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Auteur/autrice : Dergam

Quels sont les bienfaits de l’huile de poisson ?

L’huile de poisson est très riche en acide gras de type oméga 3. Ces acides gras polyinsaturés lui confèrent de nombreuses vertus pour la santé : cœur, cerveau ou encore yeux sont quelques-uns des organes à en bénéficier. L’huile de poisson est un complément alimentaire de référence. Focus sur ses bienfaits.

L’huile de poisson, un complément alimentaire hors norme

La consommation d’huile de poisson est devenue courante dans le monde occidental moderne. Et pour cause, les acides gras oméga 3 sont indispensables à la bonne santé, notamment cardiovasculaire et immunitaire. L’huile de poisson contient des oméga 3 EPA et DHA en quantité plus qu’intéressante.

L’huile de poisson peut provenir de poissons sauvages ou de poissons d’élevage. L’huile de poissons sauvages provient d’une pléiade d’espèces : l’espadon, le hareng, la sardine, le maquereau… Sa qualité nutritionnelle est excellente. L’huile de poisson d’élevage est souvent issue d’huiles de saumon ou de foie de morue.

Une histoire d’acides gras oméga 3

L’intérêt de l’huile de poisson réside dans sa composition lipidique. En effet, l’huile de poisson est riche en EPA (acide eicosapentaénoïque) et DHA (acide docosahexaénoïque). Ces deux formes d’oméga 3 jouent des rôles majeurs sur la santé. Malheureusement, le corps humain ne peut pas fabriquer d’oméga 3 et l’alimentation occidentale n’en contient pas assez. Les suppléments d’huile de poisson semblent alors être la solution.

Une multitude de bienfaits pour votre santé

Les bienfaits de l’huile de poisson sur la santé sont nombreux et variés.  La concentration en EPA et en DHA de cette huile exerce un effet positif sur la plupart des systèmes du corps humain. Panorama

Bienfaits de l’huile de poisson sur la santé cardiovasculaire

L’impact positif des oméga 3 sur la santé cardiovasculaire ne fait plus de doute. Une consommation suffisante apporte une protection contre certains facteurs associés aux troubles cardiovasculaires :

  • réduction de la tension artérielle ;
  • réduction des triglycérides ;
  • réduction de cholestérol LDL ;
  • diminution de la formation de caillots ;
  • diminution des plaques dans les artères.

Bienfaits de l’huile de poisson sur le cerveau

L’huile de poisson a aussi des bienfaits sur le cerveau. Et pour cause : le cerveau est principalement composé de graisse et singulièrement de DHA, un des oméga 3 des poissons. Ainsi, la consommation régulière de poissons, ou d’huiles de poisson, aurait un effet protecteur contre les démences séniles et notamment contre la maladie d’Alzheimer.

Bienfaits de l’huile de poisson sur la vision

Les oméga 3 contenus dans l’huile de poisson favorisent le développement et le maintien d’une bonne vision. En effet, les oméga 3 sont présents dans la structure oculaire (essentiellement dans la rétine). Avec l’âge, les yeux deviennent moins performants. Les oméga 3 DHA seraient alors utiles pour prévenir ce vieillissement et les dégénérescences maculaires liées à l’âge.

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Bienfaits de l’huile de poisson sur l’inflammation

Les oméga 3 de l’huile de poisson ont également des vertus anti-inflammatoires. Ainsi, ils limiteraient la production des cytokines, de puissantes molécules inflammatoires. L’huile de poisson, et ses oméga 3, est ainsi efficace pour réduire les douleurs articulaires inflammatoires comme les douleurs de l’arthrite. Cette huile serait aussi une aide précieuse pour lutter contre le syndrome prémenstruel.

Par ailleurs, son action immunomodulatrice agit en synergie avec ses vertus anti-inflammatoires. L’huile de poisson permet ainsi de réduire les crises d’arthrite rhumatoïde ou de sclérose en plaques (SEP).

Bienfaits de l’huile de poisson sur l’humeur

Les oméga 3, abondamment présents dans l’huile de poisson, ont prouvé leurs bienfaits sur les troubles de l’humeur. Ainsi, une supplémentation en huile de poisson peut être indiquée dans les troubles dépressifs. Selon certaines études, elle est aussi efficace contre certains types de troubles anxieux. 

Bien consommer votre huile de poisson

L’huile de poisson comme complément alimentaire a des atouts indéniables. Mais encore faut-il savoir la choisir et bien la consommer.

Les capsules d’huile de poisson permettent de compléter les apports en oméga 3 de l’alimentation. Pour en tirer tous les bénéfices, il est important de privilégier de l’huile de poisson de qualité, soit si possible de l’huile de poissons sauvages issue de la pêche durable.

Dans tous les cas, l’huile de poisson en gélules doit se consommer pendant le repas principal. Il faut toutefois éviter de consommer ce complément alimentaire durant un repas riche en oméga 6 avec lesquels ils ne font pas bon ménage.

Le cas particulier de l’huile de foie de morue

L’huile de poisson la plus connue est l’huile de foie de morue. Cette huile de poisson sauvage ou d’élevage a terrorisé plus d’une génération d’enfants. Pourtant, elle possède de nombreux atouts :

Aujourd’hui, pourtant, ce supplément d’huile de poisson perd de sa superbe. Non contents d’être gustativement discutables, les compléments alimentaires à base d’huile de foie de morue ont le défaut de leur qualité : leur richesse en vitamine A. Si durant des décennies, on a pensé que l’huile de foie de morue contribuait à la bonne santé des petits et des grands, la science sait aujourd’hui que de trop fortes doses de vitamine A peuvent être délétères pour la santé.

Aussi, les autorités sanitaires recommandent désormais de remplacer les compléments d’huile de foie de morue par des gélules d’huile d’autres poissons. Celles-ci offrant les mêmes avantages que l’huile de foie de morue sans les inconvénients.

La vitamine A reste bien sûr essentielle pour notre santé, et il est important d’en consommer, dans les bonnes quantités.

Les compléments alimentaires à base d’huile de poisson ont le vent en poupe. Il faut dire qu’avec sa richesse en oméga 3, dans cette huile tout est bon. Elle prend soin de la santé cardiovasculaire, immunitaire et cérébrale de votre corps.

Sécheresse oculaire : les remèdes de grand-mère

Yeux rouges, yeux secs ou, au contraire, yeux larmoyants, la sécheresse oculaire s’invite chez vous. Ce trouble ophtalmologique est commun et souvent lié au mode de vie. S’il se traite parfaitement bien chez le médecin, certains remèdes de grand-mère peuvent vous dépanner.

Qu’est-ce que la sécheresse oculaire ?

La sécheresse oculaire est une maladie des yeux. Généralement multifactorielle, elle impacte l’humidification du globe oculaire.

Elle est liée à un film lacrymal fragilisé qui ne permet plus de garder l’humidité ou à une production de larmes insuffisantes. Dans tous les cas, la cornée de vos yeux est irritée, voire enflammée.

Pour aller plus loin découvrez aussi quel complément alimentaire choisir pour quelle pathologie visuelle.

Quels sont les symptômes de la sécheresse oculaire ?

La sécheresse oculaire entraîne, selon son degré, des symptômes allant de la gêne aux troubles de la vision en passant par les douleurs. Les principaux symptômes de la sécheresse oculaire sont :

  • les yeux rouges ;
  • les yeux secs ;
  • une sensation de grain de sable dans les yeux ;
  • des picotements ;
  • des démangeaisons ;
  • des larmoiements ;
  • des sensations de brûlure.

Quelles sont les causes de la sécheresse oculaire ?

En général, la sécheresse oculaire est multifactorielle. Tant ses causes biologiques qu’environnementales sont très variées.

D’un point de vue biologique, la sécheresse oculaire est causée par une déficience dans la production des larmes ou de la couche lipidique. Votre cornée n’est alors plus hydratée de manière homogène. Elle se dessèche progressivement.

D’un point de vue environnemental, la sécheresse oculaire est causée ou aggravée par des facteurs tels que :

  • la pollution ;
  • le tabagisme ;
  • les écrans ;
  • le pollen ;
  • le manque d’hydratation ;

Dans certains cas, la sécheresse oculaire résulte de maladies auto-immunes.

Quels sont les remèdes naturels à la sécheresse oculaire ?

Les remèdes naturels pour soulager le syndrome des yeux secs proposés par la médecine sont efficaces. Il existe cependant des mesures préventives qui peuvent déjà vous soulager.

Éliminer les causes

Pour soulager les yeux secs, vous pouvez déjà modifier votre environnement. En effet, certaines pratiques provoquent une sécheresse oculaire ou en aggravent la sévérité.

Ainsi, pour limiter les risques, vous pouvez limiter ou éviter :

  • le port de lentilles de contact (ou opter pour un modèle adapté à la sécheresse oculaire) ;
  • le temps passé devant un écran d’ordinateur, de tablette ou de smartphone ;
  • l’exposition à la fumée de cigarette, aux polluants et à la poussière ;
  • l’utilisation de l’air conditionné (trop sec) ;
  • les feux de cheminée ;
  • de vous frotter les yeux.

Soigner votre alimentation

Comme dans beaucoup de cas, la santé des yeux passe aussi par l’assiette. Certains nutriments sont, en effet, réputés ou reconnus pour avoir des bienfaits sur la vision.

Ainsi, pour des yeux fatigués ou fragilisés, pensez à consommer en abondance des aliments qui contiennent :

Certains compléments alimentaires sont spécifiquement prévus pour les yeux. Toutefois, tous ne sont pas destinés à lutter contre la sécheresse oculaire.

Les remèdes de grand-mère classiques

Lorsque vous souffrez d’une sécheresse oculaire, votre souhait (et votre besoin) est de soulager rapidement les symptômes. Pour cela, plusieurs remèdes naturels ont fait leurs preuves.

Lorsque vous avez les yeux secs, pensez aux larmes artificielles. Parfois appelées collyre, les larmes artificielles permettent de restaurer rapidement l’hydratation de vos yeux. Pensez à ne pas cligner des yeux directement après l’application pour laisser le temps à la larme de bien s’étendre sur votre cornée.

Si vous n’avez pas de larmes artificielles sous la main, pensez aux compresses chaudes. Prenez une tasse d’eau bouillante et imprégnez les compresses (faites attention de ne pas vous brûler). Appliquez sur vos paupières fermées les compresses chaudes, mais pas brûlantes et laissez agir quelques minutes. Cette technique permet de détendre vos yeux et de favoriser la dispersion de la couche lipidique de votre film lacrymal.

Et les plantes ?

Pour vous soulager, rien de tel qu’un remède de grand-mère à base de plantes. Dans le domaine de la sécheresse oculaire, plusieurs options s’offrent à vous :

  • L’huile de ricin entre dans la composition de nombreux collyres, car elle retient l’eau.
  • L’hydrolat de fleurs de bleuets ou de camomille hydrate et apaise les yeux irrités.
  • Le cataplasme de pomme de terre apaise les yeux rouges.
  • L’aloe vera calme l’inflammation.
  • Le cataplasme de mauve apaise les yeux rougis.
  • Le miel diminue l’inflammation.

Appliquez des cataplasmes sur les paupières fermées. Attendez ensuite quelques minutes avant de les retirer. Évitez de frotter vos yeux immédiatement.

Un remède de grand-mère ne remplace pas une consultation médicale. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien avant d’appliquer un quelconque produit sur vos yeux.

Et si ça coince ?

Si les traitements naturels ne donnent aucun résultat, votre ophtalmologiste pourrait vous proposer des méthodes plus « musclées ». Ainsi, pour le traitement du phénomène des yeux secs, il est possible de recourir à une petite intervention pour boucher les voies lacrymales et éviter l’évacuation trop rapide du liquide.

La sécheresse oculaire affecte plusieurs millions de Français. Gênante au quotidien, elle peut être soulagée par des moyens naturels, dont les traditionnels remèdes de grand-mère. Si cela se révèle insuffisant, d’autres méthodes peuvent vous aider.

Comment lutter contre la dégénérescence maculaire ?

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (dmla) est une maladie de l’œil qui atteint principalement les personnes au-delà de 55 ans. Elle entraîne une perte de la vision centrale. Le diagnostic s’effectue au moyen de l’examen du fond de l’œil et d’autres examens complémentaires. À ce jour, il n’existe aucun traitement de la dégénérescence maculaire qui puisse guérir la maladie. Toutefois, les patients bénéficient d’un suivi permettant de limiter la progression de la maladie.

Qu’est-ce que la dégénérescence maculaire ?

La dégénérescence maculaire liée à l’âge est une pathologie visuelle grave et incurable. Elle existe sous deux formes : la dmla sèche et la dmla humide.

La dégénérescence maculaire sèche

La dégénérescence maculaire sèche, ou dmla atrophique, est la plus commune. Elle représente environ 80 % des cas. Elle se caractérise par un rétrécissement de la rétine.

La dégénérescence maculaire humide

La dégénérescence maculaire humide, ou dmla exsudative se caractérise par la formation de vaisseaux sanguins anormaux autour de la macula et sous l’épithélium pigmentaire. Elle provoque alors des lignes ondulant au centre de votre champ visuel.

Quelles sont les causes de la dégénérescence maculaire ?

La dégénérescence maculaire est une maladie complexe pour laquelle les chercheurs n’ont pas encore isolé les causes. Il semble néanmoins que son apparition soit corrélée à l’âge et à l’hérédité.

D’un point de vue biologique, la cause de la dégénérescence est l’altération graduelle de la macula. Zone centrale de la rétine, elle permet de voir de manière précise les couleurs et des détails. Sa détérioration plus ou moins rapide explique que l’apparition des symptômes soit progressive.

Comment éviter la dégénérescence maculaire liée à l’âge ?

La dégénérescence maculaire étant principalement liée à l’âge et à la génétique, il est impossible d’amener le risque à zéro. Toutefois, certains autres facteurs peuvent être modifiés afin de diminuer le risque.

Les mesures de protection

Les mesures de protection contre la dégénérescence maculaire sont en réalité des mesures d’exclusion des comportements et facteurs aggravants :

  • porter des lunettes de soleil avec un indice UV égal ou supérieur à 4 dès les premiers rayons ;
  • arrêter de fumer (fumer multiplie par 4 le risque de développer la pathologie, en plus des autres problèmes de santé encourus) ;
  • maîtriser votre taux de cholestérol et votre tension artérielle, les maladies cardio-vasculaires semblent augmenter les risques de dmla (et pas que) ;
  • goûter à la cuisine méditerranéenne et surtout faire le plein d’aliments antioxydants protecteurs de l’organisme.

Lire également : Comment la mélanine protège-t-elle vos yeux?

Zoom sur l’alimentation

Dans la protection de la dmla, comme dans la préservation de la santé en général, l’assiette a son rôle à jouer. Ainsi, certaines substances limitent les risques de développer des pathologies de la vision tandis que d’autres en freinent la progression. Zoom sur votre assiette.

La cuisine méditerranéenne est la meilleure pour prendre soin de votre santé et de celle de vos yeux. A minima, votre assiette doit être riche dans certains nutriments :

Mais, les micronutriments les plus indispensables dans cette pathologie sont la lutéine et la zéaxanthine, deux caroténoïdes. Pour en savoir plus sur les avantages synergiques de ces micronutriments, consultez notre article dédié.

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Quels sont les symptômes de la dégénérescence maculaire ?

Les premiers symptômes de la dmla passent généralement inaperçus. La maladie est alors diagnostiquée de manière fortuite pendant un examen de routine. Toutefois, au fur et à mesure de la progression de la pathologie, certains symptômes apparaissent :

  • déformation des images et de lignes droites qui deviennent incurvées ;
  • diminution de l’acuité visuelle avec une vision centrale floue ;
  • apparition de taches noires au centre du champ de vision ;
  • diminution des contrastes ;
  • impression de lumière insuffisante ;
  • diminution de la perception en vision nocturne ;
  • troubles de la lecture ;
  • sensation d’éblouissement ;
  • moindre perception des couleurs.

L’apparition des symptômes s’étale parfois sur plusieurs années pour une dmla sèche. Dans le cas d’une dmla humide, la perte d’acuité visuelle peut être brutale.

Dans les stades les plus avancés dans la maladie, la vision centrale des patients peut totalement disparaître. La vision périphérique n’est néanmoins pas altérée et peut servir de repère pour continuer à mener une vie normale.

Comment s’établit le diagnostic de la dégénérescence maculaire liée à l’âge ?

Le diagnostic de la dégénérescence maculaire liée à l’âge est posé par un ophtalmologiste. Pour cela, ce spécialiste des yeux procède à plusieurs examens :

  • les mesures d’acuité visuelle ;
  • l’examen au biomicroscope pour observer le segment antérieur des yeux ;
  • l’examen du fond de l’œil pour chercher les anomalies liées à la dmla et observer l’état global de la rétine ;
  • une angiographie pour mettre en lumière les vaisseaux sanguins anormaux caractéristiques de la dmla humide ;
  • la tomographie par cohérence optique (oct) pour examiner chaque couche de la rétine de manière isolée.

Certains de ces examens nécessitent l’utilisation d’un collyre qui dilate la pupille. Lorsque la pupille est dilatée, votre vision est floue. Il est donc interdit de conduire un véhicule dans les heures qui suivent l’examen.

Quels sont les traitements pour la dégénérescence maculaire ?

Actuellement, aucun traitement ne permet de guérir une dégénérescence maculaire. Dans sa version sèche, la dégénérescence maculaire progresse très lentement et ne masque jamais la totalité de la vision. Dans sa version humide, sa progression est nettement plus rapide. Pour cette forme de la maladie, il existe un traitement qui stoppe la progression, mais ne permet pas de retrouver l’acuité perdue : les injections intravitréennes.

La dégénérescence maculaire est une maladie ophtalmique qui touche principalement les 50 ans et plus. Elle se manifeste généralement de manière progressive et fait diminuer l’acuité visuelle. Sous une forme plus avancée, la maladie se caractérise par une perte de la vision centrale. À ce jour, il n’existe pas de traitement curatif, mais la forme la plus agressive de la maladie peut être freinée par des injections dans l’œil.

Quel est le rôle du film lacrymal ?

Le film lacrymal, souvent confondu avec les larmes, constitue la partie « liquide » de l’appareil lacrymal. Il est composé de trois couches successives. Complémentaires, ces différentes couches assurent l’hydratation et le nettoyage constant de vos yeux. Vos paupières, par leurs clignements, assurent la répartition régulière de votre film lacrymal sur vos yeux. L’instabilité du filme lacrymal provoque ainsi des troubles ophtalmologiques, dont les yeux secs. Zoom sur le film lacrymal.

Qu’est-ce que le film lacrymal ?

Le film lacrymal est une des composantes de l’appareil lacrymal. Le film lacrymal, en lui-même, est une fine pellicule de larmes. Il recouvre et protège la cornée. Le film lacrymal est sécrété par les glandes lacrymales, à ne pas confondre avec les glandes de Meibomius.

Comment fonctionne l’appareil lacrymal ?

L’appareil lacrymal est le nom scientifique du système lacrymal. C’est un système composé de deux parties complémentaires : les glandes lacrymales et les voies lacrymales.

Les glandes lacrymales permettent la production des larmes et le liquide lacrymal. Elles assurent ainsi l’hydratation et le nettoyage de la cornée. Les voies lacrymales, quant à elles, éliminent ce fluide lorsqu’il n’a plus d’utilité.

L’appareil lacrymal peut donc être comparé à un système d’hydratation et de nettoyage de l’extérieur des yeux.

Quelle est la composition du film lacrymal ?

Le film lacrymal est composé de trois parties distinctes :

  • une partie lipidique ;
  • une partie aqueuse ;
  • une partie mucine.

Qu’est-ce que la couche lipidique du film lacrymal ?

La partie lipidique constitue la partie externe du film lacrymal. Cette couche est très riche en graisses, dont le cholestérol et les triglycérides. Elle évite que la couche aqueuse ne s’évapore trop vite. Ce sont les glandes de Meibomius qui assurent sa fabrication.

Qu’est-ce que la couche aqueuse du film lacrymal ?

La partie aqueuse constitue la couche médiane du film lacrymal. Cette couche est principalement composée d’eau, mais pas uniquement. En effet, elle contient également des éléments nutritifs essentiels à la bonne santé de la cornée. De plus, cette couche transporte aussi des protéines utiles aux défenses immunitaires de vos yeux.

Qu’est-ce que la couche mucine du film lacrymal ?

La couche mucine du film lacrymal est la plus interne. Elle se situe sur la surface de la cornée. Elle veille à ce que le liquide lacrymal se distribue uniformément et reste collé à cette surface oculaire. En effet, la cornée est naturellement hydrophobe.

Quel est le rôle du film lacrymal ?

Le film lacrymal n’a pas qu’un seul rôle. Au contraire, il occupe plusieurs fonctions essentielles pour une bonne vision :

  • protection de l’œil contre les agressions extérieures ;
  • nutrition de la cornée ;
  • oxygénation de la cornée ;
  • dilution d’une trop forte concentration en dioxyde de carbone.

Lire également : L’importance de la mélanine pour les yeux

Comment fonctionne votre film lacrymal ?

Votre film lacrymal provient donc de votre glande lacrymale située dans votre paupière supérieure. Toutes les 4 à 6 secondes, vous effectuez, de façon inconsciente, un battement de cil. Votre paupière descend et remonte alors le long de votre cornée. 

C’est durant ce mouvement que votre paupière répartit le film lacrymal à la surface de l’œil, sur votre cornée. De cette manière, votre cornée est perpétuellement humide. La présence constante du film lacrymal protège votre cornée des infiltrations d’agents pathogènes. Par la même occasion, le va-et-vient de votre paupière permet l’évacuation des microbes et des substances étrangères de la surface de votre cornée.

Quelles sont les conséquences d’un film lacrymal endommagé ?

Votre film lacrymal est fragile. Votre environnement ou des pathologies peuvent l’abîmer. Suivant le degré des agressions et des dommages, l’altération de votre film lacrymal engendre de nombreux symptômes :

  • yeux douloureux ;
  • yeux rouges ;
  • maux de tête ;
  • flou visuel ;
  • … .


La fragilisation ou les dommages au film lacrymal provoquent aussi certaines pathologies :

Les altérations du film lacrymal apparaissent aussi dans certaines maladies pour lesquelles elles sont à la fois des causes et des conséquences :

  • le syndrome de Gougerot-Sjören ;
  • la rosacée ;
  • le lupus ;
  • la polyarthrite rhumatoïde ;
  • … .

Comment prendre soin de votre film lacrymal ?

Pour que votre film lacrymal puisse continuer à exercer correctement ses fonctions, vous devez en prendre soin. Comme pour tous les organes, la base de la santé des yeux se passe dans l’assiette.

Ainsi, votre film lacrymal comporte une couche lipidique. Les acides gras de qualité contribuent à sa constitution. Votre alimentation doit donc contenir des oméga 3 en quantité suffisante. De la même manière, certains vitamines et minéraux sont réputés pour leurs rôles protecteurs des yeux. Le zinc et les vitamines A, E, C, B6 et B12 pourraient même soulager les douleurs des yeux secs. Certains compléments alimentaires répondent à ce besoin.

Mais ce n’est pas tout. Pour préserver votre film lacrymal, quelques gestes quotidiens peuvent faire la différence :

  • limiter l’utilisation des écrans ;
  • éviter le port de lentilles de contact ;
  • fuir les milieux enfumés ou pollués.

Comment soigner votre film lacrymal ?

Si votre film lacrymal est endommagé, des moyens naturels existent pour le réparer. Une consultation médicale reste toutefois indispensable en cas de douleurs ou de gênes permanentes.

Dans un premier temps, vous pouvez utiliser des compresses chaudes pour détendre vos yeux. Vous pouvez également procéder, délicatement, à des massages des paupières.

Dans un deuxième temps, vous pouvez utiliser les collyres ou larmes artificielles disponibles en pharmacie pour restaurer votre film lacrymal.

Votre film lacrymal est essentiel à la santé de vos yeux. Composé de trois couches complémentaires, il prend soin de votre cornée. Hydratant et nettoyant constamment vos yeux, le film lacrymal les protège des agressions extérieures. S’il est endommagé, il peut engendrer des effets douloureux, notamment des symptômes de sécheresse oculaire. Prenez rapidement contact avec votre médecin pour obtenir un diagnostic précis.

Les phosphènes : pourquoi vois-je des flashes dans les yeux ?

Flashes, éclairs ou étincelles d’apparition plus ou moins soudaine dans votre champ de vision, les phosphènes impressionnent. 

Qu’il soit causé par une stimulation ou un dysfonctionnement des cellules du système visuel, ce trouble ophtalmologique gêne la vision des patients. Dans tous les cas, l’apparition de phosphènes dans votre champ de vision nécessite un diagnostic rapide. S’il est impossible de traiter les phosphènes, votre ophtalmologiste pourra en traiter la cause. Toutes les explications sur cet étrange phénomène visuel.

Découvrez aussi les compléments alimentaires à privilégier pour les différents troubles visuels.

Qu’est-ce qu’un phosphène ?

Le phosphène est un trouble visuel. Il se caractérise par une sensation de lumière ou l’apparition de taches dans le champ visuel. Les patients le décrivent comme un phénomène de flash, d’étincelle ou d’éclair dans le champ de vision. Les phosphènes ne doivent pas être confondus avec les corps flottants, un autre trouble ophtalmologique parent.

Quelles sont les causes des phosphènes ?

Les causes des phosphènes sont divisées en deux catégories :

  • non pathologiques : une stimulation électrique, une stimulation mécanique ou encore magnétique de la rétine ou du cortex visuel, 
  • et les causes pathologiques : un dysfonctionnement des cellules du système visuel.

Les causes non pathologiques responsables de phosphènes

Les phosphènes non pathologiques sont issus de la persistance rétinienne. Ce phénomène se produit lorsque vous regardez une source lumineuse vive. L’image reste imprégnée sur votre rétine et vous continuez à percevoir des taches lumineuses après le retrait de la lumière.

Issu donc d’une stimulation mécanique, électrique ou magnétique, ce phénomène est passager et généralement bénin.

Les phosphènes non pathologiques se produisent également lors des vertiges orthostatiques. Ils disparaissent d’eux-mêmes après quelques instants.

Le saviez-vous ?

Dans l’espace, les spationautes sont souvent confrontés à l’effet Tcherenkov. Il s’agit des particules de vent solaire qui traversent l’humeur aqueuse et qui engendrent des phénomènes lumineux proches des phosphènes.

Les causes pathologiques responsables de phosphènes

Certains phosphènes sont les témoins de pathologies plus ou moins graves. Ils demandent alors une consultation rapide chez un médecin spécialisé.

Les pathologies qui entraînent des phosphènes sont :

  • la migraine ophtalmique, le phénomène lumineux est alors qualifié d’aura visuelle ;
  • le décollement du vitré (aussi appelé le décollement du postérieur du vitré), le phénomène est alors accompagné de corps flottants  ;
  • la déchirure ou le décollement de la rétine, le phénomène est alors lié à la traction du vitré sur la rétine, dans ce cas les phosphènes sont nombreux et plutôt blancs ;
  • un traumatisme du globe oculaire ou du crâne ;
  • la phantosmie, il s’agit d’une pathologie hallucinatoire ;
  • … .

Dans la majorité des cas, les pathologies en cause sont celles de corps vitré ou de la rétine. Une intervention médicale urgente est nécessaire. Un décollement ou une déchirure de la rétine peuvent laisser des séquelles visuelles graves et permanentes.

Quels sont les symptômes des phosphènes ?

Le phosphène n’a pas de symptômes, car il est lui-même un symptôme. Généralement, le phosphène est décrit comme un phénomène lumineux dans le champ de vision. Il existe toutefois des variations.

Les patients décrivent souvent les phosphènes comme des petites lumières. Elles se présentent comme des éclairs, des étincelles ou encore des flashes. Le phénomène est perçu tout autant avec les yeux ouverts qu’avec les yeux fermés. Dans tous les cas, la présence de ces phosphènes dérange la vision.

Bien que gênant, le phosphène n’est pas un phénomène permanent. Il disparaît habituellement au bout de quelques minutes. Ses causes sont multiples, parfois bénignes, parfois pathogènes.

Comment établit-on le diagnostic des phosphènes ?

Le diagnostic des phosphènes s’établit en deux temps : un diagnostic différentiel et un diagnostic étiologique. Cela permet d’identifier le phénomène et ses causes.

Le diagnostic différentiel des phosphènes

Le diagnostic différentiel vise à différencier les phosphènes d’autres pathologies proches.

Le premier trouble lumineux qui peut être confondu avec les phosphènes est les photopsies. Il s’agit de points lumineux mobiles dans le champ de vision. Dans la plupart des cas, ils sont liés au vertige paralysant même s’ils peuvent aussi trahir un décollement du corps vitré.

Le second trouble lumineux qui peut être confondu avec les phosphènes est le scotome scintillant. Il se caractérise par des lignes lumineuses autour d’une zone sombre. Généralement, le scotome lumineux est un signe de dégénérescence maculaire liée à l’âge, de glaucome, d’inflammation du nerf optique ou encore d’hypertension dans le globe oculaire.

Le diagnostic étiologique des phosphènes

Le diagnostic étiologique des phosphènes vise à trouver la cause du phénomène. C’est l’examen du fond de l’œil qui constitue l’examen de référence. En général, votre ophtalmologiste cherchera trois causes possibles :

  • un décollement du vitré ;
  • un décollement de la rétine ;
  • une déchirure de la rétine.

La rapidité de la prise en charge médicale détermine bien souvent la qualité de récupération de la vision. Par conséquent, au moindre doute, consultez immédiatement un médecin pour recevoir un diagnostic précis et les soins appropriés.

Quels sont les traitements des phosphènes ?

Il n’existe pas de traitements dirigés contre les phosphènes en eux-mêmes. Le traitement est donc étiologique, c’est-à-dire qu’il faut traiter la cause du phénomène. Toutefois, votre ophtalmologiste peut vous prescrire des produits supplémentaires pour atténuer votre gêne.

Les phosphènes doivent être pris en charge rapidement. En effet, certaines de leurs causes nécessitent un traitement immédiat. C’est le cas notamment des problèmes de décollement ou de déchirure de la rétine qui peuvent laisser des séquelles plus ou moins graves.

Les phosphènes sont plus connus sous l’appellation de flashes ou de points lumineux dans le champ de vision. Ils sont habituellement causés par des problèmes du corps vitré ou de la rétine. Une prise en charge médicale rapide est essentielle pour traiter la cause sous-jacente et éviter toute séquelle visuelle.

Larmes artificielles : la solution aux yeux secs ?

Vos yeux sont rouges, ils piquent et vous ressentez une gêne visuelle ? Comme de nombreux français, vous souffrez certainement de sécheresse oculaire, un trouble ophtalmologique commun. Les larmes artificielles permettent souvent de soulager la gêne occasionnée, même si une consultation médicale reste indispensable. Mais sont-elles notre seul recours ?

Qu’entend-on par larmes artificielles ?

Les larmes artificielles sont des médicaments liquides destinés à hydrater les yeux. Dans le langage courant, les larmes artificielles sont souvent assimilées au collyre ou aux gouttes pour les yeux. En réalité, il existe toutes sortes de collyres, et les larmes artificielles représentent un type de collyre en particulier. En effet, celles-ci ont pour seul but d’hydrater la cornée. D’autres collyres peuvent avoir d’autres applications, telles que :

  • Soigner certaines pathologies (conjonctivite, uvéite, glaucome…) ;
  • Préparer les yeux pour certaines interventions ;
  • Cicatriser la cornée après une opération…

À noter : Sachez que les sécheresses oculaires sont fréquemment associées à d’autres types de sécheresses (peau, vagin, bouche) ; par exemple, la ménopause entraîne souvent une sécheresse généralisée. Dans ce cas, un traitement local sera inadapté, et il sera conseillé de privilégier un traitement global et durable.

Pourquoi utiliser les larmes artificielles ?

Face aux agressions du quotidien, parfois avec l’âge, vos yeux peuvent s’assécher : ils rougissent, sont parfois douloureux, tiraillent… Les larmes artificielles, parfois sous forme de gel ophtalmique, ont pour objectif d’hydrater la cornée et, finalement, de mettre fin aux désagréments subis par la sécheresse oculaire.

Une fois posée sur votre conjonctive, la larme va se distribuer sur toute la surface de votre cornée grâce au clignement des yeux.

Pour éviter ces désagréments, vous pouvez aussi faire attention aux facteurs environnementaux, en évitant notamment :

De quoi sont composées les larmes artificielles ?

Votre film lacrymal est composé de plusieurs couches. Parmi celles-ci se trouvent une couche aqueuse et une couche lipidique. Les larmes artificielles peuvent comporter soit les composants d’une des deux couches ou des deux. Voici comment orienter votre choix.

Les larmes artificielles sont généralement composées de chlorure de sodium et de chlorure de benzalkonium. Suivant les marques, les larmes artificielles peuvent contenir d’autres composés. Il convient d’être attentif aux agents conservateurs dont certains peuvent s’avérer irritants pour la cornée.

Les larmes artificielles existent sous forme liquide ou sous forme de gel. La forme liquide est plus facile d’utilisation et s’avèrera plus pratique à utiliser pendant la journée. Le gel quant à lui est plus durable, mais induit parfois un flou visuel momentané, il sera donc tout indiqué avant le coucher.

Comment appliquer des larmes artificielles ?

Mettre des larmes artificielles n’est pas compliqué, mais il faut prendre le tour de main.

Les règles d’hygiène

Vos yeux sont des organes sensibles. Ils sont d’autant plus vulnérables lorsqu’ils sont secs puisque le film lacrymal qui doit les protéger est altéré. Aussi, quelques règles d’hygiène sont indispensables :

  • Lavez-vous les mains ;
  • Retirez vos lentilles (si vous en portez) ;
  • Évitez de mettre l’embout de vos gouttes sur votre œil.

La méthode

  • Penchez la tête en arrière, et gardez les yeux bien ouverts.
  • Tirez la paupière du bas.
  • De l’autre main, déposez doucement quelques gouttes de larmes artificielles sur la paupière inférieure.
  • Clignez des yeux pour bien répartir le produit sur toute la surface de l’oeil.

À noter : Si des effets indésirables surviennent ou si vous ne constatez pas d’amélioration sous 4 à 5 jours, n’ayez pas d’utilisation prolongée sans avis médical de vos larmes artificielles ou gel. 

Quelles alternatives aux larmes artificielles ?

Lorsque l’on cherche à soulager la sécheresse oculaire, plusieurs options de traitement sont envisageables. Les larmes artificielles sont largement utilisées pour apporter un soulagement immédiat, mais elles agissent uniquement en surface et ne traitent pas la cause sous-jacente de la sécheresse oculaire. Elles remplacent les larmes naturelles sans stimuler la production interne, ce qui implique un besoin de les appliquer fréquemment pour conserver l’effet hydratant. Quelles sont alors les alternatives, et peuvent-elles traiter la cause et non seulement le symptôme ?

Traitement par laser : des résultats variables et des effets secondaires

Le traitement par laser est une option qui peut être envisagée pour les cas de sécheresse oculaire sévère. Ce procédé vise à stimuler ou à modifier les glandes lacrymales, en utilisant la chaleur pour encourager la production de larmes.

En plus d’être réservée aux personnes qui ne répondent pas aux traitements plus classiques, comme les larmes artificielles ou les médicaments topiques, cette méthode comporte des inconvénients notables. Tout d’abord, les résultats peuvent être variables et ne sont pas garantis sur le long terme. Certains patients rapportent une amélioration temporaire de la production de larmes, tandis que d’autres peuvent ne pas ressentir de bénéfices durables. De plus, le laser peut entraîner divers effets secondaires, notamment une sensation de brûlure, une irritation prolongée, ou encore une inflammation au niveau des glandes traitées.

Enfin, le coût et la nature invasive de cette technique en font une option moins accessible et plus contraignante. Ce traitement peut nécessiter plusieurs séances pour atteindre un effet optimal, et les effets secondaires potentiels peuvent prolonger la période de récupération. Pour ces raisons, de nombreux patients préfèrent explorer des solutions non-invasives, comme les compléments alimentaires, qui visent à rétablir l’équilibre hydrique de manière progressive et naturelle.

Lire également : Les meilleurs remèdes de grand-mère contre la sécheresse des yeux

Compléments alimentaires : une approche naturelle et durable

Les compléments alimentaires, comme Dioptec, se distinguent par leur capacité à agir sur les causes profondes de la sécheresse oculaire. Ces produits sont formulés pour renforcer la production naturelle de larmes en apportant des nutriments essentiels, tout en protégeant les cellules oculaires contre les effets du stress oxydatif. En suivant une cure, ils permettent de rétablir l’hydratation oculaire de manière durable. C’est un choix idéal pour ceux qui souhaitent traiter la sécheresse oculaire à la source, tout en profitant d’une solution naturelle et sans effets secondaires associés aux traitements plus invasifs.

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Dioptec : solution naturelle pour renforcer la lubrification oculaire

Dioptec® hydrate, lubrifie et améliore le confort visuel. Solution complète contre la sécheresse oculaire.

Les larmes artificielles peuvent s’avérer pratiques et offrir un soulagement rapide à court terme pour la sécheresse oculaire. Cependant, elles se contentent de traiter les symptômes sans résoudre la cause sous-jacente du problème. En effet, c’est un traitement symptomatique qui ne favorise pas la production naturelle de larmes.

Dans cette optique nous avons développé notre complément alimentaire Dioptec, spécialement formulé pour aider à restaurer l’hydratation naturelle des yeux et offrir une solution plus durable pour le confort oculaire en agissant de l’intérieur.

Quelles relations entre les lentilles de contact et la sécheresse oculaire ?

La sécheresse oculaire figure parmi les troubles ophtalmologiques les plus répandus. Brûlures, démangeaisons et douleurs accompagnent votre port de lentilles. Elles sont alors peut-être la cause de vos soucis. Faut-il pour autant vous en passer ? Pas forcément. Découvrez dans cet article comment choisir vos lentilles de contact pour limiter les risques de souffrir de sécheresse oculaire.

Comment se définit la sécheresse oculaire ?

Dans une situation normale, vos yeux sont protégés par un film lacrymal. Mais, parfois, il arrive que ce film ne soit plus de bonne qualité. Il se « fend » et votre cornée n’est plus correctement hydratée. Vos yeux sont rouges ou douloureux. Vous souffrez alors de sécheresse oculaire.

Le saviez-vous ? La couche externe de votre film lacrymal est composée de graisse.

Pourquoi les lentilles de contact assèchent-elles les yeux ?

Pour rester en bonne santé, vos yeux disposent d’un film lacrymal. Il maintient votre cornée humide et la protège des agressions extérieures. C’est également par sa surface que votre cornée s’oxygène.

Lorsque vous portez des lentilles de contact, elles se placent directement sur ce film lacrymal. Or, ce film lacrymal est fragile. Si vos lentilles ne comportent par le bon degré d’humidité, elles « absorbent » les larmes de vos yeux. Votre cornée se dessèche progressivement. À terme, vous risquez de souffrir de sécheresse oculaire.

Par ailleurs, vos lentilles constituent aussi une couche supplémentaire entre l’air et votre cornée. Ainsi, votre cornée a plus de mal à capter l’oxygène dont elle a besoin pour se nourrir. Cela la rend aussi plus fragile.

Concrètement, il existe deux raisons principales qui peuvent aggraver le risque de dessèchement lié aux lentilles de contact :

  • vos lentilles n’ont pas la même courbure que vos yeux ;
  • vos lentilles absorbent trop de larmes.

Quelles sont les meilleures lentilles pour les yeux secs ?

Depuis quelques années, les rayons des lentilles de contact s’étoffent. Les modèles se diversifient et les technologies se multiplient. Voici comment faire votre choix dans ce vaste dédale.

Quels types de lentilles choisir ?

Souples ou rigides ? Journalières ou mensuelles ? Les types de lentilles sont nombreux. Si vous avez les yeux secs, certains modèles sont plus adaptés pour vous.

Souples ou rigides ? La majorité des porteurs de lentilles optent pour des modèles souples. En effet, l’adaptation de l’œil est plus rapide. Malheureusement, les lentilles souples sont hydrophiles. C’est-à-dire qu’elles ont une affinité avec l’eau. Elles ont donc une plus grande propension à boire vos larmes et dessécher vos yeux. Dans votre cas, donc, les lentilles rigides sont plus adaptées.

Vous avez du mal à porter des lentilles rigides ? Une nouvelle génération de lentilles spécialement étudiées pour les yeux secs est arrivée sur le marché. Il s’agit des lentilles en silicone hydrogel. Ces lentilles permettent une meilleure oxygénation de votre cornée.

Journalières ou mensuelles ? Les yeux secs sont plus vulnérables aux agressions extérieures. Le port de lentilles journalières est, en conséquence, vivement recommandé pour limiter les risques d’infection.

Qu’est-ce que l’hydrophilie ?

L’hydrophilie est la caractéristique physique des corps qui apprécient l’eau. Dans le cas des lentilles, il s’agit du degré d’eau que contient la lentille. Plus la lentille est hydrophile, plus elle contient d’eau. Par conséquent, plus elle risque de boire vos larmes pour garder sa teneur en eau. Pour le confort des yeux secs, pensez à choisir des lentilles avec une faible hydrophilie.

Comment prendre soin des yeux avec lentilles ?

Porter des lentilles augmente le risque de souffrir d’yeux secs. C’est d’autant plus le cas si vous les portez sur de longues durées. Heureusement, quelques gestes de précaution permettent de limiter le risque :

  • porter des lunettes de vue devant les écrans ;
  • ne pas dormir avec des lentilles ;
  • utiliser des larmes artificielles ou collyres pour soulager vos yeux ;
  • protéger vos yeux des agressions extérieures telles que la fumée, la poussière ou le vent ;
  • penser à cligner régulièrement des yeux ;
  • éviter de porter vos lentilles pendant toute la journée.

Comment hydrater les yeux avec lentilles ?

En raison de la présence de vos lentilles, vos yeux sont moins bien hydratés. Votre film lacrymal est fragilisé et peut se « fendre ». Pour faire face à ce genre de situation, plusieurs possibilités s’offrent à vous :

  • Sur le court terme, et dans l’urgence, les gouttes oculaires (ou larmes artificielles) apportent un soulagement immédiat. Chaque type de lentille requiert cependant un type de goutte particulier. Faites attention à la présence d’agents conservateurs souvent agressifs et irritants pour vos yeux.
  • Sur le long terme, vous pouvez demander à votre ophtalmologiste de vous prescrire une pommade pour restaurer votre film lacrymal. Cette pommade est à appliquer sous vos paupières juste avant d’aller dormir. Durant la nuit, elle va faciliter la restauration de votre film lacrymal.
  • Par ailleurs, une cure de compléments alimentaires contre la sécheresse oculaire, permet de rétablir le confort lacrymal en agissant en profondeur sur tous les paramètres des yeux secs.

Si les solutions précédentes ne donnent pas de résultat, votre ophtalmologiste pourra procéder à une intervention chirurgicale. Celle-ci vise à empêcher vos larmes de s’écouler par les voies lacrymales.

Pour répondre à un besoin urgent, certaines personnes utilisent du sérum physiologique pour soulager leurs yeux secs. Si cette alternative peut dépanner, dans l’urgence, elle doit toutefois rester exceptionnelle. Le sérum physiologique, bien que sans danger, ne dispose pas des éléments nutritifs normaux des larmes. Un collyre adapté est donc plus profitable à vos yeux. 

Les lentilles de contact sont une cause fréquente de sécheresse oculaire. Elles ont tendance à boire vos larmes et à irriter votre cornée. L’utilisation de lentilles rigides ou de lentilles de nouvelle génération limite ce risque. Pensez à bien hydrater vos yeux avec des larmes artificielles adaptées ou optez pour une cure de compléments alimentaires en gélules qui agissent durablement sur le confort lacrymal. Vous devriez ainsi pouvoir continuer à porter des lentilles sans souffrir d’yeux secs.

Traitement des yeux secs : quelle alternative à la chirurgie au laser

Les yeux secs, voici un des troubles ophtalmologiques les plus communs. Source de véritables inconforts, votre sécheresse oculaire ne doit plus être une fatalité. En effet, depuis quelques années, l’ophtalmologie fait des progrès considérables. En plus des traitements symptomatiques classiques, des traitements laser arrivent sur le marché. Indolores, rapides et définitifs, ces traitements veulent en finir avec le dysfonctionnement de vos glandes de Meibomius. Mais qu’en est-il vraiment ?

Qu’entend-on par yeux secs ?

Lorsque vous ne produisez pas assez de larmes ou que celles-ci s’évaporent trop rapidement, votre film lacrymal perd en qualité et votre cornée se dessèche. Vous souffrez alors d’yeux secs ou de sécheresse oculaire. Cette pathologie est souvent causée par un dysfonctionnement des glandes de Meibomius, mais pas uniquement. Elle peut aussi être consécutive à une maladie ou une chirurgie des yeux.

Le saviez-vous ? Votre film lacrymal comporte trois couches distinctes : une couche lipidique, une couche aqueuse et une couche mucine. Elles peuvent toutes être à l’origine de vos yeux secs, même si c’est généralement la couche lipidique qui fait défaut.

Quels sont les traitements contre les yeux secs ?

Actuellement, les traitements des yeux secs proposés sont souvent symptomatiques. C’est-à-dire qu’ils visent à rétablir votre film lacrymal sur votre surface oculaire sans chercher à soigner la cause du dessèchement de votre cornée.

Ainsi, pour soulager les symptômes de votre sécheresse oculaire, votre médecin va généralement vous conseiller :

  • l’utilisation de compresses chaudes pour liquéfier les lipides émis par les glandes de Meibomius ;
  • les massages des paupières pour unifier la distribution des différentes couches qui composent votre film lacrymal ;
  • les larmes artificielles ou collyres pour maintenir la présence d’une hydratation constante sur la surface de vos cornées.

Très longtemps, ces différentes techniques ont été les seules issues pour les yeux secs. Même si elles restent des références dans le domaine, elles présentent leurs limites. C’est pour cela qu’aujourd’hui, d’autres solutions font leur apparition. Comme dans beaucoup d’autres maladies, des traitements novateurs sont régulièrement mis sur le marché. Pour la sécheresse oculaire, il s’agit des traitements dits « traitements au laser ».

Le saviez-vous ? Une alimentation équilibrée, riche en oméga 3, protège déjà vos yeux.

Retrouvez également nos solutions naturelles pour les différents troubles visuels.

Traitement au laser ou traitement à la lumière pulsée, quelles différences ?

D’un point de vue purement technique, le laser et la lumière pulsée (Lipiflow) utilisent tous les deux la force des rayons lumineux. Toutefois, le laser utilise une longueur d’onde précise alors que la lumière pulsée est polychromatique. 

Sur le principe, le laser à basse énergie et la lumière pulsée n’ont pas de grandes différences : il s’agit, avant tout, de rétablir le fonctionnement correct des glandes de Meibomius. Néanmoins, les applications diffèrent :

  • Une séance de lumière pulsée dure environ 10 minutes. Elle stimule les glandes de Meibomius par voie neurogène. Vous devez pratiquer trois séances pour avoir une différence clinique significative.
  • Un traitement au laser à basse énergie dure approximativement 25 minutes. Il vise à augmenter l’énergie cellulaire pour améliorer le dysfonctionnement des glandes de Meibomius. Une seule séance suffit pour voir la différence.

Les deux traitements sont totalement indolores. 

Le saviez-vous ?
La lumière pulsée est déjà utilisée, avec succès, en dermatologie, pour traiter de nombreux problèmes de peau.

Le traitement au laser est déjà utilisé en ophtalmologie pour traiter les problèmes de vue tels que la myopie ou la presbytie.

En quoi consiste le traitement au laser ?

Le laser à basse énergie utilisé dans le traitement de la sécheresse oculaire utilise un rayon infrarouge proche de la lumière visible. C’est la longueur d’onde de cette lumière qui va faire réagir vos cellules. L’objectif est de rétablir un meilleur fonctionnement de vos glandes de Meibomius.

Concrètement, durant la séance, vous allez bénéficier d’une « lumière rouge ». Elle va augmenter votre énergie cellulaire et réduire le stress oxydatif.

Quels sont les bénéfices par rapport aux autres traitements des yeux secs ?

Le traitement au laser offre une alternative dans le traitement de la sécheresse oculaire. En effet, jusqu’à aujourd’hui, les solutions proposées aux personnes souffrant d’yeux secs étaient uniquement symptomatiques. C’est-à-dire qu’elles soulageaient le symptôme sans travailler sur la cause. 

Avec le traitement au laser, les spécialistes ont opté pour un autre paradigme. Il s’agit ici de travailler sur la cause, à savoir le dysfonctionnement des glandes de Meibomius afin de soulager sur la durée. En effet, le traitement de votre sécheresse oculaire sera un traitement curatif. Un beau progrès pour apporter une solution définitive à votre pathologie.

Quels sont les dangers de l’utilisation du traitement au laser pour la sécheresse oculaire ?

Comme pour tout acte chirurgical, qu’il soit pratiqué dans un centre ophtalmologique ou hospitalier, la chirurgie laser n’est pas dépourvue de risques et complications. Bien qu’indolore, cette chirurgie affiche certaines limites. Sur sa page dédiée aux effets indésirables et complications liées à la chirurgie Lasik, l’ANSM alerte notamment sur l’absence de certitudes quant aux effets définitifs de l’intervention et la possibilité d’avoir à subir une seconde intervention en cas de résultats imparfaits.

En outre, d’autres complications éventuelles existent telles :

  • Sécheresse oculaire
  • Problèmes liés à la découpe du volet cornéen
  • Cicatrisation anormale
  • Déplacement et plis du volet
  • Infection et inflammation
  • Invasion épithéliale
  • Perception de halos lumineux
  • Vision dédoublée
  • Sur et sous-corrections
  • Ectasie secondaire
  • Réduction de l’acuité visuelle

Un traitement au laser peut-il être la cause des yeux secs ?

Actuellement, les traitements ophtalmologiques au laser sont généralement utilisés pour corriger les problèmes de vue courants. C’est le Lasik qui est le plus populaire.

Si ce traitement s’avère très bien maîtrisé, il comporte certains effets secondaires. Parmi ceux-ci, la sécheresse oculaire. Dans la majorité des cas, vos yeux secs, comme tous les autres effets secondaires, disparaissent dans les 3 à 6 mois. Mais, il y a des exceptions. Si vous avez récemment subi une chirurgie des yeux et comme vous ressentez une gêne, consultez votre ophtalmologiste afin de prendre les bonnes dispositions pour vous soulager.

Des compléments alimentaires à visée ophtalmologiques, riches en zinc, vitamines C et E, sont par ailleurs préconisés en cas de chirurgie réfractive (Lasik…) afin d’éviter ou de soulager la sensation inflammatoire.

L’alternative des compléments alimentaires

Pour traiter la sécheresse oculaire, d’autres alternatives efficaces existent. En particulier, certains compléments alimentaires – tel Dioptec® – sont spécialement conçus pour rétablir le confort oculaire.

Sans risque, une cure de deux semaines permet généralement de réactiver les sécrétions, stabiliser le film lacrymal et lutter contre l’inflammation.

Le nouveau traitement au laser destiné à guérir les yeux secs se déploie sur le marché. Indolore, il vous permet de retrouver un bon fonctionnement de vos glandes de Meibomius en quelques minutes seulement. Mais d’autres alternatives moins invasives existent, comme les compléments alimentaires à visée ophtalmologique..

Quels traitements naturels pour les corps flottants ?

Les corps flottants dans l’oeil font partie des troubles ophtalmologiques communs. Ils sont caractérisés par l’apparition de taches dans le champ visuel. Souvent bénins, ils sont parfois très gênants pour la personne atteinte. S’il existe, parfois, des solutions médicales, les solutions naturelles peuvent déjà soulager la plupart des patients. Focus.

Qu’est-ce que les corps flottants ?

Les corps flottants, aussi appelés myodésopsies ou mouches volantes, sont des altérations de l’humeur vitrée (ou corps vitré). Ils engendrent des taches mobiles, des filaments ou des points noirs dans la vision. Ces différentes déformations semblent suspendues dans le champ de vision.

Parfois, la myodésopsie entraîne aussi des taches lumineuses, des éclairs ou encore des étincelles. Dans ce cas, une consultation médicale urgente est nécessaire, car ces symptômes peuvent aussi trahir des troubles oculaires plus graves comme un décollement de la rétine.

D’où viennent les corps flottants ?

Les corps flottants proviennent de l’altération de l’humeur vitrée. Précisément, le corps vitré se trouble, laissant apparaître des petites déformations. Ses causes précises restent toutefois indéterminées.

À mesure du vieillissement, l’humeur vitrée perd de sa densité. Elle se décolle progressivement et son homogénéité s’altère. De petites taches bénignes peuvent alors apparaître. C’est pour cela que le phénomène s’accentue après 50 ans et chez les personnes myopes dont l’œil subit une pression quotidienne. Les corps flottants peuvent aussi se développer à la faveur de la fatigue qui engendre, elle aussi, une plus grande pression sur les yeux.

Comment lutter contre les corps flottants au naturel ?

Jugés sans gravité, les corps flottants ne présentent pas vraiment de risque pour la santé. Toujours est-il que leur présence peut être perturbante, et parfois réellement gênante. S’il n’existe pas de traitement, à proprement parler, plusieurs solutions naturelles peuvent déjà soulager les symptômes.

Quels compléments alimentaires pour les corps flottants ?

Même s’il n’existe à ce jour aucune preuve scientifique, certains professionnels estiment, comme relaté sur le site WikiHow, que des compléments alimentaires peuvent aider pour soulager les myodésopsies.

Il s’agit précisément de compléments alimentaires qui ont prouvé leur efficacité dans la cadre d’autres pathologies de l’œil telles que les dégénérescences maculaires liées à l’âge (DMLA).

Découvrez Corvitec, un complément alimentaire pour vous aider à luter contre les corps flottants et ainsi améliorer votre confort visuel.

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Corvitec capsules corps flottants

Complément est un complément alimentaire recommandé par les professionnels de santé pour lutter contre les corps flottants

Ces compléments alimentaires sont également :

  • le cynorhodon ;
  • le curcuma ;
  • le fruit des aubépines ;
  • un extrait concentré de propolis ;
  • l’extrait de feuilles de Ginkgo biloba ;
  • la lysine ;
  • les myrtilles.

Ce même site s’autorise également à recommander des médicaments en vente libre pour lesquels nous ne saurions que vous recommander la plus grande prudence :

  • les médicaments anti inflammatoires comme l’aspirine ;
  • le méthylsulfonylméthane ;
  • l’acide hyaluronique.

Comment gérer son mental pour oublier les corps flottants ?

Dans la gestion des corps flottants, votre mental est votre meilleur allié. En effet, il serait possible de modifier votre perception afin d’éliminer de programmer votre cerveau à oublier ces détails parasites.

D’un point de vue technique, la perception est déterminée par trois éléments :

  • la composante physique, soit la projection de l’image sur votre rétine ;
  • la composante physiologique, soit la transmission et la réception de l’image au cerveau ;
  • la composante psychologique, soit la représentation symbolique de l’image.

Les professionnels pensent, dès lors, qu’en maîtrisant volontairement ces composantes, il est possible de conditionner le cerveau à ignorer les corps flottants, un peu comme quand vous avez le regard concentré sur un objet en particulier et que vous faites abstraction de ce qui l’entoure.

Cinq conseils de gestion mentale pour y parvenir :

  • procédez étape par étape : vouloir faire abstraction permanente des corps flottants est inutile, essayez d’abord de les oublier de temps en temps ;
  • soyez ouvert d’esprit : pour arriver à modifier une perception, pensez que c’est possible (et ça l’est) ;
  • soyez positif : concentrez-vous sur vos victoires, et certainement pas sur vos échecs, la modification d’une perception est un long processus ;
  • relaxez-vous : le stress majore la perception de corps flottants (lorsque vous riez, vous êtes moins préoccupé par leur existence, et vous les voyez moins) ;
  • acceptez la situation : c’est ainsi que vous avez l’ouverture d’esprit pour modifier les choses, rester attaché à des solutions hypothétiques ne vous aidera pas.

Vers une disparition spontanée ?

Dans un nombre significatif de cas, les corps flottants semblent disparaître d’eux-mêmes. Dans la réalité, les mouches volantes ne disparaissent pas vraiment. Elles se sédimentent. Elles descendent donc au fond du corps vitré et disparaissent du champ de vision.

Quelles autres alternatives ?

Lorsque les corps flottants présentent un caractère particulièrement invalidant, il existe deux types de chirurgies. Toutefois, en raison des risques qu’elles présentent, elles sont très peu mises en œuvre.

Dans un premier temps, il s’agit d’une opération appelée vitréolyse au laser YAG (Yttrium Aluminium Garnet). Cette opération consiste à traiter les corps flottants avec une impulsion laser. Cette opération est régie pas des règles strictes. Ainsi, pour être éligible, vous devez remplir certaines conditions :

  • des corps flottants situés loin de la rétine ou du cristallin ;
  • des mouches volantes en nombre limité ;
  • des corps flottants avec une consistance peu fibreuse.

Dans un deuxième temps, il existe une opération appelée vitrectomie. Elle consiste à remplacer votre corps vitré par une solution saline. Cette opération est pratiquée de manière exceptionnelle en raison de ses complications graves. Par ailleurs, sachez qu’elle entraîne souvent à court ou moyen terme l’apparition d’une cataracte.

Les corps flottants constituent une affection bénigne de la vue. Toutefois, elle peut être gênante pour les personnes atteintes. Si les compléments alimentaires n’ont pas (encore) fait leurs preuves, votre mental peut vous aider à oublier la perception de ces petites taches. Cette méthode est d’ailleurs prisée par les ophtalmologues. Si la situation est vraiment invalidante, vous pouvez toujours discuter avec votre médecin d’une potentielle opération. Sa pratique est, dans la réalité, très rare.

Toutes les raisons de faire du sport à la ménopause

Si faire du sport est essentiel pour être en bonne santé, cela se confirme à la ménopause. Ce bouleversement hormonal est à l’origine de nombreux désagréments tels que les bouffées de chaleur, la prise de poids ou une fatigue intense. La pratique d’une activité physique régulière permet de diminuer l’impact de ces symptômes. C’est pourquoi faire du sport à la ménopause a de multiples bienfaits. Découvrez quels sports pratiquer après 50 ans ainsi que les bénéfices d’une activité sportive chez les femmes ménopausées.

Les bienfaits du sport à la ménopause

Avec l’arrivée de la ménopause, les femmes ont tendance à se sédentariser. Fatigue, prise de poids ou bouffées de chaleur occasionnées par la baisse de production des hormones sexuelles incitent à moins bouger. Pourtant, il n’y a pas d’âge pour profiter des bienfaits de l’exercice physique. Si le sport est un allié majeur pour l’organisme, ces bénéfices chez la femme ménopausée ou en préménopause sont nombreux. La pratique d’une activité sportive permet de sculpter son corps et de maintenir son poids de forme, mais renforce également le tonus musculaire et les articulations. Mais cela ne représente pas les seuls bienfaits du sport à la ménopause.

Faire du sport pour diminuer les risques cardiovasculaires à la ménopause

Tout comme le fait d’adopter un régime spécial ménopause, sain et équilibré, la pratique d’une activité sportive contribue à préserver le bon fonctionnement du système cardiovasculaire. C’est pourquoi l’Organisation mondiale de la santé préconise de faire entre 150 et 300 minutes de sport hebdomadaire, d’intensité modérée. À la ménopause, ses recommandations sont d’autant plus importantes que la baisse de production des hormones féminines a un impact défavorable sur le système cardiovasculaire.

Diminution du cholestérol

Pratiquer une activité physique régulière permet de faire baisser le taux de mauvais cholestérol, mais également d’augmenter le bon cholestérol. C’est pourquoi trente minutes de marche par jour sont bénéfiques pour le corps à la ménopause.

Arrêt de la perte osseuse liée à la ménopause

La diminution de la progestérone et des œstrogènes à la ménopause n’est pas sans conséquence pour le capital osseux. En effet, les hormones sexuelles jouent un rôle indispensable sur l’ossification. La pratique d’un sport permet de maintenir la solidité des os et de limiter les risques d’ostéoporose.

Lutter contre les bouffées de chaleur

Les bouffées de chaleur sont un des symptômes les plus connus de la ménopause. La production d’endorphine liée à la pratique d’une activité sportive encourage une sensation de bien-être. De plus, l’augmentation de la sécrétion de dopamine et de sérotonine favorisée par la réalisation d’exercice physique aiderait à limiter les bouffées de chaleur.

Sur cette question précise, d’après une étude de l’université de Grenade (source : Télé matin – voir vidéo ci-dessous), le sport est un excellent moyen de perdre du poids et limiter les bouffées de chaleur.

Les bienfaits du sport sur le moral

Les troubles de l’humeur et les baisses de moral sont des symptômes communs de la ménopause. Cette période charnière se révèle parfois difficile à vivre pour certaines femmes. La pratique d’une activité sportive peut aider à limiter ses fluctuations d’humeur.

Quelles activités sportives privilégier à la ménopause ?

Si faire du sport à la ménopause est utile pour se sentir bien dans son corps, il est important de choisir une activité adaptée à son niveau. Avant toute chose, une consultation médicale est indispensable afin d’évaluer les possibilités et les contre-indications liées à la reprise d’une activité sportive. 

Quel sport pratiquer à la ménopause ?

Pour les personnes peu sportives, une marche quotidienne ou des exercices de stretching s’avèrent particulièrement adaptés pour préserver le bon fonctionnement de l’organisme. La gymnastique, le Taï Chi ou la danse sont également excellents puisqu’ils favorisent la souplesse et réduisent le risque de fonte musculaire.

Afin de maintenir sa masse musculaire à la ménopause, le gainage abdominal semble parfaitement indiqué. D’autre part, les sports comme le Pilate ou le yoga permettent de faire travailler les muscles du corps de façon ciblée. Les vibrations entraînées par la course à pied stimulent le développement osseux. La marche ou le jogging avec une charge légère, telle qu’un petit sac à dos, aide à lutter contre l’ostéoporose.

Quel sport pour perdre du ventre à la ménopause ?

Pour perdre du poids, le cardio est un allié de taille, et ce même après 50 ans. Cependant, à la ménopause, il convient d’ajuster le rythme des séances à son état général. Il est important de solliciter les muscles du corps pour assurer une réelle perte de poids. Course à pied, natation, randonnée, vélo ou marche rapide sont d’excellents exercices à effectuer pour perdre du poids à la ménopause.

À quelles fréquences les pratiquer ?

Il convient d’adapter la fréquence des séances de sport à son corps. Pour les femmes déjà sportives, il est possible de conserver un rythme soutenu. En revanche, les personnes plus sédentaires doivent favoriser une reprise en douceur.

Après 50 ans, il est recommandé de pratiquer une activité physique modérée durant 2 heures 30 au moins ou 75 minutes d’effort intense par semaine. Trente minutes de marche quotidienne ont également des effets bénéfiques sur le corps.

À retenir : la pratique d’une activité physique régulière aura toujours un impact positif sur le corps à la ménopause. Cependant, seuls les sports dits de charge tels que la corde à sauter, la musculation ou la marche rapide permettent d’entretenir le capital osseux.

La ménopause représente un véritable bouleversement pour le corps. Limiter la prise de poids, diminuer la fonte musculaire et réduire les risques d’ostéoporose est indispensable pour rester en forme après 50 ans. Associé à une alimentation équilibrée et à la prise de complément alimentaire, la pratique d’une activité sportive régulière aide à se sentir mieux dans son corps tout en luttant contre les nombreux désagréments liés à la ménopause. 


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