endormir ? Dorim®, à base de mélatonine, de coquelicot et de tilleul, mais aussi de plusieurs vitamines du groupe B, facilite l’endormissement. 

Bien sûr, les compléments alimentaires ne se substituent pas à un mode de vie sain. Un suivi médical est recommandé avec l’utilisation de compléments alimentaires contenant de la mélatonine.

Quand faut-il consulter ?

Même s’ils sont communs, les troubles du sommeil ne sont pas toujours anodins. Ainsi, avant de recourir à de l’automédication ou si les symptômes persistent, pensez à consulter rapidement un professionnel de la médecine. La fatigue peut dissimuler des maladies ou des troubles du sommeil sérieux comme l’apnée du sommeil.

Le sommeil profond est indispensable à la régénération de votre organisme. Mais voilà, parfois, sa quantité ou sa qualité diminue. Vous êtes alors fatigué, déconcentré et irritable. Votre corps et votre mental sont plus fragiles. Pour rétablir l’équilibre, un mode de vie sain et équilibré est indispensable. Dans les cas plus sérieux, des compléments alimentaires peuvent vous aider à passer le cap. Toutefois, si les symptômes persistent, ou empirent, le recours à un professionnel de la santé est indispensable.

Références :

  • Apnée du sommeil – Par Kingman P. Strohl , MD, Case School of Medicine, Case Western Reserve University – Revue/Révision complète oct. 2022
  • Narcolepsie – Par Richard J. Schwab , MD, University of Pennsylvania, Division of Sleep Medicine – Revue/Révision complète mai 2022