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Auteur/autrice : Dergam

Rhumatisme : causes, symptômes et traitements

Les rhumatismes, souvent chroniques et invalidants, affectent des millions de personnes dans le monde et altèrent significativement leur qualité de vie. Malgré les avancées médicales, ils restent une cause majeure de douleur et de handicap, en particulier chez les personnes âgées. Dans cet article, nous passerons donc en revue les causes principales, les symptômes typiques, ainsi que les traitements disponibles, y compris les approches complémentaires telles que les compléments alimentaires.

Un rhumatisme, qu’est ce que c’est ? 

Le terme rhumatisme englobe une multitude d’affections, plus de 200, touchant l’appareil locomoteur, et plus particulièrement les articulations et les os. Ce n’est donc pas une maladie à proprement parler, mais plutôt un terme générique. 

Il est important de préciser que les rhumatismes sont très douloureux et peuvent nettement altérer la vie quotidienne. Ce type de douleur touche, d’ailleurs, une grande partie de la population. En France, 1 français sur 2 souffrirait de douleurs de ce type. Contrairement aux idées reçues, les rhumatismes ne touchent pas exclusivement les personnes vieillissantes ; il est possible d’en souffrir dès le plus jeune âge, à la suite d’un choc au niveau d’une articulation par exemple.

Les types de rhumatismes 

Les rhumatismes, malgré leur grande famille, sont classés en 2 grandes catégories : les rhumatismes inflammatoires et non inflammatoires.

Les rhumatismes inflammatoires 

Les rhumatismes, dits inflammatoires, se caractérisent par une inflammation chronique des structures de l’appareil locomoteur, comme le cartilage ou encore les tendons. Parmi les maladies plus courantes des rhumatismes inflammatoires, on retrouve : 

  • Polyarthrite rhumatoïde : maladie provoquant douleurs, gonflements et raideurs articulaires.
  • Lupus érythémateux disséminé : maladie auto-immune pouvant toucher les articulations, la peau et les organes internes.

Les rhumatismes non inflammatoires 

Ce type de rhumatisme, aussi appelé rhumatisme dégénératif, est principalement dû au vieillissement des articulations. Autrement dit, c’est l’usure progressive ou forcée des articulations qui entraîne ce type de rhumatismes.  Voici quelques exemples courants : 

  • Arthrose : forme la plus répandue, surtout chez les personnes âgées ou en surpoids. Elle se manifeste par une douleur mécanique, c’est-à-dire déclenchée par le mouvement.
  • Tendinites et bursites : inflammations locales des tendons ou des bourses séreuses, souvent dues à des microtraumatismes répétés.

Causes et symptômes

Bon nombres de facteurs peuvent vous prédisposer à souffrir de rhumatismes. Voici les principaux facteurs aggravants : 

  • Génétiques : certaines formes de rhumatismes, notamment la polyarthrite rhumatoïde, sont héréditaires. En effet, quelques gènes spécifiques, tels que le HLA-B27, sont associés à un risque accru de développer une pathologie rhumatismale.
  • Dysfonctionnement du système immunitaire : les maladies auto-immunes, telles que le lupus, résultent d’une attaque du système immunitaire contre les tissus de l’organisme, provoquant une inflammation chronique.
  • Facteurs mécaniques et dégénératifs : le vieillissement, la ménopause, le surpoids, les mouvements répétés ou encore les traumatismes articulaires à répétition, jouent un rôle prépondérant dans la dégradation du cartilage. 
  • Mode de vie et environnement : le tabagisme, une alimentation déséquilibrée, le manque et/ou l’excès d’activité physique, peuvent favoriser l’apparition ou l’aggravation de troubles rhumatismaux.

Il est intéressant de noter que peu importe le type de rhumatismes ou leur origine, certains symptômes restent récurrents, tels que les : 

  • Douleurs articulaires ;
  • Raideurs matinales ;
  • Gonflements et rougeurs autour des articulations ;
  • Fatigue chronique et baisse de l’énergie générale ;
  • Déformations articulaires.

Comment soigner et soulager les rhumatismes ?

Vous l’aurez sûrement compris, il n’est pas à proprement parler possible de soigner les rhumatismes, qu’ils soient inflammatoires ou non inflammatoires. Cependant, il est possible via des solutions médicales ou naturelles de soulager les douleurs et limiter la progression.

Les traitements médicaux

Pour les rhumatismes inflammatoires, une prise en charge médicale spécifique, impliquant par exemple des traitements anti-inflammatoires, sera nécessaire. 

À l’inverse pour les rhumatismes non inflammatoires, il n’existe pas de traitement pour soigner le vieillissement des articulations, seulement des solutions visant à freiner la douleurs et la progression de la maladie. Dans certains cas très précis d’arthrose de la hanche ou du genou, une opération visant à remplacer l’articulation sera envisagée. 

L’hygiène de vie 

En cas d’arthrose, et ce peu importe son origine, il sera indispensable d’adopter une hygiène de vie saine, c’est à dire, principalement  : 

  • Pratiquer une activité physique régulière afin de maintenir une bonne souplesse articulaire. La marche et la natation sont tout particulièrement recommandées.
  • Manger équilibré afin d’apporter à l’organisme les bons nutriments et de limiter les variations de poids. Le poids est un enjeu de taille en cas de rhumatismes, maintenir un bon IMC permet de limiter les pressions sur les articulations. 

Cela permettra, dans le temps, d’éviter la progression des symptômes et donc in fine de limiter les douleurs.

Les alternatives naturelles

Il est aussi possible de vous tourner vers des solutions naturelles afin de limiter les douleurs : les compléments alimentaires. Bon nombre d’actifs sont reconnus par la communauté scientifique pour leurs actions favorables sur les articulations, en particulier : 

  • L’harpagophytum : une plante ancestrale riche en composés anti-inflammatoires et antioxydants permettant de soulager les douleurs articulaires et de limiter la dégradation des articulations. 
  • La coquille d’huître : un déchet alimentaire riche en minéraux, comme le calcium, mais surtout en glucosamine et en chondroïtine, deux actifs stars reconnus pour stimuler la régénération du cartilage et limiter les douleurs grâce à leur richesse en anti-inflammatoires. 
  • Les oméga-3 : les acides gras oméga-3, présents dans les huiles de poisson, modulent l’inflammation et améliorent la souplesse articulaire.

La solution des laboratoires Dergam : Algiflex, le complément à adopter pour retrouver une bonne mobilité articulaire et ne plus vivre avec des douleurs lancinantes. 

visuel format png packaging produit Agiflex, complément alimentaire pour les articulations et l'ossature 60 comprimés

Algiflex pour votre souplesse articulaire

Ce complément naturel favorise le renforcement du système locomoteur tout en préservant la souplesse et la santé de vos articulations grace à sa formule complète.

En résumé, les rhumatismes, malgré leurs origines diverses et variées, doivent être traités avec une approche pluridisciplinaire pour observer une nette amélioration de la qualité de vie. En d’autres termes, en associant traitement médical, hygiène de vie et soutien nutritionnel, il est possible de mieux vivre avec les rhumatismes, voire d’en ralentir l’évolution.

Surmenage : signes, causes et solutions pour s’en sortir

À l’ère du « toujours plus », notre quotidien est souvent rythmé par des exigences professionnelles, sociales et personnelles croissantes. Dans cette course effrénée, il n’est pas rare de s’oublier et de franchir sans s’en rendre compte la ligne rouge du surmenage. Mais comment reconnaître les signes de cet épuisement mental et physique ? Quelles sont les causes profondes du surmenage, et surtout, comment s’en sortir avant qu’il ne soit trop tard ? Décryptage.

Définition : qu’est-ce que le surmenage ?

Le surmenage est un état d’épuisement intense pouvant être entraîné par bon nombre de facteurs comme une carrière professionnelle trop intense, des conflits familiaux… D’ailleurs, contrairement aux idées reçues, ce type de mal-être ne s’installe pas du jour au lendemain, c’est progressif et lent. 

Attention, le surmenage ne doit pas être confondu avec une fatigue passagère ou encore avec une période de stress, c’est un état de déséquilibre chronique qui affecte à la fois le corps, l’esprit et le comportement.

En d’autres mots, le surmenage peut réellement affecter la vie quotidienne en rendant certaines tâches compliquées ou encore en complexifiant les relations personnelles et professionnelles. 

Cet état doit donc être pris très au sérieux, car il peut évoluer vers des troubles plus graves, comme le burn-out, la dépression ou même des problèmes de santé physique.

Quelles sont les causes du surmenage ? 

Les causes d’un surmenage peuvent être multiples. Le plus souvent, on attribue ce mal-être à la vie professionnelle, pourtant cela va bien au-delà… Voici un aperçu des causes potentielles : 

  • Pression professionnelle excessive : objectifs irréalistes, surcharge de responsabilités, manque de reconnaissance, climat de compétition… Le monde professionnel peut devenir une source permanente de stress, entraîner un surmenage et, in fine, un burn out. 

Zoom sur le burn-out : 

Il ne faut pas confondre surmenage et burn out, même s’ils sont intimement liés. En effet, le burn-out, ou syndrome d’épuisement professionnel, est souvent considéré comme la conséquence extrême du surmenage prolongé. Il survient généralement après une période prolongée de stress intense non géré, particulièrement dans un cadre professionnel. 

  • Vie personnelle intense : la gestion d’une maison, le bien-être des enfants, la vie conjugale, le tout mêlé à une carrière professionnelle peut entraîner un surmenage. Les femmes sont, d’ailleurs, plus vulnérables à ce type de mal-être, près de 2 femmes sur 3 en souffriraient. 
  • Événements imprévus : divorce, maladie, problèmes financiers… Ces étapes de vie peuvent entraîner une charge mentale accrue et beaucoup de stress, ce qui, sur le long terme, peut entraîner un surmenage. 
  • Vie déséquilibrée : une routine sans pauses, sans moments de plaisir ou de détente érode peu à peu l’énergie vitale.

Les signes du surmenage : écouter les alertes du corps et de l’esprit

Pour prévenir ce type d’état et éviter les problèmes sur le long terme, il est essentiel d’écouter son corps ! Cela vous permettra de repérer rapidement les symptômes et de les traiter le plus vite possible. Il est important de noter qu’un surmenage peut se manifester aussi bien par des symptômes physiques que psychiques.

Les symptômes physiques : 

  • Fatigue persistante : c’est le symptôme le plus courant. Vous vous sentez épuisé même après une bonne nuit de sommeil. La fatigue devient chronique et envahit toutes les sphères de votre vie.
  • Troubles du sommeil : insomnies, réveils nocturnes, difficultés à s’endormir : le surmenage perturbe profondément le repos nécessaire à la récupération.
  • Douleurs physiques : céphalées, douleurs musculaires, troubles digestifs, palpitations, problèmes de peau comme l’eczéma : le corps manifeste son mal-être quand le mental est débordé par des tensions et des troubles psychosomatiques.

Les troubles psychiques et émotionnels : 

  • Irritabilité et hypersensibilité : vous êtes à fleur de peau, réagissez de manière excessive à des situations banales, ou avez du mal à gérer vos émotions.
  • Difficultés de concentration : le cerveau « sature ». Vous oubliez des choses simples, avez du mal à prendre des décisions ou à rester concentré sur une tâche.
  • Perte de motivation : ce qui vous passionnait autrefois vous indiffère. Vous avez l’impression de fonctionner en mode « automatique ».

Comment s’en sortir ? 

Bonne nouvelle, il est possible de sortir du surmenage ! Pour cela, il sera bien évidemment indispensable, dans un premier temps, de prendre conscience de cet état et d’éviter toute culpabilité pour ensuite adopter des changements durables. 

Adopter une hygiène de vie saine 

Alimentation, sport, sommeil… On ne vous le répétera jamais assez, une hygiène de vie saine est la clef d’une bonne santé. Nous vous recommandons donc, pour faire face au surmenage de : 

  • Manger équilibré en consommant tout particulièrement des aliments gorgés en vitamines comme les agrumes.
  • Dormir suffisamment, au minimum 7 heures, et à heures régulières. 
  • De pratiquer une activité physique au moins 1 fois par semaine. L’important ici n’est pas la performance mais plutôt de faire bouger votre corps et vous apporter du bien-être grâce à la libération d’endorphines. Choisissez donc une activité qui vous plaît, même si c’est quelque chose de doux comme le yoga.

Adopter des suppléments anti-stress adaptés

Les compléments alimentaires peuvent être une solution de taille pour vous accompagner dans cette période de rétablissement. Plantes, nutriments… De nombreux actifs sont reconnus pour limiter le stress et la fatigue intense. Parmi les actifs à privilégier, nous vous recommandons: 

  • Le magnésium : utile pour réduire la fatigue nerveuse, musculaire et les troubles du sommeil.
  • Les vitamines du groupe B (notamment B6, B9, B12) : reconnus pour soutenir le bon fonctionnement du système nerveux.
  • Le safran : cette plante adaptogène peut aider l’organisme à mieux faire face au stress.
  • Les omégas-3 : bénéfiques pour la santé cérébrale, la gestion du stress et la régulation de l’humeur.

Découvrez Dopazium, le supplément 100% naturel des Laboratoires Dergam à adopter pour retrouver motivation, énergie, bien-être et optimisme !

Prendre du temps pour soi 

En cas de surmenage, le repos est primordial, n’hésitez pas à prendre du temps pour vous. Lecture, nature, sport, méditation, hobbies… Ce sont autant d’activités qui permettent de retrouver du plaisir, de recharger les batteries et de retrouver un équilibre émotionnel

Bien évidemment, en cas de difficulté, il est aussi tout à fait possible de faire appel à un professionnel de santé comme votre médecin traitant ou un psychologue. Ces professionnels mettront en place un plan d’action précis pour vous aider à retrouver bien-être et sérénité. 

En définitive, le surmenage n’est pas une fatalité. Il est possible de retrouver un équilibre, d’apprendre à mieux se connaître et de construire un mode de vie plus respectueux de ses limites.

Les acides gras essentiels : pourquoi sont-ils indispensables à votre alimentation ?

Les lipides occupent une place centrale dans la physiologie du corps humain.

Parmi eux, l’acide linoléique (oméga-6) et l’acide α-linolénique (oméga-3) sont des acides gras insaturés dits « acides gras essentiels », car l’organisme n’a pas la capacité de les synthétiser. Seul l’apport alimentaire peut alors satisfaire la demande cellulaire.

L’alimentation moderne privilégie les huiles riches en oméga-6, au détriment des sources marines ou végétales d’oméga-3. Ce déséquilibre alimente une inflammation silencieuse, fragilise le système cardiovasculaire et accélère le vieillissement cellulaire.

Deux familles, un même rôle fondamental

Les acides gras essentiels se regroupent en deux séries d’acides gras polyinsaturés que l’organisme ne peut pas fabriquer : la série oméga-3 et la série oméga-6. Leurs multiples doubles liaisons, en assouplissant la membrane cellulaire, facilitent le passage des nutriments et la transmission des messages hormonaux, avec un effet direct sur le métabolisme.

  • Le DHA (acide docosahexaénoïque), oméga-3 à longue chaîne, est présent dans les poissons gras et certaines micro-algues. Il représente une fraction majeure des lipides du cerveau et de la rétine, soutient la mémoire, la vision et le développement nerveux
  • L’acide arachidonique (AA), oméga-6 à longue chaîne, est fourni par la viande, les œufs ou synthétisé à partir de l’acide linoléique des huiles de tournesol ou de maïs. Il sert de précurseur à des éicosanoïdes (dérivés oxygénés) qui amorcent la réaction inflammatoire et participent à la cicatrisation.

Un ratio équilibré entre oméga-3 (DHA, mais aussi EPA) et oméga-6 (AA) permet de lancer l’inflammation lorsqu’elle est utile, puis de l’éteindre rapidement.

À l’inverse, un excès d’oméga-6 associé à une carence en oméga-3 prolonge le signal d’alarme et favorise les inflammations chroniques, avec des répercussions sur la santé cardiovasculaire, articulaire et cognitive.

Rôles métaboliques et retombées cliniques

Le cœur utilise les oméga-3 pour moduler la fréquence et maintenir l’élasticité artérielle. Le DHA joue un rôle clé dans le développement du cerveau, optimise la transmission de l’influx nerveux et soutient les fonctions cognitives. Dans la rétine, la même molécule capte la lumière et participe à la régulation de la pression intra-oculaire.

Les oméga-6, de leur côté, participent à la coagulation, soutiennent le système immunitaire et contribuent à la régénération de l’épiderme. Cependant, leur présence excessive par rapport à celle des oméga-3 installe un terrain inflammatoire. Résultats : pression artérielle en hausse, triglycérides élevés, douleurs articulaires persistantes, sécheresse cutanée ou encore inconfort visuel.

Carence ou excès : les signaux à surveiller

Une peau qui tiraille, des ongles cassants, une fatigue oculaire en fin de journée ou une mémoire moins vive peuvent traduire un statut lipidique insuffisant.

Chez la femme enceinte, un apport réduit en DHA influence la durée de gestation et le poids de naissance du bébé.

Les analyses biologiques révèlent par ailleurs que la plupart des adultes consomment jusqu’à quinze fois plus d’oméga-6 que d’oméga-3, alors que les autorités de santé retiennent une fourchette inférieure à cinq. Ce ratio augmente le risque d’athérosclérose, de résistance à l’insuline et de troubles de l’humeur.

Rééquilibrer sans bouleverser l’assiette

La première étape consiste à introduire deux portions hebdomadaires de poissons gras. La sardine, le saumon, le maquereau et le hareng contiennent un duo EPA + DHA (oméga 3) immédiatement fonctionnel.

Pour les personnes qui n’apprécient pas les saveurs iodées, l’huile de poisson est un produit simple à doser. Côté végétal, l’huile de colza consommée crue au déjeuner, puis l’huile de noix le soir, apportent une dose intéressante d’acide alpha linolénique. Une cuillère d’huile d’onagre soutient, quant à elle, la souplesse cutanée grâce à l’acide gamma-linolénique. Diversifier les assaisonnements avec l’huile de périlla renforce encore la densité en oméga-3 d’origine végétale. Les autorités fixent la cible à 4 % de l’apport énergétique total pour l’acide linoléique et à 1 % pour l’acide α-linolénique, ce qui correspond à deux à trois cuillères d’huiles vierges par jour, en alternant colza, olive et noix.

En parallèle, limiter les fritures à base d’huile de tournesol ou de maïs, choisir des modes de cuisson doux et remplacer régulièrement la charcuterie par des protéines végétales réduit l’apport d’oméga-6 et d’acides gras saturés.

Micronutrition : la précision et le contrôle

Lorsque l’alimentation ne suffit pas (grossesse, mode de vie végétalien, pathologie inflammatoire chronique), la micronutrition propose une complémentation dosée en oméga-3 qui respecte la pureté des huiles et leur indice d’oxydation.

Les Laboratoires Dergam associent par exemple DHA, tocophérols (puissants antioxydants dérivés de la vitamine E) naturels et pigments antioxydants pour préserver la stabilité des formules. Les gélules Trioptec combinent oméga-3, lutéine et zéaxanthine, afin de soutenir la macula et de contrôler la progression de la DMLA.

Donalis apporte, de son côté, des oméga-3 spécifiques qui améliorent la lubrification des muqueuses, quand Algiflex couple EPA et antioxydants pour un meilleur confort articulaire.

Une interaction constante avec le système antioxydant

Les doubles liaisons, caractéristiques des acides gras, les rendent aussi vulnérables à l’oxydation. La vitamine E et les caroténoïdes font office de garde-corps en préservant l’intégrité cellulaire. En consommer suffisamment, c’est donc protéger son capital lipidique :

  • Préserver les tissus sensibles
  • Contrôler l’inflammation
  • Améliorer sa santé cardiovasculaire
  • Protéger la peau et les muqueuses
  • Augmenter la qualité de son métabolisme énergétique.

Notre dossier consacré au stress oxydatif détaille les mécanismes d’agression et les solutions nutritionnelles pour y faire face.

À lire aussi : un panorama complet des micronutriments indispensables à l’équilibre cellulaire.

Doses de référence et situations particulières

Un adulte en bonne santé devrait consommer 250 mg quotidiens d’oméga-3 (EPA + DHA) et respecter le ratio oméga-6/oméga-3 recommandé.

La femme enceinte ajoutera 200 mg de DHA pour couvrir la croissance cérébrale fœtale.

L’enfant profitera, dès la diversification de son alimentation, d’une petite quantité d’huile de colza pour accompagner le développement de son système nerveux.

Le sportif, exposé à une inflammation répétée, élèvera légèrement son quota d’oméga-3 pour accélérer la récupération musculaire.

Le senior, enfin, sécurisera sa fonction cognitive et visuelle grâce à une prise quotidienne calibrée.

Les acides gras essentiels dépassent la simple notion de quota. Ils entretiennent la fluidité des membranes, régulent l’inflammation et soutiennent le cœur comme le cerveau. Maintenir une alimentation équilibrée, deux portions de poissons gras par semaine, varier les huiles vierges riches en oméga-3 et limiter les excès d’oméga-6 industriels suffisent déjà à rétablir l’équilibre. Ajoutez des antioxydants lipophiles (vitamine E, caroténoïdes) ou une complémentation contrôlée lorsque les besoins l’exigent. Par cette démarche progressive, chacun préserve alors la fluidité de ses cellules et s’inscrit dans une démarche de prévention durable de maladie chronique.

Conseils pour avoir plus d’énergie et de vitalité toute la journée

Fatigue dès le matin, irritabilité, coup de mou dans la journée… Vous vous sentez à bout et vous avez du mal à gérer votre vie quotidienne ? Mais vous ne comprenez pas d’où vient ce manque d’énergie ? Pas d’inquiétude, ces types de symptômes et de sensations sont fréquents et touchent de nombreuses personnes. Découvrez donc dans cet article les causes, les impacts et les solutions pour retrouver forme et vitalité.

Causes et impact d’un manque d’énergie 

Avant de chercher des solutions, il est essentiel de comprendre pourquoi nous manquons parfois d’énergie. Rythme de vie intense, stress, mauvaise hygiène de vie, carences… Les causes peuvent être multiples et s’additionnent souvent. 

Malheureusement, le manque d’énergie peut réellement impacter la qualité de vie. En détail, il peut entraîner :

  • Baisse de productivité : difficulté à se concentrer, à réfléchir et à prendre des décisions.
  • Humeur instable : irritabilité, impatience, manque de motivation.
  • Troubles dépressifs : fatigue sociale, repli sur soi, difficulté à profiter de moments conviviaux.
  • Altération de la santé globale : à long terme, la fatigue chronique peut affaiblir le système immunitaire, favoriser la prise de poids, et augmenter le risque de burn-out.

Top 4 des meilleurs conseils naturels pour avoir plus d’énergie et de vitalité

Prendre soin de son sommeil 

Le manque de sommeil est un des premiers facteurs entraînant une baisse de forme. Nuit trop courte, sommeil agité, ou rythme irrégulier peuvent impacter négativement vos journées. 

Un bon sommeil est donc indispensable pour maintenir un bon niveau d’énergie tout au long de la journée.  En effet, une nuit réparatrice permet au corps de se régénérer, de booster le système immunitaire et de renforcer la concentration ainsi que la mémorisation. En d’autres mots, un sommeil de qualité, 7 à 9 heures selon les personnes, est le meilleur moyen de démarrer la journée avec une bonne dose d’énergie. 

Pour vous assurer de bonnes nuits, il est important d’adopter quelques habitudes simples comme : 

  • Créer une routine du coucher en se couchant à heure régulière.
  • Éviter les écrans avant de dormir : la lumière bleue perturbe la production de mélatonine, l’hormone du sommeil.
  • Dîner léger : une digestion lente et tardive perturbe l’endormissement.
  • Préférer les activités calmes le soir : lecture, méditation, bain chaud… à vous de trouver ce qui vous apaise.

Adopter une alimentation équilibrée 

On ne vous le répétera jamais assez, l’alimentation est un des piliers de la santé. Un régime alimentaire pauvre en micronutriments essentiels et riche en aliments transformés peut favoriser les problèmes de santé et les coups de mou. Autrement dit, la composition d’une assiette a un impact direct sur l’énergie et donc le bon déroulement d’une journée. 

Il est donc important d‘éviter au maximum les aliments transformés, riches en sucres et en mauvaises graisses, et de privilégier :

  • Les fruits et légumes frais : riches en vitamines, minéraux et antioxydants.
  • Les protéines : œufs, légumineuses, poissons, viandes blanches… qui maintiennent une bonne satiété et soutiennent l’énergie mentale.
  • Les glucides complexes : présents par exemple dans le quinoa, la patate douce ou encore l’avoine, ils libèrent lentement leur énergie en raison d’une digestion plus lente. À l’inverse, les glucides simples entraînent des pics de glycémie (hyperglycémies) suivis de baisses brutales (hypoglycémies), provoquant ainsi des sensations de fatigue.
  • Les bonnes graisses : avocat, noix, huile d’olive, poissons gras… reconnus pour stabiliser l’énergie.

Pour éviter les coups de fatigue, vos assiettes doivent être proportionnelles à vos besoins. Une personne ayant une activité physique importante aura des besoins plus importants qu’une personne avec un mode de vie sédentaire.

À noter, l’hydratation est aussi un des piliers d’une alimentation équilibrée. D’ailleurs, la déshydratation, même légère, peut entraîner une sensation de fatigue. Buvez au moins 1,5 à 2 litres d’eau par jour.

Pratiquer une activité physique régulière 

Un mode de vie sédentaire favorise le manque d’énergie.  En effet, le corps produit moins d’endorphines, ce qui peut entraîner une baisse de moral et par conséquent une baisse d’énergie.

La pratique d’une activité physique, même douce comme la marche, permet de stimuler la circulation sanguine, de libérer des endorphines et d’améliorer le sommeil et par ricochet de booster l’énergie. Natation, marche, course à pied… L’important est de trouver l’activité qui vous plaît pour vous y tenir : c’est la régularité qui vous permettra de retrouver forme et vitalité.

Apprendre à gérer son stress 

Le stress est énergivore. Il épuise le système nerveux, dérègle les hormones, et peut même provoquer des troubles du sommeil. Apprendre à gérer son stress est donc essentiel pour préserver sa vitalité.

De nombreuses techniques sont efficaces pour soulager le stress. Exercices de respiration, méditation, ou encore compléments alimentaires, les options sont nombreuses, et comme pour le sport il faut trouver celle qui vous correspond. Il est donc essentiel d’apprendre à écouter son corps ; c’est une des clés pour préserver son énergie sur le long terme.

Lire également : Quelles sont les relations entre stress et fatigue ?

Le coup de pouce des compléments alimentaires

Même avec une bonne hygiène de vie, notre organisme peut parfois manquer de certains nutriments essentiels. Le stress, la pollution, une alimentation industrielle, certains changements physiologiques ou encore certaines conditions médicales peuvent entraîner des carences subtiles impactant les niveaux d’énergie. C’est là que les compléments alimentaires peuvent jouer un rôle précieux.

Les nutriments star pour booster son organisme et son énergie : 

Notre coup de cœur : Gintonal, l’alliance parfaite d’ingrédients naturels, comme le ginseng, la gelée royale et la vitamine D, pour retrouver forme et vitalité tout en boostant vos défenses immunitaires.

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Les compléments alimentaires sont alors un véritable coup de pouce pour rebooster votre énergie, surtout lors des changements de saison, en période de stress intense, lors d’un changement comme à la ménopause ou pour accompagner une démarche de rééquilibrage global de son hygiène de vie.

En conclusion, avoir plus d’énergie et retrouver vitalité tout au long de la journée ne dépend pas d’un remède miracle, mais de l’accumulation de petits gestes quotidiens. Bien dormir, bien manger, bouger régulièrement, gérer son stress, et surtout, écouter ses besoins sont les véritables clés pour vivre ses journées avec dynamisme.

Comment construire et préserver votre équilibre émotionnel au quotidien ?

L’équilibre émotionnel est un sujet peu connu, pourtant, c’est un pilier de la santé. Malheureusement, gérer ses émotions peut être compliqué et des désordres peuvent vite s’installer, pouvant entraîner bon nombre de symptômes. Découvrez donc dans cet article ce qu’est concrètement l’équilibre émotionnel et les pratiques naturelles à suivre pour le construire et le préserver au quotidien.

Comprendre l’équilibre émotionnel

L’équilibre émotionnel au coeur du bien-être

La poursuite du bonheur et du bien-être sont des objectifs naturels et humains. Parmi les moyens d’y parvenir figure l’équilibre émotionnel, qui consiste à gérer et à accepter ses émotions, qu’elles soient positives ou négatives.

Attention, trouver l’équilibre émotionnel ne veut pas dire ne plus ressentir d’émotions, bien au contraire : cela signifie apprendre à les gérer de manière saine. L’équilibre émotionnel est donc une forme de stabilité. Concrètement, une personne ayant atteint cette stabilité saura faire face aux difficultés avec sérénité, tout en sachant savourer pleinement des moments de joie et de paix en pleine conscience.

Comment les déséquilibres émotionnels peuvent affecter la vie quotidienne ?

Dans un monde où les exigences professionnelles, sociales et personnelles se multiplient, maintenir un équilibre émotionnel solide est devenu un véritable enjeu de bien-être pour faire face aux responsabilités. 

Stress, manque de sommeil, alimentation déséquilibrée …. Malheureusement, certains facteurs peuvent nettement altérer l’équilibre émotionnel et la qualité de vie. Il y a, d’ailleurs, un lien très fort entre les sentiments, les pensées, l’humeur et la santé. 

Il est donc courant, en cas de déséquilibre émotionnel d’observer certains symptômes, très ressemblant à ceux de la dépression, comme :  

  • des sautes d’humeur ;
  • une sensibilité accrue ;
  • des difficultés à gérer le stress ;
  • des crises d’impulsivité ;
  • des insomnies ;
  • un isolement et une lassitude ;
  • des douleurs chroniques comme des troubles digestifs.

Habitudes quotidiennes pour renforcer l’équilibre émotionnel

Construire et préserver son équilibre émotionnel repose sur une synergie d’actions.

Apprendre à se connaître 

La connaissance de soi est la première étape vers un équilibre émotionnel stable. Cette période d’introspection est essentielle pour comprendre ses besoins, ses limites, ses déclencheurs émotionnels, mais aussi ses forces. Dans le temps, cela permettra de mieux anticiper les situations à risque, d’éviter les réactions impulsives, et de cultiver une relation plus saine avec soi-même.

À noter, en complément de cette étape d’analyse, il est aussi important de développer son intelligence émotionnelle. L’intelligence émotionnelle est un ensemble de compétences qui permettent d’identifier, de comprendre, d’exprimer et de réguler ses émotions ainsi que celles des autres.

Maîtriser son stress 

Comme abordé, le stress, l’anxiété ou encore les angoisses, de manière chronique, sont des facteurs ayant une forte influence sur l’équilibre émotionnel. Ils interagissent négativement sur notre santé physique et mentale et chamboulent notre vision des choses. 

Il est donc indispensable de trouver des techniques pour les éviter au maximum. Exercices de méditation ou de respiration, yoga, activités sportives ou encore compléments alimentaires à base de plantes anti-stress… l’important sera de trouver la solution qui vous apporte sérénité et bien-être.

Soutenir son équilibre avec les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires sont une bonne solution pour préserver son équilibre émotionnel. Magnésium, oméga-3, safran… De nombreux nutriments et plantes peuvent soutenir l’équilibre nerveux. Par exemple, les compléments à base de magnésium ou encore de plantes adaptogènes sont particulièrement intéressants pour lutter contre le stress. 

Découvrez les compléments alimentaires Dergam pour booster la résilience et renforcer l’équilibre émotionnel :

  • Saphren : ce complément à base de safran permet de lutter naturellement contre le stress, les troubles du sommeil et le manque de vitalité.

Maintenir un bon équilibre émotionnel grâce à Saphren®

Le safranal contenu dans Saphren® contribue au maintien du bon équilibre émotionnel. Les propriétés apaisantes de l’extrait de safran favorisent la relaxation et les pensées positives. 

  • Dopazium :  Magnésium, L-Tyrosine, vitamine B6… La composition de ce supplément permet d’apaiser le système nerveux tout en luttant contre la morosité.

Adopter une bonne hygiène de vie 

Le sommeil, l’alimentation ou encore l’hydratation sont la clé d’une santé de fer, mais aussi d’un moral d’acier. En effet, l’équilibre émotionnel est intimement lié au bien-être physique et donc à une bonne hygiène de vie

Un sommeil réparateur, une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et une consommation modérée de stimulants (caféine, alcool, écrans, etc.) sont autant de facteurs qui influencent la qualité de notre humeur et de notre réactivité émotionnelle. Prendre soin de son corps, c’est une manière d’envoyer un message positif à son esprit.

S’accorder des pauses 

Intégrer dans sa routine quotidienne des temps de pause est une manière simple mais puissante de préserver son équilibre émotionnel. Ces rituels peuvent prendre la forme d’une courte méditation matinale, d’une promenade, d’un moment pour soi par exemple en faisant un soin, ou encore d’un moment de silence en milieu de journée. Ces temps calmes permettent de ralentir le rythme, de se recentrer et de prévenir l’accumulation des tensions.

Créer un environnement relationnel positif

L’équilibre émotionnel ne dépend pas uniquement de soi-même : l’entourage joue un rôle considérable dans la manière dont nous régulons nos émotions. S’entourer de personnes bienveillantes, capables d’écoute et de soutien, permet de se sentir en sécurité et mieux compris. À l’inverse, les relations toxiques ou énergivores peuvent entretenir stress, anxiété et perte d’estime de soi. Il est donc essentiel de cultiver un lien social de qualité. 

L’équilibre émotionnel est une composante non négligeable de la santé mentale et physique qu’il est important de préserver. C’est un travail personnel qui se cultive avec patience et engagement. Introspection, gestion du stress, hygiène de vie saine, ou encore soutien ciblé par des compléments alimentaires, bon nombre de leviers existent pour booster naturellement votre stabilité émotionnelle. Il sera cependant important d’être constant dans cette démarche.

Vitamine D : bienfaits, sources et risques en cas de carences

Longtemps associée à la prévention du rachitisme, il est aujourd’hui établi que la vitamine D intervient dans de nombreux processus biologiques. Présente principalement sous deux formes, la vitamine D2 d’origine végétale et la vitamine D3 synthétisée par la peau, ce nutriment joue un rôle crucial dans de nombreux processus physiologiques. Malgré cela, environ 80% des Français présentent des taux de vitamine D inférieurs aux normales recommandées. Cette carence généralisée constitue un enjeu de sécurité sanitaire qui exige la mise en place de mesures préventives appropriées.

Formes et métabolisme de la vitamine D

La vitamine D existe principalement sous deux formes :

  • La vitamine D2 (ergocalciférol), essentiellement d’origine végétale.
  • La vitamine D3 (cholécalciférol), surtout produite par notre peau en réponse aux rayons UVB. La vitamine D3, mieux absorbée que la vitamine D2, dispose également d’une durée de vie plus longue. Il s’agit de la forme active la plus stable et aussi la plus proche de la vitamine D d’origine endogène.

Ces deux structures moléculaires poursuivent ensuite un cheminement métabolique quasi-similaire.

À lire : Les vitamines indispensables pour le bien-être au quotidien

Fonctions biologiques et bienfaits de la vitamine D

Santé osseuse et métabolisme du calcium

La vitamine D aide l’intestin à absorber le calcium et le phosphore, nécessaires à la minéralisation des os tout au long de la vie. Elle contribue ainsi à la croissance équilibrée du système osseux chez l’enfant, à la préservation de la densité osseuse chez l’adulte et de manière proactive à la lutte contre l’ostéoporose chez les individus âgés.

Sans vitamine D, le taux d’absorption du calcium passe de 30 à 40% à seulement 10 à 15%.

Fonction musculaire

La vitamine D agit aussi sur les muscles en dynamisant la fabrication des protéines contractiles et en participant au métabolisme énergétique des muscles. Une carence se traduit donc par une faiblesse musculaire proximale, souvent premier signe d’alerte d’une carence hivernale.

Spécialement formulé pour le confort articulaire, Algiflex associe des extraits marins à de la vitamine D3, essentielle au maintien d’une bonne fonction musculaire. Il aide à préserver souplesse et mobilité, tout en soutenant l’organisme face aux inconforts liés à l’âge ou à l’activité physique.

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Régulation du système immunitaire

Des récepteurs de la vitamine D sont présents sur de nombreuses cellules immunitaires, ce qui explique son rôle dans l’immunité. Elle joue en effet un rôle dans la régulation des réactions inflammatoires et le renforcement des barrières muqueuses, première ligne de défense naturelle contre les agents pathogènes. Ces actions pourraient aider à comprendre le lien entre les carences hivernales et l’augmentation des infections respiratoires saisonnières, à l’instar de ce que l’on peut observer avec la vitamine C.

Grâce à l’action combinée du ginseng Panax et de la vitamine D3, Gintonal contribue à renforcer les défenses immunitaires de manière naturelle. Idéal en période de fatigue ou de fragilité, il soutient l’organisme face aux agressions extérieures tout en préservant vitalité et résistance.

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Autres effets physiologiques

Les études soulignent d’autres effets potentiels de la vitamine D :

  • Régulation de l’humeur et prévention des épisodes dépressifs saisonniers ;
  • Régulation de la pression sanguine à travers le système rénine-angiotensine ;
  • Capacité à réguler la division et la spécialisation des cellules, avec des répercussions dans le domaine de l’oncologie ;
  •  L’action de la vitamine D sur la vision a également été étudiée, en complément des effets bien connus de la vitamine A sur la santé oculaire ;
  • Son rôle antioxydant peut enfin être amplifié lorsqu’elle est associée à la vitamine E.

Des études en Europe et au Canada confirment par ailleurs son rôle dans le maintien du taux de calcium dans le sang à des niveaux optimaux pour la santé cardiovasculaire.

Facteurs de risque de carence en vitamine D

La quasi-totalité de la population semble touchée par des niveaux insuffisants de vitamine D. Ce déficit en vitamine généralisé s’explique par plusieurs facteurs complémentaires qui affectent notre disposition à maintenir des taux optimaux.

Modes de vie et impact de l’exposition au soleil

Notre corps synthétise naturellement 70% de ses apports en vitamine D grâce à l’exposition au soleil. Ce processus est souvent perturbé par différents facteurs tels que :

  • L’importance croissante du temps passé à l’ombre des rayons lumineux ;
  • L’utilisation de crèmes solaires ;
  • Les UVB du soleil filtrés par la pollution atmosphérique.

Contrainte géographique

En France métropolitaine, la quantité de soleil disponible n’est pas suffisante entre octobre et avril pour permettre à notre peau de produire efficacement de la vitamine D.

Facteurs individuels

Certaines caractéristiques individuelles peuvent considérablement accroître le risque de carence :

  • La mélanine présente dans la peau agit comme un filtre UV qui diminue la production de vitamine D jusqu’à 90 % chez les individus à la peau foncée ;
  • La production de vitamine D diminue d’environ 70 % entre 20 et 70 ans
  • La vitamine D, liposoluble, reste emprisonnée dans les tissus adipeux
  • Certains états physiologiques, tels que la grossesse ou l’allaitement, augmentent considérablement les besoins.

Manifestations cliniques d’une carence en vitamine D

Symptômes subcliniques

Une carence modérée se manifeste par certains signes non spécifiques :

  • Fatigue persistante, surtout en fin de journée ;
  • Douleurs musculaires diffuses ;
  • Tendance aux infections récidivantes ;
  • Humeur morose, accentuée en période hivernale.

Formulé pour soutenir la motivation et l’équilibre émotionnel, Dopazium associe des actifs neurotoniques à de la vitamine D3, reconnue pour son rôle dans la régulation de l’humeur. Idéal en cas de baisse de moral ou de fatigue mentale, il aide à retrouver énergie et dynamisme, naturellement et sans accoutumance.

Manifestations pathologiques

Les carences sévères, en revanche, entraînent des tableaux cliniques spécifiques :

  • Chez l’enfant : rachitisme et déformations osseuses (jambes arquées, thorax déformé)
  • Chez l’adulte : ostéomalacie, qui associe douleurs osseuses et risque fracturaire accru.

Sources de vitamine D

Exposition solaire

Une exposition de 15 à 30 minutes au soleil, sur environ 25% de la surface corporelle (visage, bras, jambes), 2 à 3 fois par semaine, suffit généralement pendant la belle saison.

Apports alimentaires

Bien que l’alimentation ne fournisse qu’approximativement 10 à 20% des besoins, certains aliments sont particulièrement riches en vitamine D.

Sources alimentaires d’origine animale (vitamine D3)

Parmi les aliments les plus riches en vitamine D3, on trouve principalement les poissons gras comme le hareng (18-25 µg/100g), le maquereau (16-20 µg/100g) et le saumon (8-12 µg/100g). L’huile de foie de morue constitue une source particulièrement concentrée (250 µg/100g) et apporte également des oméga bénéfiques pour la santé. Les œufs et les produits laitiers complètent ces sources animales essentielles à une bonne nutrition.

Sources végétales (vitamine D2)

Les sources végétales de vitamine D sont moins nombreuses. On peut néanmoins citer les champignons exposés aux UV, comme les shiitakés (15-20 µg/100g). L’industrie agroalimentaire propose de plus d’aliments enrichis tels que des margarines, certains laits végétaux et des boissons à base de soja.

Supplémentation en vitamine D

Indications et populations cibles

La supplémentation en vitamine D est recommandée dans certaines situations cliniques et démographiques :

  • Durant la période hivernale (octobre à avril) ;
  • Chez les jeunes enfants, les nourrissons, les femmes enceintes et allaitantes ;
  • Chez les personnes âgées ;
  • Chez les individus à peau foncée vivant sous nos latitudes ;
  • Chez les personnes peu exposées au soleil.

Posologies recommandées

Les recommandations actuelles préconisent les supplémentations suivantes :

  • Nourrissons jusqu’à 18 mois : 1000-1200 UI/jour
  • Enfants sous lait enrichi : supplément de 600-800 UI/jour
  • Adultes : 1500 UI/jour en période hivernale
  • Personnes âgées (>70 ans) : 2000 UI/jour

Ces dosages correspondent aux Références Nutritionnelles pour la Population (RNP) établies par les autorités sanitaires.

Risques d’hypervitaminose D

Un surdosage prolongé en vitamine D peut entraîner une hypercalcémie et les symptômes suivants :

  • Nausées, vomissements, perte de poids ;
  • Soif intense et urines abondantes ;
  • À long terme : calcifications rénales.

Ces complications surviennent généralement pour des apports supérieurs à 10 000 UI quotidiennes sur une longue période. L’Agence française de sécurité sanitaire met en garde contre tout excès d’apport en vitamine D.

Avec nos modes de vie actuels et sous nos latitudes, maintenir des taux optimaux en vitamine D demande de combiner exposition au soleil raisonnée, alimentation riche en micronutriments et, bien souvent, une supplémentation adaptée. Les compléments alimentaires peuvent constituer une solution efficace, particulièrement en période hivernale.

aliments riches en zinc

Zinc et santé : rôles, sources naturelles et dosage journalier recommandé

Le zinc est un minéral souvent moins connu que son cousin le magnésium. Cependant, c’est le deuxième métal le plus présent dans le corps après le fer. Cet oligo-élément est même essentiel pour l’organisme et la santé, il est impliqué dans de nombreuses fonctions biologiques, et ce, malgré l’infime quantité nécessaire à l’organisme. Immunité, croissance, beauté de la peau… Ses rôles sont nombreux.

Qu’est-ce que le zinc et pourquoi est-il essentiel ?

Le zinc est un oligo-élément, c’est-à-dire un minéral nécessaire en petite quantité dans l’organisme. Pourtant, ce nutriment est essentiel dans bon nombre de fonctions vitales comme l’immunité, la croissance, la fertilité, ou encore la digestion.

Rôles principaux du zinc

  • Soutenir le système immunitaire : le zinc participe activement à la régulation des réactions immunitaires et aide à prévenir les infections.
  • Maintenir la santé de la peau et des cheveux : il joue un rôle essentiel dans la production de collagène et la lutte contre les inflammations cutanées comme l’acné.
  • Assurer le processus de cicatrisation et protéger les cellules contre le stress oxydatif : il favorise la réparation cellulaire et lutte contre les dommages causés par les radicaux libres.
  • Protéger la vision : le zinc contribue à la protection de la rétine et à la prévention du vieillissement oculaire.

Il est important de noter que le zinc ne peut être produit par l’organisme. Il est exclusivement apporté par l’alimentation et stocké dans certains organes comme le foie, le pancréas ou encore les yeux.

Le zinc et ses bienfaits sur la santé oculaire

Le zinc et la prévention du vieillissement oculaire

Comme abordé plus haut, le zinc, un peu comme le sélénium, joue un rôle essentiel dans la prévention du vieillissement oculaire et plus précisément sur la prévention de la DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l’âge). En effet, cet oligo-élément possède de puissantes propriétés antioxydantes permettant de préserver les yeux et plus précisément la rétine des dommages causés par les radicaux libres.

De plus, le zinc est reconnu pour faciliter le transport de la vitamine A au niveau de la rétine afin de stimuler la production de mélanine, un pigment protégeant la rétine contre la lumière bleue et les agressions extérieures.

Le zinc et la vision nocturne

Mais ce n’est pas le seul rôle du zinc au niveau des yeux. Il permet aussi la formation de rhodopsine, une protéine présente au niveau de la rétine permettant la vision nocturne. Un manque de zinc peut alors entraîner une cécité nocturne, soit une difficulté à voir dans l’obscurité.

Compléments alimentaires pour la santé oculaire

Notre gamme de compléments alimentaires à visée oculaire, vous retrouverez dans leur composition le zinc pour ses nombreux bénéfices sur la santé oculaire :

Où trouve-t-on le zinc dans l’alimentation ?

Le zinc est un minéral, il ne peut donc pas être synthétisé par l’organisme. Il est donc nécessaire, pour éviter les carences, de veiller à avoir une bonne hygiène de vie et une alimentation équilibrée. Le zinc se trouve dans bon nombre d’aliments, qu’ils soient d’origines animales ou végétales, cependant, voici les meilleures sources : 

  • les huîtres ;
  • la viande rouge ;
  • les oeufs ;
  • les légumineuses ;
  • les graines de courges ;
  • le chocolat noir.

L’eau minérale peut aussi être une source intéressante de zinc, en complément à une alimentation équilibrée et variée. Il est important de noter que le zinc est un minéral qui peut être difficilement absorbé par l’organisme, qui en absorbe en moyenne 20 à 40% dans les aliments d’origine animale, et 10 à 20% dans les sources végétales. Sachez cependant que la vitamine C et les protéines d’origine animale facilitent l’assimilation du zinc. Par ailleurs, le cuivre intervient dans la régulation de son équilibre dans l’organisme, car un excès de l’un peut freiner l’absorption de l’autre.

Dose journalière recommandée

Les besoins micronutrionnels varient d’une personne à l’autre en fonction de l’âge, du sexe et des besoins spécifiques. Cependant, les apports journaliers recommandés en zinc sont, pour : 

  • Les enfants (1-9 ans) : 3-5 mg/jour.
  • Les adolescents et adultes : 8-11 mg/jour (besoins accrus chez les hommes).
  • Les femmes enceintes ou allaitantes : 11-12 mg/jour.

En cas de carences ou de besoins plus soutenus en zinc, comme par exemple pour soutenir le système immunitaire ou prévenir la DMLA, les compléments alimentaires peuvent être une bonne option, en complément d’une alimentation équilibrée.

En définitive, le zinc est un minéral essentiel au bon fonctionnement de l’organisme et au maintien d’une bonne santé. Il joue un rôle majeur dans le système immunitaire, la cicatrisation, la santé de la peau et des cheveux, ainsi que dans la protection des yeux contre le vieillissement et la DMLA. Pour garantir un apport optimal, il est important d’adopter une alimentation équilibrée riche en zinc ou d’envisager une supplémentation si nécessaire.

Les multiples bienfaits du magnésium : un allié contre la fatigue et les déséquilibres métaboliques

Le magnésium est un nutriment bien connu du grand public pour ses nombreux bienfaits sur l’organisme et la santé. Bonne santé des os, bon fonctionnement des muscles, synthétisation normale des hormones ou encore amélioration de la résistance au stress… Le magnésium agit à bien des niveaux sur l’organisme. Pourtant, une grande partie de la population présente une carence en magnésium. Cette carence peut entraîner fatigue, stress, troubles métaboliques et musculaires… Découvrez dans cet article toutes les vertus du magnésium sur l’organisme et comment vous assurer des apports suffisants.

Un moteur d’énergie pour l’organisme

La fatigue est un des premiers signes de déficit en magnésium. En effet, en cas de carence, les cellules ne produisent plus suffisamment d’énergie et sont plus sensibles au stress oxydatif. Le corps est aussi davantage sensible au stress, ce qui augmente la consommation de magnésium dans le corps pouvant entraîner une fatigue persistante.

Rôle clé dans la production de l’énergie cellulaire

Le magnésium intervient, avec de nombreuses autres vitamines, dont la vitamine B6, dans le cycle de Krebs, l’ensemble des réactions chimiques intervenant au sein des cellules pour créer de l’énergie, appelée ATP. Plus précisément, il active les enzymes impliquées dans la conversion des nutriments en énergie, garantissant ainsi un fonctionnement optimal de l’organisme.

Influence sur le stress oxydatif

Une carence en magnésium peut aussi entraîner une augmentation du stress oxydatif et de la fatigue chronique. Ce sel minéral aide à neutraliser les radicaux libres responsables du vieillissement cellulaire et de l’inflammation, tout en favorisant la détente musculaire et nerveuse.

Synergie avec la vitamine B6

Pour booster les effets du magnésium sur la fatigue, il peut être intéressant de l’associer à la vitamine B6. La vitamine B6 potentialise l’assimilation du magnésium par l’organisme. Ensemble, ils améliorent le fonctionnement du système nerveux, de la production d’énergie et de la résistance au stress, ce qui en fait un duo incontournable pour lutter contre la fatigue.

Impact sur le métabolisme et l’équilibre hormonal

Le magnésium ne joue pas seulement un rôle fondamental sur la gestion de la fatigue. Il intervient dans de nombreux processus physiologiques, il interviendrait même dans plus de 300 réactions enzymatiques. Une carence peut donc avoir un effet néfaste sur la santé globale.

Gestion du glucose

Le magnésium est impliqué dans divers processus permettant la régulation de la glycémie. Il est entre autres impliqué dans la libération d’insuline par le pancréas et l’assimilation du glucose. Autrement dit, le magnésium permet au corps d’utiliser correctement le sucre présent dans l’organisme pour assurer des taux sains dans le sang. Une carence en magnésium peut ainsi favoriser l’apparition de la résistance à l’insuline, un facteur de risque du diabète.

Synthétisation de neurotransmetteurs

Le magnésium participe à la production de neurotransmetteurs tels que la sérotonine et la dopamine, impliqués dans la régulation de l’humeur et la gestion du stress. Un apport insuffisant peut être associé à une augmentation du risque d’anxiété et de dépression.

Il est important de noter, qu’un manque de dopamine ou de sérotonine entraîne très souvent une hausse du cortisol, l’hormone du stress, reconnue pour favoriser la perte du magnésium par les reins. C’est alors un cercle vicieux, l’organisme manque de magnésium pour synthétiser certains neurotransmetteurs permettant de limiter le stress et le stress quant à lui favorise la perte de magnésium par les urines et donc l’apparition de symptômes tels que la fatigue et les problèmes de sommeil.

Régulation hormonale

Chez les femmes, le magnésium intervient dans l’équilibre hormonal en influençant la production et la régulation des œstrogènes. Il aide ainsi à réduire les symptômes du syndrome prémenstruel (SPM), mais aussi les inconforts et les symptômes associés à la ménopause.

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Un allié pour les muscles, les os et le système cardiovasculaire

Le magnésium est un nutriment essentiel pour les sportifs, de par ses nombreuses actions bénéfiques sur le corps. Pour les muscles, il permet de : 

  • faciliter la transmission nerveuse ;
  • assurer la relaxation musculaire ;
  • eviter les crampes ;
  • assurer une bonne récupération après un effort ;
  • développer les fibres musculaires.

C’est aussi un élément clé dans la formation et le maintien de la densité osseuse. Il favorise l’absorption du calcium et joue un rôle important dans la prévention de l’ostéoporose. Un apport suffisant en magnésium aide à renforcer les os et à préserver leur solidité au fil du temps.

De plus, ce minéral est reconnu pour participer à la régulation du rythme cardiaque et éviter les troubles de la pression artérielle en contribuant à la relaxation des vaisseaux sanguins.

Où trouver du magnésium et comment bien l’assimiler ?

S’assurer des apports suffisants en magnésium est plutôt facile, une bonne hygiène de vie avec une alimentation variée et équilibrée peut couvrir une grande partie des besoins. On en retrouve dans :

  • Les légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots.
  • Les oléagineux : amandes, noix de cajou, graines de courge.
  • Le chocolat noir.
  • Les eaux minérales.

Malheureusement, aujourd’hui, en France, 77 % des hommes et 72 % des femmes souffriraient de carence. Stress, activité physique intense, fatigue chronique, alimentation industrielle… Nos modes de vie favorisent les carences en magnésium. La solution, les compléments alimentaires. En effet, lorsque l’alimentation ne suffit plus à couvrir les besoins en magnésium, les compléments alimentaires peuvent constituer une solution efficace pour prévenir les carences et optimiser la vitalité.

Avant de faire votre choix de supplémentation, il est tout de même important de noter que plusieurs formes de magnésium existent, même si le magnésium marin est la forme la plus courante. Cependant, chacune des formes a une biodisponibilité différente. Parmis les formes les plus utilisés, on retrouve le : 

  • Magnésium marin : issu de l’eau de mer, riche en oligo-éléments.
  • Bisglycinate de magnésium : hautement assimilable, idéal pour réduire le stress.
  • Citrate de magnésium : biodisponible, action rapide sur la digestion.

En résumé, le magnésium est un minéral indispensable pour l’équilibre global de l’organisme et pour maintenir une bonne santé. Intégrer des sources variées de magnésium dans son alimentation et, si besoin, opter pour des compléments permet d’optimiser son bien-être et sa vitalité au quotidien.

Bienfaits du cuivre : comment ce minéral soutient-il votre santé ?

Le cuivre fait partie des premiers métaux exploités par l’homme, bien avant l’âge du fer. Mais au-delà de son usage industriel, il est indispensable au bon équilibre biologique. Essentiel au bon fonctionnement du corps, ce précieux oligo-élément intervient dans de nombreuses réactions physiologiques, de la production d’énergie au renforcement du système immunitaire. Présent en infime quantité, il n’en demeure pas moins indispensable. Découvrez pourquoi ce minéral mérite toute votre attention.

Qu’est-ce que le cuivre ?

Le cuivre est un oligo-élément, un minéral essentiel dont le corps a besoin en très faible quantité pour assurer de nombreuses fonctions biologiques. Il intervient dans des processus clés tels que la production d’énergie, la formation du tissu conjonctif, le renforcement du système immunitaire ou encore la lutte contre le stress oxydatif.

Son rôle principal est d’agir comme cofacteur enzymatique, c’est-à-dire qu’il active certaines enzymes indispensables au bon fonctionnement de l’organisme.

Présent en petites quantités dans les os, les muscles, le foie et le cerveau, le cuivre est principalement absorbé par l’intestin et stocké dans le foie, qui régule sa distribution selon les besoins du corps.

Les bienfaits du cuivre pour la santé

Maintien du métabolisme énergétique 

Le cuivre joue un rôle fondamental dans la production d’énergie au sein de nos cellules. Il participe au bon fonctionnement des mitochondries, ces « centrales énergétiques » au cœur des cellules qui transforment les nutriments en énergie utilisable par l’organisme.

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Soutien du système immunitaire

Le cuivre contribue également au renforcement des défenses immunitaires. Il stimule l’activation des globules blancs, essentiels à la défense de l’organisme contre les infections bactériennes et virales.

Renforcement des os et des tissus conjonctifs

Le cuivre participe également à la production du collagène et de l’élastine, deux protéines essentielles pour le bon fonctionnement des articulations, la solidité des os, la souplesse de la peau. De bons apports en cuivre sont particulièrement importants pour prévenir l’ostéoporose et les maladies articulaires.

Le cuivre joue un rôle essentiel dans la protection cutanée en contribuant à la synthèse de la mélanine, le pigment qui protège la peau des effets néfastes des UV. Il favorise la conversion de la tyrosine en mélanine. Pour rappel, la mélanine est la molécule responsable de la coloration de la peau et des cheveux, qui permet de protéger la peau du soleil et de donner un teint hâlé en été.

Protection contre le stress oxydatif

Le cuivre est un puissant antioxydant qui participe à la neutralisation des radicaux libres, ces molécules instables qui endommagent les cellules et accélèrent le vieillissement. Cet oligo-élément intervient dans la formation de la superoxyde dismutase (SOD), une enzyme clé dans la lutte contre le stress oxydatif.

Absorption du fer

Le cuivre est un cofacteur essentiel des enzymes héphaestine et céruloplasmine, qui transforment le fer alimentaire en une forme assimilable par le corps et facilitent son transport dans le sang. Un apport insuffisant en cuivre peut perturber l’absorption et la distribution du fer dans l’organisme, augmentant ainsi le risque d’anémie.

De plus, le cuivre active la synthétisation des globules rouges, les cellules sanguines en charge du transport de l’oxygène dans l’organisme.

Comment s’assurer des apports suffisants en cuivre ? 

C’est bien connu, il est important de veiller à de bons apports micro-nutritionnels pour être en bonne santé. Cependant, comme tous les oligo-éléments, le cuivre ne peut être produit naturellement par le corps. Il est donc essentiel d’assurer un apport quotidien suffisant pour éviter toute carence. Une alimentation équilibrée suffit généralement à couvrir les besoins quotidiens de ce dernier. On en retrouve dans de nombreux aliments comme : 

  • Les fruits de mer : huîtres, crabes, crevettes ;
  • Les abats : foie de bœuf, foie de veau ;
  • Les oléagineux : noix de cajou, amandes, graines de tournesol ;
  • Les légumineuses : lentilles, pois chiches ;
  • Le chocolat noir ;
  • L’eau minérale.

Toutefois, il est à noter qu’une consommation excessive de zinc ou de fer peut entraver son absorption.

Carence et recommandations de dosage

Une carence en cuivre, bien que rare, peut provoquer fatigue, anémie et affaiblissement du système immunitaire. Un excès peut également être problématique. En effet, une accumulation excessive de cuivre dans l’organisme peut provoquer des troubles neurologiques graves. 

Il est donc essentiel de maintenir un équilibre adéquat en surveillant son alimentation et en évitant la surconsommation de compléments alimentaires sans avis médical. Généralement, pour éviter les carences ou les excès, il est conseillé de consommer : 

  • 1,9 mg/j pour un homme de plus de 18 ans ;
  • 1,5 mg/j pour une femme de plus de 18 ans ;
  • 1,7 mg/j pour une femme enceinte.

Bien que requis en infime quantité, le cuivre joue un rôle clé dans le maintien de nombreuses fonctions vitales. De la production d’énergie à la protection des cellules contre le stress oxydatif, en passant par le bon fonctionnement du système immunitaire et la formation des tissus conjonctifs, cet oligo-élément est un véritable acteur de notre santé.

Si une alimentation variée permet généralement de couvrir les besoins quotidiens, il est essentiel d’être attentif à son équilibre, notamment en cas de carences nutritionnelles ou d’interactions avec d’autres minéraux comme le zinc et le fer. Un apport maîtrisé garantit le bon fonctionnement du métabolisme, tout en évitant les excès potentiellement néfastes.

Longtemps méconnu du grand public, le cuivre mérite toute notre attention. Prendre soin de son apport, c’est offrir à son corps un soutien essentiel pour préserver son énergie, sa résistance et son bien-être général.

Antioxydants : définition, bienfaits, sources et précautions

Les antioxydants sont des molécules essentielles à l’équilibre cellulaire. Leur rôle principal est de neutraliser les radicaux libres, limitant ainsi les dommages causés par le stress oxydatif. Présents naturellement dans l’organisme et l’alimentation, ils contribuent à limiter le vieillissement cellulaire et à prévenir certaines pathologies. Quels sont leurs bienfaits ? Où les trouver ? Existe-t-il des risques en cas d’excès ? Cet article fait le point sur ces molécules indispensables à la santé.

Les antioxydants, qu’est-ce que c’est ?

Les antioxydants sont des molécules essentielles à l’organisme, dont la principale fonction est de protéger les cellules contre le stress oxydatif, en neutralisant l’action des radicaux libres. Ces derniers, instables par nature, peuvent provoquer des réactions en chaîne responsables du vieillissement prématuré des cellules et de l’apparition de certaines pathologies.

L’organisme produit ses propres antioxydants (antioxydants endogènes), mais il doit également en puiser dans l’alimentation (antioxydants exogènes). On les retrouve notamment dans les vitamines C et E, les minéraux comme le sélénium et le zinc, ainsi que dans certains composés végétaux, tels que les polyphénols et flavonoïdes.

Quels sont les bienfaits des antioxydants ? 

Les antioxydants protègent l’organisme des radicaux libres de manière globale. Ils permettent, entre autres, de :

Prévenir le vieillissement cutané prématuré

Le stress oxydatif est l’un des principaux facteurs du vieillissement de la peau. En neutralisant les radicaux libres, les antioxydants aident à préserver l’élasticité de la peau, à réduire les rides et à améliorer l’éclat du teint.

Réduire les risques de maladies 

De nombreuses études suggèrent que les antioxydants pourraient contribuer à limiter les risques de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et des pathologies neurodégénératives comme Alzheimer et Parkinson. En limitant le stress oxydatif, ils pourraient aider à protéger les cellules des mutations et des inflammations associées à ces maladies.

Renforcer le système immunitaire

Les antioxydants aident à renforcer le système immunitaire en protégeant les globules blancs et en favorisant une réponse immunitaire optimale face aux infections et aux agressions extérieures.

Améliorer la santé oculaire

Certains antioxydants, comme la lutéine et la zéaxanthine, ou encore la vitamine A, sont spécialement bénéfiques pour la santé des yeux. Ils contribuent à prévenir la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et la cataracte.

Réduction de l’inflammation

L’inflammation chronique est un facteur sous-jacent de nombreuses maladies. En réduisant l’oxydation cellulaire, les antioxydants jouent un rôle dans la prévention des troubles inflammatoires tels que l’arthrite.

Les sources d’antioxydants

Les antioxydants se trouvent principalement dans une alimentation variée et colorée. Parmi les plus connus :

  • Les vitamines : la vitamine C, présente dans les agrumes et les fruits rouges tels que la myrtille, et la vitamine E, abondante dans les huiles végétales et les oléagineux.
  • Les minéraux : le sélénium et le zinc, que l’on retrouve notamment dans les noix du Brésil, les amandes et les fruits de mer.
  • Les polyphénols et flavonoïdes : ces antioxydants végétaux se trouvent dans le thé vert, le chocolat noir et les légumes à feuilles vertes.
  • D’autres antioxydants spécifiques : le lycopène dans la tomate, le resvératrol dans le vin rouge ou encore la lutéine et la zéaxanthine pour la santé oculaire.

Zoom sur l’indice ORAC : L’indice ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity) mesure la capacité antioxydante des aliments. Par exemple, les fruits rouges affichent un indice ORAC d’environ 4 000, indiquant une forte teneur en composés protecteurs contre le stress oxydatif.

Il existe une grande diversité d’antioxydants aux origines variées, chacun ayant des rôles spécifiques dans l’organisme. Par exemple, la tomate est une source importante de lycopène, un puissant antioxydant et le vin rouge contient du resvératrol, un antioxydant bénéfique pour la santé cardiovasculaire.

Les antioxydants présentent-ils des dangers ?

Si les antioxydants sont essentiels à l’organisme, leur surconsommation peut entraîner des effets inverses. Certaines études suggèrent qu’un excès d’antioxydants pourrait induire un phénomène pro-oxydant, favorisant l’oxydation cellulaire au lieu de la prévenir. C’est ce qu’on appelle le paradoxe des antioxydants.

Chez les fumeurs, une supplémentation excessive en bêta-carotène, un antioxydant précurseur de la vitamine A, pourrait être associée à une augmentation du risque de cancer. De la même façon, bien que la vitamine C soit un puissant antioxydant, certaines études indiquent qu’une supplémentation excessive pourrait, dans certains cas, être associée à un risque accru de cataracte. Toutefois, cet effet n’a pas été observé lorsque la vitamine C est consommée via une alimentation naturelle et équilibrée. Il est donc indispensable, en cas de supplémentation ou d’alimentation ciblée, de suivre les apports journaliers recommandés.

Comment intégrer les antioxydants dans son alimentation ? 

L’alimentation joue un rôle central dans l’apport en antioxydants. Les antioxydants exogènes sont facilement intégrables dans l’alimentation quotidienne grâce à une consommation variée de fruits, légumes, épices et autres aliments riches en micronutriments protecteurs : 

  • Manger varié et coloré : privilégiez les fruits et légumes de différentes couleurs pour bénéficier d’un large éventail d’antioxydants.
  • Consommer des aliments frais et de saison : les produits frais, particulièrement les fruits et les légumes, contiennent généralement plus d’antioxydants que les aliments transformés.
  • Privilégier la cuisson douce : évitez les températures élevées qui peuvent altérer certains antioxydants, comme la vitamine C.
  • Incorporer des épices et des herbes : le curcuma, le gingembre, le basilic et l’origan sont riches en composés antioxydants.

Pour protéger ses réserves en antioxydants endogènes ou exogènes, il sera aussi important de suivre une hygiène de vie saine. Certaines mauvaises habitudes, comme le manque de sommeil, la sédentarité ou encore le stress, réduisent l’efficacité des antioxydants.

En conclusion, les antioxydants jouent un rôle crucial dans la protection de l’organisme contre le stress oxydatif et les effets négatifs associés. Ils sont largement présents dans une alimentation équilibrée et variée. Toutefois, il convient d’être prudent et de privilégier une approche nutritionnelle encadrée pour en tirer tous les bénéfices sans risque.