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Auteur/autrice : Dergam

Améliorer le confort visuel : conseils et astuces pour protéger vos yeux

Travail sur ordinateur, télé, conduite de nuit… Nos modes de vie sollicitent de plus en plus les yeux, ce qui facilite les inconforts et les troubles oculaires. Contrairement aux idées reçues, prendre soin de sa santé oculaire n’est pas qu’une histoire d’âge, c’est une habitude indispensable pour soutenir le confort visuel et éviter les désagréments en tout genre.

Découvrez dans cet article tous les conseils et les astuces de nos experts pour maintenir une santé oculaire optimale et éviter les inconforts.

Pourquoi prendre soin de ses yeux est essentiel ?

Le fonctionnement de base de l’œil permet un confort visuel optimal. Malheureusement, comme introduit, nos habitudes et nos modes de vie peuvent altérer certains mécanismes.

Les yeux sont une zone du corps humain extrêmement sensible et fragile. De la même manière que la peau, ils sont constamment soumis à des agressions extérieures en tout genre comme le soleil, les écrans ou encore la lumière, ce qui peut favoriser les inconforts, les troubles visuels et les maladies oculaires.

L’inconfort visuel peut se manifester de bien des manières.  Stress visuel, sécheresse, problème de vue et port de lunettes, maladie dégénérative comme la DMLA ou la cataracte… Les manifestations sont nombreuses et peuvent grandement altérer la vie quotidienne. En effet, il peut rendre certaines tâches quotidiennes, comme la lecture ou la conduite, périlleuses, car, en plus d’être désagréables, ils altèrent très souvent la vision.

Par exemple, si vous exercez un travail demandant d’être régulièrement devant un ordinateur, des inconforts peuvent facilement se déclarer. En effet, la lumière bleue est reconnue pour endommager la rétine et la macula et donc favoriser les gênes comme la sécheresse oculaire, voire l’apparition de certaines maladies.

Top 5 des meilleures astuces pour améliorer le confort visuel

Adopter une alimentation équilibrée

L’alimentation joue un très grand rôle dans le maintien d’une santé oculaire optimale. De nombreux nutriments indispensables à la bonne santé des yeux se cachent dans les aliments frais. Ils ont, entre autres, besoin :

  • De vitamines, comme la vitamine C, la D et la E. Ces dernières, grâce à leur richesse en antioxydants, permettent de protéger les cellules oculaires et ainsi limiter les inconforts, mais aussi les maladies dégénératives comme la DMLA ou la cataracte. 
  • De lutéine et de zéaxantine, deux antioxydants de la famille des caroténoïdes, naturellement présents au niveau de l’œil, protégeant les yeux des radicaux libres et des UV. 
  • D’oméga 3, un nutriment essentiel permettant, entre autres, de prévenir les problèmes de sécheresse oculaire en participant à l’apport lipidique nécessaire aux larmes, de favoriser le confort visuel en limitant la fatigue oculaire, mais aussi de protéger les cellules photoréceptrices de la rétine. 

Vous l’aurez donc compris, pour maintenir un confort visuel optimal, veillez à adopter une alimentation équilibrée et variée, riche en nutriments essentiels.

Boire suffisamment

L’eau est indispensable au fonctionnement du corps, et les yeux n’échappent de ce fait pas à cette règle. Un manque d’hydratation peut entraîner bon nombre de désagréments comme des troubles de la vision et des sécheresses oculaires.

C’est principalement le film lacrymal qui, en cas de déshydratation, peut engendrer des inconforts. Le film lacrymal est une sorte de couche protectrice à la surface de l’œil, composée essentiellement d’eau, et permettant la protection et l’hydratation de la cornée. En cas de manque d’eau, la cornée n’est plus suffisamment hydratée et protégée ; elle devient alors inconfortable.

Veillez donc à boire au minimum 1,5 L d’eau par jour pour vous assurer une bonne hydratation, que ce soit pour votre corps ou vos yeux.

Réduire les temps d’écrans

Pour limiter la fatigue visuelle, les sensations de tiraillement dans les yeux, et plus tardivement les maladies oculaires, il est recommandé de veiller à faire régulièrement des pauses lorsque l’on travaille devant des écrans ou en cas de sollicitation importante pendant de longues durées par exemple en cas de conduite ou de lecture.

En effet, ces actions sollicitent énormément les muscles oculaires. Dans le cas des écrans s’ajoute l’exposition importante aux lumières bleues. Pensez alors, toutes les 20 minutes, à faire des pauses en regardant quelques secondes au loin. De plus, dans le cas précis des ordinateurs, n’hésitez pas à utiliser des filtres anti-lumière bleue. Il existe des solutions à appliquer directement sur les écrans ou alors des lunettes adaptées avec des verres possédant un filtre anti-lumière bleue.

Pour vous assurer un confort visuel optimal, la luminosité des espaces dans lesquels vous vous trouvez est aussi importante, que ce soit au travail ou à la maison. Un bon éclairage, adapté à chaque activité, est crucial. Une lumière insuffisante vous demandera un effort important et un éclairage artificiel trop puissant entraînera une contrainte. Pensez à ajuster la luminosité de vos écrans et à installer un éclairage ambiant adéquat pour éviter tout inconfort.

Faites confiance aux compléments alimentaires à visée oculaire

Les compléments alimentaires à visée oculaire sont idéaux pour prendre soin de vos yeux en supplément des conseils énoncés précédemment. Ce sont des solutions de soutien pour favoriser le confort visuel et prévenir les maladies oculaires. En action, ils vous permettront de vous assurer un apport suffisant de chaque élément nutritif indispensable au maintien d’une bonne santé oculaire en s’appuyant sur le pouvoir de nombreux actifs naturels comme la myrtille ou encore le co-enzyme Q10.

Découvrez Trioptec®, le supplément à adopter pour un bon confort visuel. Sa composition hautement concentrée en nutriments essentiels à base d’anti-oxydants, de lutéine, de zéaxanthine, de coenzyme Q10 et d’extrait de myrtille contribue au maintien d’une fonction visuelle normale et à protéger les cellules contre le stress oxydatif.

visuel format png packaging produit TRIOPTEC complément alimentaire

Trioptec : solution naturelle au vieillissement oculaire

Trioptec® apporte à l’organisme des acides gras essentiels, des anti-oxydants, de la lutéine, de la zéaxanthine et du coenzyme Q10, afin de ralentir la progression de la dégénérescence maculaire.

Bien évidemment, en cas de troubles de la vue ou de gènes trop importants, il est indispensable de consulter un ophtalmologue. Il pourra établir un diagnostic précis et peut-être vous prescrire une correction adaptée à vos besoins. Attention à ne pas utiliser un dispositif qui ne vous a pas été prescrit. Les lentilles ou les lunettes de vue doivent être obligatoirement adaptées à chaque individu pour assurer un bon confort visuel.

Protection et confort visuel au quotidien

Pour assurer une protection optimale de vos yeux, pensez à utiliser des produits adaptés à vos besoins. Les lunettes de soleil, par exemple, sont indispensables pour les protéger des UV. Optez pour des lunettes de qualité, avec une teinte adaptée à vos activités. Les avis des clients peuvent souvent vous guider vers les meilleurs produits du marché, n’hésitez pas à les consulter mais également à demander les conseils et avis d’un professionnel opticien.

Prendre soin de ses yeux ne devrait pas être une option : c’est essentiel pour un confort visuel optimal et prévenir les troubles oculaires, mais aussi pour votre bien-être et votre vie quotidienne. Nos modes de vie modernes, caractérisés par une exposition prolongée aux écrans et une utilisation intensive de la vision de près, exigent que nous prêtions une attention particulière à notre santé oculaire.

En résumé, adoptez une alimentation équilibrée riche en vitamines, antioxydants, lutéine, zéaxanthine et oméga 3, limitez les temps d’écrans et utilisez un filtre anti lumière bleue ou des lunettes adaptées pour réduire la fatigue visuelle, adaptez l’éclairage de vos environnements, tant au travail qu’à la maison, et protégez-vous des rayons du soleil. En cas de troubles visuels importants, consultez un ophtalmologue pour obtenir un diagnostic précis et des recommandations personnalisées, et n’hésitez pas à parler avec eux de compléments alimentaires dédiés.

Quel est le rôle de la mélanine pour les yeux ?

La mélanine est bien connue pour ses capacités protectrices au niveau de la peau, mais saviez-vous que c’est aussi une substance indispensable à la bonne santé et au bon fonctionnement des yeux ? Ce pigment naturel agit à bien des niveaux sur nos yeux. Mais quel est son rôle ? A-t-il un impact sur la santé oculaire ? On vous explique tout en détail dans cet article dédié.

Qu’est-ce que la mélanine ?

La mélanine est un pigment de couleur brune naturellement présent dans le corps. Elle est principalement connue pour donner une coloration bronzée à la peau en été, mais c’est aussi un élément indispensable au niveau des yeux, sa proportion permet entre autres de déterminer leur couleur.

Cette grosse molécule est synthétisée dans l’organisme par les mélanocytes et plus précisément, pour les yeux, au niveau de l’iris, de la rétine et de la choroïde. C’est grâce à la tyrosine, un acide aminé responsable de nombreuses réactions chimiques dans l’organisme, comme dans la synthétisation de dopamine, que la mélanine est produite par les mélanocytes.

Quels sont les rôles de la mélanine ?

Comme abordé précédemment, la mélanine influe sur la couleur des yeux. C’est le volume et la répartition de cette dernière au niveau de l’iris, l’anneau central et coloré de l’œil, qui va déterminer la couleur des yeux. Plus concrètement, on retrouve une quantité plus importante de mélanine chez les personnes aux iris foncés, autrement dit marron, et des quantités moindres chez les personnes aux iris clairs, bleus ou verts.

D’ailleurs, il n’est pas rare que les taux de mélanine varient avec l’âge. Chez les bébés, la couleur des iris va généralement évoluer, d’une couleur claire à plus foncée, entre la naissance et les mois qui la précèdent, car les mélanocytes ne sont pas encore complètement formés à la naissance. À l’inverse, avec l’âge, les iris peuvent s’éclaircir, car les stocks de mélanine diminuent.

L’iris, qu’est-ce que c’est ? Scientifiquement parlant, l’iris est une membrane contractile située à l’avant de l’œil entre la cornée et le cristallin. Sa fonction principale est de réguler la dose de lumière entrant dans l’œil pour adapter la vision à la lumière d’un environnement.

En complément de son impact sur la couleur des yeux, la mélanine a aussi une fonction bien précise : protéger les yeux. Elle permet, tout comme pour la peau, de protéger des UV et plus précisément des UVA. Elle agit comme une barrière naturelle en absorbant et en filtrant les rayons UV, réduisant ainsi les dommages potentiels causés par une exposition excessive au soleil.

Mélanine et risques de maladies oculaires

Vous l’aurez compris, la mélanine protège les yeux. Cependant, dans certains cas, des taux anormalement élevés ou faibles peuvent atteindre la santé oculaire. Ces dernières années, certaines études ont mis en exergue le lien entre proportion de mélanine et maladie oculaire. Par exemple, une trop faible proportion de mélanine chez les personnes aux yeux clairs aurait tendance à favoriser l’apparition de maladies dégénératives comme la DMLA, la dégénérescence maculaire liée à l’âge.

De plus, tout comme la peau, les yeux peuvent être atteints d’un mélanome, soit d’un cancer. Ce type de cancer se développe exclusivement dans les mélanocytes, mais reste très rare et sans explication précise quant à ses causes. Néanmoins, certains facteurs peuvent soutenir l’apparition de cette pathologie, comme la couleur claire des yeux, soit l’absence de mélanine.

Attention tout de même, ces différentes études n’ont pas été approuvées par les hautes autorités françaises. Des taux anormaux de mélanine ne sont donc pas forcément liés à une maladie oculaire. Dans tous les cas, en cas de gênes ou de symptômes révélateurs, consultez un ophtalmologue, il pourra établir un diagnostic précis et les causes de votre pathologie.

Comment améliorer et protéger les niveaux de mélanine ?

Veiller à des apports suffisants en Tyrosine

Comme expliqué, la mélanine, qu’elle soit au niveau des yeux, de la peau ou des cheveux, est synthétisée dans les mélanocytes grâce à un acide aminé, la tyrosine, de son nom scientifique L-Tyrosine.

Cette molécule indispensable au bon fonctionnement du corps et tout particulièrement des yeux est naturellement produite par l’organisme. Néanmoins, pour vous assurer des niveaux suffisants de mélanine, il est possible de consommer des aliments contenant de la tyrosine. Vous en trouverez, entre autres, dans : 

  • La viande comme le bœuf et le veau 
  • Les crustacés et le poisson 
  • Les oléagineux comme les amandes ou encore les noix

Protéger les yeux du soleil

Même si les yeux sont capables de réguler la lumière absorbée grâce à l’iris et à sa coloration, les UV restent tout de même dangereux si vous y êtes surexposé.

Ces derniers peuvent pénétrer profondément dans les globes oculaires et les endommager sur le moyen voire long terme, particulièrement chez les enfants et les personnes aux yeux de couleur claire, qui ont moins de mélanine pour les protéger. De plus, certaines études ont mis en avant le pouvoir des UV à altérer les capacités des mélanocytes, cellules en charge de la production de mélanine.

Il est donc indispensable pour protéger vos yeux de manière globale, mais aussi vos stocks de mélanine, de porter des lunettes de soleil dès que celui-ci pointe le bout de son nez. Les lunettes de soleil avec des verres polarisés et des filtres UV sont particulièrement recommandées pour une protection optimale.

Les compléments alimentaires pour préserver vos yeux

Pour vous assurer une santé oculaire optimale et des taux de mélanine suffisants, il est tout à fait possible de vous supplémenter. Les compléments alimentaires à visée oculaire vous assurent des apports suffisants de chaque nutriment essentiel au maintien d’une bonne santé oculaire. Lutéine et zéaxanthine, tyrosine ou encore myrtille, de nombreux actifs naturels sont capables de protéger votre vue pour longtemps. Découvrez la large gamme de compléments alimentaires à visée oculaire Dergam.

En somme, la mélanine joue un rôle essentiel dans la protection des yeux contre les rayons UV nocifs, en contribuant à réduire les risques de maladies oculaires graves. Il est important de prendre soin de vos yeux en adoptant des habitudes saines et en utilisant des équipements de protection appropriés pour préserver la santé de votre vision.

En veillant à des apports suffisants en tyrosine, en protégeant vos yeux du soleil avec des lunettes adaptées, et en envisageant des compléments alimentaires, vous pouvez assurer des niveaux adéquats de mélanine pour une santé oculaire optimale. N’oubliez pas de consulter régulièrement un ophtalmologue pour un suivi personnalisé et des conseils adaptés à votre situation. Celui-ci pourra également vous orienter et vous conseiller dans votre choix de compléments alimentaires.

Bouffées de chaleur et ménopause : comprendre et gérer

La ménopause est une phase inévitable de la vie de chaque femme, marquée par l’arrêt des menstruations, aussi appelé arrêt des règles, et survient généralement entre 45 et 55 ans. Cependant, elle peut arriver plus tôt en cas de faible réserve ovarienne.

Avant de poser un diagnostic de ménopause, d’autres causes d’aménorrhée (absence de règles), comme le surpoids, le sous-poids, l’endométriose ou le SOPK, sont explorées. Pour être sûr que la ménopause est bien là, on attend de constater un délai minimum de 12 mois sans règles (ce, sans contraception, surtout hormonale).

Ce bouleversement hormonal entraîne divers désagréments : troubles du sommeil, sueurs nocturnes, sécheresse vaginale, prise de poids, douleurs articulaires et bouffées de chaleur. Environ 50 % des femmes souffrent de bouffées de chaleur en préménopause et plus de 65 % à la ménopause. Nos experts vous expliquent les causes et solutions pour ce symptôme typique.

Les bouffées de chaleur, qu’est-ce que c’est ?

Le plus souvent, une bouffée de chaleur se traduit par une sensation de chaleur intense, diffuse et imprévisible, pendant quelques minutes et pouvant entraîner une augmentation du rythme cardiaque. Néanmoins, chaque femme est différente et les degrés d’intensité des bouffées de chaleur peuvent être variables et arriver à différents moments. Il est tout à fait possible d’en avoir de jour, comme de nuit : c’est ce qu’on appelle communément les sueurs nocturnes.

Vous l’aurez donc compris, au vu de leur caractère imprévisible et intense, les bouffées de chaleur peuvent fortement impacter la qualité de vie des femmes au moment de la préménopause ou de la ménopause. Manque de sommeil et trouble du sommeil, gêne au travail… Les inconforts peuvent être nombreux et entraîner de nombreux désagréments.

Rappel : la préménopause est la phase de diminution progressive de la production des hormones féminines et la ménopause correspond à leur stabilisation à un faible taux. À un âge où les femmes ont souvent atteint une certaine stabilité, ces symptômes peuvent être particulièrement perturbants.

Les bouleversements hormonaux au moment de la ménopause

Lors de la préménopause et de la ménopause, de nombreux changements hormonaux s’opèrent dans le corps des femmes.

À ces périodes, on observe la diminution de deux hormones sexuelles féminines : les œstrogènes et la progestérone. Ces deux hormones ovariennes sont impliquées dans la régulation du cycle menstruel jusqu’à la ménopause. Pour rappel, dès la naissance, les ovaires ont un stock de follicules ; lorsque celui-ci est épuisé, il n’y a plus d’ovulation. La production hormonale diminue alors jusqu’à n’en produire plus que très peu, c’est à partir de ce moment qu’on parle vraiment de ménopause.

En parallèle, certaines hormones, la FSH et la LH, sécrétées par l’hypophyse (une petite glande logée au niveau du cerveau), vont quant à elles augmenter notablement pendant la ménopause et ainsi favoriser les crises de bouffées de chaleur. Tous ces changements entraînent alors certains dysfonctionnements mécaniques dans l’organisme féminin, comme par exemple un dérèglement du processus de thermorégulation, des difficultés à s’endormir, etc.

Lire également : Guide pratique pour optimiser vos œstrogènes durant la ménopause

Quel est l’impact de la ménopause sur la température corporelle ?

Nous avons toutes et tous une température corporelle d’environ 37 °C. Mais saviez-vous que le corps humain est capable de maintenir une température stable ? En effet, scientifiquement parlant, le corps est capable de maintenir une balance entre la chaleur produite et la chaleur perdue. Ce processus permet aux organes vitaux de fonctionner correctement en n’importe quelle situation. C’est principalement l’hypothalamus, glande située au cœur du cerveau et voisine de l’hypophyse, qui régule ce mécanisme inné.

Au moment de la périménopause et de la ménopause, les bouleversements hormonaux entraînent des déséquilibres dans la régulation de la température. En effet, ils favoriseraient un dérèglement des capacités thermorégulatrices de l’hypothalamus, et donc les symptômes des bouffées de chaleur au moment de la ménopause. Les femmes peuvent ainsi ressentir une sensation de chaleur intense, souvent accompagnée de rougeurs et de sueurs.

Comment réguler les effets de ces dérèglements ?

Attention aux idées reçues : les bouffées de chaleur ne sont en aucun cas une fatalité. Il existe bon nombre de solutions pour en venir à bout.

Il est par exemple possible de recourir à des traitements hormonaux substitutifs, prescrits par un médecin et plus précisément un gynécologue, pour compenser la baisse des hormones sexuelles. Ces traitements hormonaux peuvent aider à réguler les niveaux d’œstrogènes et de progestérone pour ainsi soulager les symptômes de la ménopause. Cependant, ces traitements ne sont pas sans risque et doivent être soigneusement évalués par un médecin, car ils peuvent augmenter les risques de développer un cancer du sein et de l’ostéoporose.

Il est aussi tout à fait possible, en adoptant les bons gestes et les bonnes habitudes de vie, de diminuer leur fréquence et leur intensité de manière naturelle sans pour autant passer par la case traitement hormonal. Voici les meilleures astuces de nos experts.

Adopter une hygiène de vie saine

Il est indispensable de conserver ou d’adopter des habitudes saines pour rester en bonne santé, particulièrement dans ces moments de grands changements. Cela vous permettra également de limiter les bouffées de chaleur.

Pour une alimentation équilibrée, riche en fibres, en vitamines et en antioxydants, mangez des fruits et légumes (crus et cuits) variés, préférez les légumineuses, les céréales complètes et les pâtes complètes aux pain et aux pâtes blanches, et n’oubliez pas les oléagineux. Surtout, consommez des produits frais : évitez par-dessus tout les aliments transformés et ultra-transformés, qui contiennent des perturbateurs endocriniens et dont les plastiques des emballages se transfèrent bien trop souvent aux aliments eux-mêmes.

L’alimentation joue un rôle phare, elle assure de bons apports nutritionnels et évite les problèmes de surpoids, reconnus pour soutenir les troubles climatériques.

Il est aussi intéressant de pratiquer une activité physique régulière : cela permet de soulager le stress, souvent à l’origine des bouffées de chaleur, en favorisant la libération de dopamine. D’ailleurs, de nombreuses études ont mis en exergue l’impact négatif du stress sur les bouffées de chaleur : les pics de cortisol, hormone du stress, favoriseraient ces dernières.

Les femmes doivent donc prêter une attention particulière à leurs habitudes pour préserver leur équilibre et limiter les symptômes désagréables liés à la ménopause.

Éviter les sources de stress

Comme expliqué précédemment, le stress est un facteur aggravant des bouffées de chaleur. De plus, au moment de la ménopause, les femmes sont davantage susceptibles de souffrir de troubles dépressifs. Stress, angoisse, sautes d’humeur… Cela se manifeste de bien des manières et est principalement dû à un manque de sérotonine, l’hormone du bonheur, dont la sécrétion est principalement stimulée par les œstrogènes.

Pour éviter d’exacerber les bouffées de chaleur, nous vous recommandons donc de faire un maximum d’exercices de méditation et de relaxation, comme le yoga pour booster la sécrétion de sérotonine. Des techniques de relaxation, telles que la respiration profonde et la méditation, peuvent également être très efficaces pour gérer le stress et améliorer la qualité du sommeil. Ces pratiques sont bénéfiques non seulement pour les bouffées de chaleur mais aussi pour la santé mentale globale.

Se supplémenter

Vous pouvez vous orienter vers une méthode douce pour vous accompagner et vous apaiser pendant les chamboulements hormonaux inhérents à la ménopause.

Les compléments alimentaires riches en vitamines et minéraux pourront soutenir votre santé globale durant cette période de transition. Ceux à base d’huile d’onagre sont tout particulièrement intéressants pour soulager les bouffées de chaleur, mais aussi les troubles de l’humeur. Vous en retrouverez dans notre complément Effi-onagre. En effet, son huile de première pression à froid et hautement dosée permet de réguler l’activité hormonale et donc les bouffées de chaleur, les sécheresses intimes mais également l’irritabilité qui peut survenir pendant ce changement.

Effi Onagre® : l’huile d’onagre pure

Effi-onagre600® est composé d’huile d’onagre de très grande qualité, extraite par première pression à froid, conservant et protégeant ainsi toutes ses propriétés.

Elle est particulièrement intéressante lors de chamboulements hormonaux comme la ménopause : elle régule les hormones, soulage les bouffées de chaleur, et apaise l’humeur et les irritabilités.

Effi-onagre600® est recommandé par les professionnels de santé depuis 1984.

Vous pourrez envisager de l’associer avec Donaclim Ménopause ®. Spécifiquement conçu pour vous soulager des symptômes de la ménopause, il limite les bouffées de chaleur et contribue à réguler l’activité hormonale de manière naturelle.

Âge et ménopause

Il est important de noter que l’âge auquel survient la ménopause peut varier. En moyenne, la ménopause se manifeste autour de 51 ans, mais certaines femmes peuvent la connaître plus tôt, dès la quarantaine, tandis que d’autres ne l’expérimentent qu’après 55 ans. Les variations d’âge peuvent influencer l’intensité et la fréquence des bouffées de chaleur, ainsi que d’autres symptômes de la ménopause.

La compréhension de ces variations d’âge est cruciale pour adapter les stratégies de gestion des symptômes. Par exemple, une femme entrant en ménopause précoce pourrait nécessiter une approche différente de celle qui traverse cette phase plus tardivement. De plus, l’âge peut également déterminer l’opportunité et la nécessité d’une hormonothérapie (traitement hormonal substitutif). Les médecins le prennent en compte, associé avec les symptômes spécifiques, pour recommander le traitement le plus approprié.

La ménopause, bien qu’inévitable, ne doit pas être synonyme de désagréments insurmontables. En comprenant les bouffées de chaleur et en adoptant des stratégies adaptées, vous pouvez traverser cette période sereinement. Que ce soit par des traitements hormonaux, une hygiène de vie saine, la gestion du stress ou la supplémentation, de nombreuses solutions existent pour atténuer les symptômes et maintenir une bonne santé. Il est essentiel de consulter un médecin pour obtenir des conseils personnalisés et gérer les symptômes de manière proactive pour préserver son bien-être à long terme.

rôle de la sérotonine

Comprendre le rôle de la sérotonine : de la régulation de l’humeur aux fonctions corporelles

La sérotonine, aussi dite hormone du bonheur, est une substance naturellement produite par l’organisme aux mille et un rôles. Elle est indispensable pour une santé de fer et un moral d’acier. Néanmoins, il n’est pas toujours évident de comprendre son fonctionnement et ses effets. Comment agit cette substance dans l’organisme ? Comment s’assurer d’un taux suffisant ? Nos experts vous expliquent tout sur cette incroyable molécule. 

Comment la sérotonine est-elle produite dans le corps et quels sont les facteurs qui influencent sa production ? 

Régulation de l’humeur, gestion du sommeil, bonne santé digestive… La sérotonine, de son nom scientifique 5-hydroxytryptamine, est une substance aux multiples fonctions sur l’organisme, bien connue de tous de son surnom hormone du bonheur. Elle joue même un double rôle, celui d’hormone, mais aussi de neurotransmetteur, ce qui lui confère tous ses pouvoirs.

Quelle est la différence entre un neurotransmetteur et une hormone ? Une hormone est une substance active circulant dans le système sanguin et agissant directement sur un ou des organes. Un neurotransmetteur, quant à lui, est un signal chimique transmis entre différents neurones. 

La sérotonine va être libérée en quantité suffisante pour combler les besoins de l’organisme, principalement au niveau du cerveau et du système nerveux de l’intestin grâce à un acide aminé, le tryptophane. Cet acide aminé est exclusivement apporté par l’alimentation, l’organisme est incapable de le produire. Il est donc indispensable, pour éviter les carences, d’adopter une alimentation riche en tryptophane

La sérotonine et la régulation de l’humeur

Lien entre sérotonine et bien-être mental

De nombreuses études ont mis en exergue le lien entre trouble de l’humeur et carence en sérotonine. C’est d’ailleurs un des pouvoirs les plus connus de cette hormone, sa capacité à réguler l’humeur et à maintenir un bon équilibre psychique, d’où son surnom d’hormone du bien être.

En détail, elle permet de limiter les comportements impulsifs, les crises de colère, les autres d’humeur, mais aussi les angoisses en se liant à des récepteurs spécifiques. Par exemple, en cas de stress ou d’angoisse, la sérotonine va se fixer sur ces récepteurs limitant la synthétisation de cortisol, l’hormone en charge du stress. 

Implications durant la ménopause 

Au moment de la ménopause, il est plutôt fréquent que les femmes subissent des troubles de l’humeur, voire des symptômes dépressifs au vu de tous les bouleversements hormonaux qu’elles subissent. 

Et pour cause, les hormones sexuelles féminines, et principalement les œstrogènes, augmentent la production de sérotonine. Une baisse drastique s’opère donc au moment de la ménopause au vu de l’arrêt du fonctionnement des ovaires et de la synthétisation des œstrogènes, ce qui peut favoriser des troubles de l’humeur. 

Effets de la sérotonine sur le sommeil

La sérotonine est indispensable au bon déroulement des différents cycles du sommeil. Elle permet de favoriser un endormissement rapide, mais aussi d’éviter les réveils nocturnes en liant les différentes phases du sommeil. 

Mais la sérotonine n’est pas la seule hormone en charge de notre sommeil, elle interagit avec d’autres substances comme la mélatonine. Plus précisément, la sérotonine est précurseur de la mélatonine. Autrement dit, le soir, au moment du sommeil, la sérotonine devient de la mélatonine pour favoriser un sommeil profond et réparateur. 

À noter, ce processus est très complexe, il nécessite l’intervention de très nombreux cofacteurs comme les vitamines du groupe B, C et D et le fer. Autrement dit, pour s’assurer un bon sommeil, il ne suffit pas d’avoir un bon taux de sérotonine, tous les nutriments sont importants. 

Découvrez Dorlon®, ce complément à base d’actifs naturels, comme la valériane, le coquelicot, le tryptophane et la mélisse, lutte contre les insomnies et favorise un sommeil stable sans réveil nocturne. 

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Dorlon® : Pour des nuits paisibles et réparatrices

Découvrez Dorlon, votre allié pour un sommeil réparateur et des réveils en douceur.

Nutrition et sérotonine

On ne vous le répétera jamais assez, adopter une alimentation saine et équilibrée est indispensable pour une bonne santé. Les besoins de l’organisme sont nombreux, pour booster votre taux de sérotonine, il peut être intéressant de compléter votre régime alimentaire. 

En effet, comme vu plus haut dans cet article, le tryptophane est une molécule indispensable à la synthétisation de sérotonine, néanmoins, ses apports sont exclusivement liés à l’alimentation. En d’autres mots, pour éviter toute carence en sérotonine, il est indispensable d’adopter une alimentation riche en tryptophane

On retrouve des quantités intéressantes de tryptophane dans : 

  • les viandes blanches, 
  • les œufs, 
  • les produits laitiers, 
  • les fruits à coques
  • les bananes. 

N’hésitez donc pas à en manger régulièrement. Attention tout de même, il est reconnu que l’assimilation du tryptophane par l’organisme peut être compliquée. Pour faciliter les choses, il est recommandé de l’ingérer avec des glucides. 

Conseils pour maintenir un niveau sain de sérotonine

Il est tout à fait possible de booster la production de sérotonine naturellement en changeant certaines habitudes de vie. L’objectif est d’adopter une approche globale pour gérer sans stress toutes les situations de la vie courante. Pour cela : 

  • Pratiquer une activité physique régulière : Le sport permet de stimuler la synthétisation de sérotonine, plus précisément, il augmente la vitesse et la fréquence à laquelle la sérotonine arrive jusqu’au cerveau pour ainsi conduire à une grande sensation de bien-être. 
  • S’exposer régulièrement à la lumière du jour : S’exposer au soleil et à la lumière du jour permet de stimuler la synthétisation de sérotonine. Profitez donc un maximum de balade en extérieur lorsqu’il fait beau, c’est bon pour le corps et l’esprit. 
  • S’accorder des moments de relaxation et de méditation : Bon nombre d’études scientifiques ont mis en avant le pouvoir de la méditation sur la synthétisation des hormones du bonheur comme la sérotonine et la dopamine. Cette pratique permet au cerveau de se déconnecter du stress environnant pour ainsi apporter une grande sensation de bien-être.

En résumé, la sérotonine est une substance clé dans le bon fonctionnement de notre système nerveux, agissant sur de nombreux aspects de notre santé physique et mentale. Son rôle est complexe et vital, et sa régulation fine est nécessaire pour maintenir un équilibre optimal dans notre organisme.

apnée du sommeil

Qu’est-ce que l’apnée du sommeil ? 

L’apnée du sommeil est un trouble de la respiration intervenant pendant la nuit, c’est une affection très fréquente et pourtant encore mal connue et peu diagnostiquée. Cette maladie peut réellement affecter la vie quotidienne en entraînant une baisse de la qualité du sommeil et donc une fatigue importante, voire l’apparition de maladie comme l’hypertension artérielle. Bonne synthétisation hormonale, régulation de la température, récupération physique, maintien de l’humeur… Un bon sommeil est indispensable pour se sentir bien dans sa peau et avoir une bonne santé. Découvrez maintenant notre dossier spécial pour enfin découvrir si vous souffrez d’apnée du sommeil et savoir comment la traiter. 

Les symptômes de l’apnée du sommeil

L’apnée du sommeil est provoquée par une obstruction des voies respiratoires, ce qui provoque des pauses respiratoires, généralement de 10 secondes, au moment du sommeil lent, empêchant l’entrée en sommeil profond. Cette obstruction, plus ou moins importante, est dû au relâchement des organes situés à l’arrière de la gorge comme la langue ou le palais. Les pauses respiratoires, plus ou moins nombreuses, qui surviennent au cours de la nuit provoquent des épisodes de micro-éveil pour que le cycle respiratoire puisse reprendre normalement. 

Attention à ne pas confondre les troubles du sommeil et l’apnée du sommeil, les symptômes sont complètement différents. Les troubles du sommeil provoquent des troubles de l’humeur, des difficultés à l’endormissement alors que, généralement, une personne souffrant d’apnée du sommeil présente les symptômes suivants : 

  • Ronflements : les ronflements apparaissent en cas d’obstruction partielle des voies respiratoires, ce qui provoque une respiration difficile et bruyante. 
  • Respiration difficile et suffocation : mouvement important au niveau de la cage thoracique, hyperventilation… Ce sont les symptômes d’une apnée obstructive, une apnée du sommeil sévère. 
  • Fatigue importante : tous les symptômes énumérés provoquent une altération du sommeil, et plus précisément du sommeil profond, ce qui in fine abouti à une fatigue importante en journée. 

Les conséquences de l’apnée du sommeil

Une apnée du sommeil non prise en charge peut concrètement altérer la santé globale, mais aussi la qualité de vie. 

Les somnolences diurnes

La fatigue importante et le manque de repos peuvent entraîner des somnolences, des difficultés de concentration, voire des troubles de l’humeur. Il est important de noter que les accidents domestiques et de la route sont très fréquents chez les personnes non traitées pour cette pathologie. 

Les maladies cardiovasculaires 

Comme introduit plus haut, les troubles de la respiration ont aussi une répercution sur la santé globale. En effet, pendant les phases de pause respiratoire, le corps et les organes ne sont pas suffisamment oxygénés. Autrement dit, les taux d’oxygène dans le sang diminuent tout au long de la nuit. Ce phénomène peut, à court terme, entraîner des troubles du rythme cardiaque, et à long terme favoriser les maladies cardiovasculaires comme l’insuffisance cardiaque.

À noter, il est aussi possible, sur le long terme, en cas d’apnée du sommeil, de développer un syndrome métabolique. C’est un ensemble de facteurs, se caractérisant par une masse graisseuse importante au niveau du ventre, augmentant les chances de développer du diabète et d’être en surpoids. 

Facteurs de risque et diagnostic de l’apnée du sommeil

Selon de nombreuses études, l’apnée du sommeil est une maladie très fréquente, touchant en France 2 millions de personnes, principalement des hommes entre 55 ans et 70 ans. Néanmoins, certains facteurs, que ce soit chez l’homme ou la femme, favorisent son apparition, comme : 

  • Le surpoids et obésité.
  • La consommation d’alcool et de tabac.
  • L’âge.

En cas de doute, n’hésitez pas à consulter votre médecin traitant, il pourra établir un protocole afin de déterminer si vous souffrez ou non d’apnée du sommeil. Généralement, un bilan du sommeil sera prescrit. C’est un examen médical réalisé dans une clinique du sommeil où diverses mesures seront réalisées au cours de votre nuit. En détail, le diagnostic de l’apnée du sommeil peut être confirmé par une polysomnographie ou une polygraphie, des appareils enregistrant différentes variables pendant le sommeil telles que la respiration, le rythme cardiaque et l’oxygénation du sang.

Les traitements contre l’apnée du sommeil

Il est très rare de complètement guérir de l’apnée du sommeil. C’est une maladie qui nécessite, le plus souvent, un traitement à vie. Néanmoins, il est tout à fait possible de limiter ses effets et ses symptômes, il existe bon nombre de traitements. 

Adopter une hygiène de vie saine 

Avant tout chose, il est essentiel d’avoir une hygiène de vie saine et d’adopter les bons gestes, c’est-à-dire : 

  • Perdre ses kilos en trop en cas d’obésité ou de surpoids en adoptant, par exemple, une activité physique et une alimentation saine.  
  • Arrêter de consommer de l’alcool ou du tabac 
  • Dormir à heure fixe, l’objectif étant de mieux régler son horloge biologique pour mieux dormir 
  • Essayer de changer de position de sommeil

Les traitements médicaux 

D’un point de vue médical, il existe 3 options de traitements contre l’apnée du sommeil. : 

  • Les orthèses mandibulaires avancées : cette orthèse est idéale en cas d’apnée du sommeil modérée, elle permet de manière mécanique d’augmenter l’espace compris entre la base de la langue et le pharynx pour ainsi éviter les obstructions. 
  • La pression positive : cette technique nécessite l’usage d’une machine envoyant directement dans les narines de l’air en légère surpression. 
  • La chirurgie : réservée au cas les plus graves n’ayant répondu à aucun traitement ou aux personnes ayant une déformation connue de la sphère ORL. 

Les options naturelles

En complément, de ces différents traitements, il est possible de s’aider du pouvoir des plantes afin d’améliorer la qualité de son sommeil. 

On peut citer par exemple la passiflore, cette plante qui favorise un sommeil réparateur et profond. 

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Le fruit de la passiflore est traditionnellement utilisé pour réduire le stress quotidien et la tension nerveuse et favoriser un sommeil naturel et réparateur.

En complément, pour vous assurer un meilleur sommeil et limiter les pauses respiratoires, nous vous conseillons de faire des exercices de renforcement musculaire ciblant les muscles de la zone ORL comme la langue, la gorge ou le palais. Renforcer ces muscles limitera les risques d’obstruction. 

En résumé, il est important de traiter l’apnée du sommeil, car elle peut avoir un impact significatif sur la qualité de vie. En plus de nuire à la qualité du sommeil et de causer une somnolence diurne excessive, l’apnée du sommeil est associée à un risque accru de complications cardiovasculaires et à une augmentation de la mortalité. Il est donc crucial de consulter un professionnel de la santé en cas de soupçon d’apnée du sommeil afin de recevoir un traitement approprié et prévenir les complications à long terme.

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Bienfaits de la Prêle : Comment cette plante soutient-elle la santé des Femmes ?

La prêle des champs, de son nom scientifique Equisetum arvense, est une petite plante vivace assez commune poussant depuis des millénaires dans de nombreuses zones du monde. Depuis l’Antiquité, elle est largement reconnue pour ses multiples propriétés sur l’organisme. Effet diurétique, booste de la régénération des tissus conjonctifs, limitation des douleurs et des symptômes de l’arthrose, fortification des cheveux et des ongles… Ses bienfaits sont nombreux. La prêle est d’ailleurs une alliée de taille pour les femmes au moment de la ménopause pour son action globale sur le corps. Nos experts décryptent l’éventail des vertus de ce végétal pour la santé des femmes.

Composition et propriétés de la prêle

Les différents pouvoirs de la prêle résident en sa richesse en micronutriments dont des minéraux et des oligo-éléments essentiels au bon fonctionnement du corps humain. On y retrouve entre autres :

  • Du silicate, aussi dit silice, un minéral très présent dans l’organisme. Os, muscles, cartilage, tendons, articulations… On en retrouve dans tous les tissus conjonctifs. Cette molécule assure la bonne synthétisation du collagène, un composé essentiel à la bonne structure des tissus de soutien. La richesse en silice de l’equisetum arvense est aussi reconnue pour fortifier les cheveux et les ongles. 
  • Des flavonoïdes, des molécules appartenant à la grande famille des polyphénols aux nombreux bienfaits pour le corps, essentiellement apportés par les plantes. Les flavonoïdes protègent toutes les cellules de l’organisme du stress oxydatif et donc du vieillissement prématuré des cellules. Limitation du vieillissement cutanée, protection contre les maladies cardiovasculaires… Les flavonoïdes agissent à bien des niveaux. 

À noter, la combinaison des flavonoïdes et des silicates présents dans la prêle des champs agit sur le maintien d’une bonne densité osseuse. Les flavonoïdes préviennent la perte de calcium et favorisent sa bonne absorption et les silicates assurent la bonne synthétisation de la trame osseuse.

  • Des saponines, issues principalement de plantes, capables de réduire les douleurs en tout genre, surtout en adéquation avec les flavonoïdes et leur propriété anti-inflammatoire. 

Anti-inflammatoire, antioxydante, reminéralisante, anti douleurs… la prêle des champs, aussi dite queue de cheval, agit à bien des niveaux sur la santé. Il est d’ailleurs impossible de parler des bienfaits de cette plante sans aborder ses extraordinaires capacités diurétiques, à l’instar du bouleau ou du cassis. 

Bienfaits de la prêle pendant la ménopause

Bouffées de chaleur, sécheresse vaginale, douleurs articulaires… La ménopause peut être une étape de la vie d’une femme compliquée si l’on n’adopte pas les bons gestes et les bonnes habitudes. Notre solution, la phytothérapie et les pouvoirs de la prêle des champs. Cette plante peut vous aider à passer cette étape de vie en toute sérénité. 

Maintenir une bonne santé articulaire et osseuse

Au moment de la préménopause et de la ménopause, la production d’œstrogène diminue jusqu’à s’arrêter radicalement, ce qui a une action délétère sur les articulations et les os. Diminution de la production de collagène et d’acide hyaluronique, dégradation du cartilage, perte de densité osseuse… Les changements sont nombreux et peuvent déclencher certaines maladies comme l’arthrose ou l’ostéoporose et occasionner nombre de douleurs. 

C’est ici qu’entre en jeu la prêle des champs. Cette plante au mille et une vertus assure le maintien de la synthétisation de collagène, la bonne absorption du calcium ainsi que la réduction des inflammations et des douleurs. 

Notre recommandation Algiflex, ce complément alimentaire apporte confort et souplesse articulaire de manière naturelle. Avec lui, dites adieu aux douleurs articulaires !

Le saviez-vous ? Avec l’âge, les niveaux de calcium dans l’organisme baissent considérablement. De plus à la ménopause, les besoins en calcium de l’organisme augmentent d’où l’importance de se supplémenter pour éviter l’apparition de maladie comme l’ostéoporose. 

Lutter contre les troubles urinaires 

Les troubles urinaires, et plus précisément les cystites, sont plus fréquents au moment de la ménopause. La disparition des œstrogènes induit de nombreux changements au niveau de l’appareil sexuel féminin, ce qui favorise les infections. 

En outre, les sécheresses vaginales, très fréquentes au moment de la ménopause, ainsi que le relâchement des tissus de l’urètre, augmentent les possibilités d’infections urinaires.  

La prêle, grâce à ses propriétés diurétiques, va prévenir ses troubles urinaires, mais aussi les soulager en cas d’infections. En effet, elle permet l’élimination des toxines dues aux infections urinaires et favorise le bon équilibre des bactéries au niveau de la vessie.

Freiner le vieillissement cutané

Sécheresse cutanée, apparition de rides et ridules, perte de fermeté, réduction de la barrière cutanée… La ménopause entraîne son lot de désordre cutané. Et pour cause, la chute drastique des hormones féminines impacte directement la bonne synthétisation de certaines molécules indispensables à la bonne santé de la peau. 

La prise de prêle des champs va permettre de freiner toutes ces réactions en boostant la synthétisation de molécules comme le collagène, tout en protégeant la peau grâce à sa richesse en actifs anti-oxydants capables de limiter l’action des radicaux libres sur les cellules de la peau. 

Conseils d’utilisation et précautions

Complément alimentaire, crème, teinture mère ou encore tisane, les solutions à base de prêle sont variées. La solution que nous recommandons pour une action globale sur le corps : les compléments alimentaires. Gélules, comprimés, solution à diluer dans l’eau… 

Les suppléments à base d’equisetum arvense se déclinent sous une multitude de formes. En plus d’offrir un dosage adapté au besoin des femmes en ménopause, ils sont souvent associés à des actifs naturels ultra-concentrés, issus de plantes ou non, idéaux pour soulager un grand nombre de symptômes. 

Le saviez-vous ? Il est possible de créer vos propres solutions à base de prêle.  Les parties aériennes de la plante, fraîches ou séchées, peuvent être utilisées pour concocter des préparations à base de prêle pour soigner les plaies et les inflammations cutanées.

Comme pour toutes solutions de phytothérapie, il est important de bien connaître la plante que vous souhaitez intégrer à votre routine pour éviter tout désagrément ou effet secondaire. La prêle des champs est une solution sans danger pour la santé, à l’inverse de sa cousine la prêle des marais, extrêmement toxique pour l’homme. Néanmoins, elle n’est pas recommandée aux personnes atteintes de maladies cardiaques et rénales, aux enfants, ainsi qu’aux femmes enceintes ou allaitantes. N’hésitez donc pas, avant de vous supplémenter, à demander conseil à votre médecin traitant ou votre gynécologue pour établir le meilleur plan d’action possible. 

En conclusion, la prêle des champs est un partenaire de taille pour soulager certains symptômes de la ménopause. En combinaison avec une hygiène de vie saine, un suivi médical optimal et un accompagnement émotionnel sur le long terme, la prêle des champs peut vous aider à passer cette étape de vie en souplesse et sans douleur. 

Périménopause : comprendre et gérer cette phase cruciale d’avant ménopause

Périménopause, préménopause, ménopause, post ménopause… Nous pensons toutes bien connaître ces différentes phases de la vie d’une femme, mais les connaissez-vous vraiment ? Savez-vous les différencier ? Périménopause et préménopause, sont deux termes définissant une seule et même phase, la période de transition entre le fonctionnement dit “normal” des ovaires et l’arrêt complet de la libération d’œstrogènes. C’est le moment juste avant la ménopause, autrement dit avant l’arrêt complet des règles. Il est capital de comprendre ces différentes phases pour appréhender les changements associés, et ainsi mieux les vivre. 

Symptômes et signes de la périménopause

La périménopause est la phase de transition progressive vers la ménopause et l’arrêt complet du fonctionnement des ovaires durant en moyenne 3 à 5 ans. À ce moment de la vie d’une femme, le fonctionnement ovarien ralentit, ce qui entraîne la chute de la synthétisation de certaines hormones.

Plus précisément, à la naissance, les femmes ont un stock de follicules sécrétés par les ovaires, qui se réduit au fur et à mesure de la vie. 

Les follicules, qu’est-ce que c’est ? Ce sont de petits sacs remplis de liquide, au niveau des ovaires, dans lequel les ovules maturent. 

Quand les réserves de ce stock deviennent très basses, la synthétisation d’œstrogènes et de progestérone baisse radicalement, ce qui entraîne l’apparition des premiers signes de la périménopause, comme des :

Zoom, pourquoi les cycles se dérèglent-ils au moment de la périménopause ? Pendant la préménopause, les femmes sont toujours réglées, mais les cycles peuvent être très irréguliers à cause des variations hormonales. En application, pour certaines, les cycles raccourcissent, alors que pour d’autres certains cycles sautent.

À noter, chaque femme est différente, les symptômes de la préménopause et leur durée peuvent être très variables et plus ou moins contraignants.

Comment gérer les symptômes ? 

Pour éviter que toutes ces fluctuations hormonales ne deviennent trop envahissantes et invalidantes, il est possible, au quotidien, de changer certaines habitudes de vie et d’adopter quelques astuces naturelles.

Globalement, il est recommandé d’adopter un mode de vie sain pour mieux gérer les symptômes de la préménopause. Autrement dit, sommeil, alimentation et activité physique sont des points à ne surtout pas négliger. Une alimentation équilibrée permet de limiter certains symptômes comme les bouffées de chaleur et les maux de tête en apportant au métabolisme les nutriments dont il a besoin pour faire face aux différents bouleversements de cette période. De plus, certains aliments, comme le soja, sont reconnus pour être riches en phytoœstrogènes capables de compenser la baisse de la synthétisation ovarienne. Le sport, quant à lui, permet de maintenir une bonne masse musculaire, de réguler le stress et d’améliorer le sommeil. 

En complément, de ces solutions naturelles, il est possible de suivre un traitement hormonal, communément appelé traitement hormonal substitutif (THS) ou traitement hormonal de la ménopause (THM), via une prescription médicale. ​​Ce traitement consiste en la prise d’œstrogènes et de progestérone pour compenser le déficit hormonal et atténuer les désagréments liés à la préménopause. Il peut être sous forme de pilules, de patchs, de gels ou d’implants.

Santé mentale et bien-être émotionnel pendant la périménopause

Il est plutôt courant au moment de la périménopause que les femmes ressentent une baisse de moral générale due aux bouleversements hormonaux en cours. Stress, anxiété, déprime… Cela peut se manifester de plusieurs manières… La baisse des œstrogènes dans le corps peut entraîner bon nombre d’émotions négatives. Par exemple, les bouffées de chaleur peuvent facilement favoriser les crises d’anxiété, car elles entraînent des sensations oppressantes, avec une accélération du rythme cardiaque.

Il est donc essentiel de prendre soin de soi et d’adopter les bons gestes afin d’éviter la dépression et la perte de confiance en soi. Relaxation, méditation, médecine alternative comme l’acupuncture ou encore plus simplement l’activité sportive… Il existe de nombreuses options pour apprendre à gérer son stress et garder sa joie de vivre. 

Parler avec son entourage est aussi une bonne solution pour passer cette phase en confiance et pour ne pas se sentir seule, vous n’êtes pas la première à ressentir ces sentiments et de nombreuses femmes pourront partager avec vous leurs expériences et leurs solutions.

Comment bien préparer son corps et son esprit à la ménopause ?

Vous l’aurez donc compris, pour bien vivre la préménopause et la ménopause, il est important de s’y préparer, afin d’éviter de la subir. Cette période ne devrait pas être perçue comme une période affreuse et taboue, mais plutôt comme une étape normale de la vie d’une femme. 

Découvrez les conseils de nos experts pour vous y préparer au mieux :

S’informer sur la préménopause et la ménopause 

Comprendre ce qui se passe dans votre corps est indispensable pour vous préparer au mieux à l’arrivée de la ménopause et éviter toute source de stress et d’anxiété. Prenez donc le temps de vous informer au maximum sur cette phase naturelle de la vie d’une femme. Vous serez ainsi mieux armée pour comprendre et anticiper vos symptômes. 

Bouger au maximum 

Pour préparer au mieux son corps et éviter certains symptômes douloureux de la ménopause comme les douleurs articulaires, nous vous recommandons de pratiquer une activité sportive tout au long de votre vie. C’est le meilleur moyen de prévenir l’apparition de certaines maladies liées à la ménopause comme l’ostéoporose. De plus, c’est une manière de vous accorder des moments de détente et de lâcher prise, idéaux pour prévenir le stress et la déprime.

Se supplémenter 

Utiliser des compléments alimentaires pour préparer son corps à ce bouleversement hormonal peut aussi être une solution très efficace. Ils vous assurent des apports en nutriments essentiels pour l’organisme, surtout au moment de la ménopause. Le complément à adopter : Donaclim ménopause. Bouffées de chaleur, prise de poids, douleurs articulaires, troubles de l’humeur, il agit sur tous les symptômes.

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Donaclim Ménopause® aide à équilibrer les fonctions psychologiques, favoriser la relaxation et retrouver un sommeil réparateur, grâce à sa formule complète.

Être accompagnée

Pour préparer son esprit à la ménopause, il ne faut pas hésiter à consulter régulièrement son gynécologue ou son médecin traitant. Ils pourront vous expliquer en détail les particularités liées à cette période pour un passage en douceur, mais également vous suivre sur le plan médical. Par exemple, certaines personnes sont plus ou moins enclines aux maladies cardiovasculaires, ils pourront donc faire les examens nécessaires pour surveiller notamment le taux de cholestérol.  

En définitive, que l’on parle de périménopause ou de préménopause, cette période de changement hormonal est bouleversante pour les femmes, et ce, peu importe les symptômes et leur intensité. Néanmoins, en adoptant les bons gestes et en se préparant correctement, il est tout à fait possible d’apprivoiser son corps et de se sentir bien dans sa peau. L’important est de trouver les bonnes solutions et d’être accompagnée afin de ne pas se sentir seule et désemparée.

La prêle et l’arthrose : un remède naturel pour les douleurs articulaires post-ménopausiques

La prêle des champs est largement reconnue par le grand public pour maintenir en bonne santé les cheveux et les ongles, on en retrouve dans bon nombre de produits, mais saviez-vous que ce peut aussi être une solution efficace pour maintenir le système locomoteur en pleine forme ? Nos experts vous en disent un peu plus. 

La prêle, qu’est-ce que c’est ? 

La prêle des champs, de son nom scientifique Equisetum arvense, est une plante primitive, c’est-à-dire présente depuis des millions d’années sur terre. Depuis l’Antiquité, elle est utilisée en médecine traditionnelle pour soulager de nombreux maux comme les affections cutanées. 

Anti-inflammatoire, anti-douleur, reminéralisante, diurétique, cicatrisante… Ses propriétés sont nombreuses. Cette plante est, d’ailleurs, une alliée de taille en cas de douleurs articulaires post ménopausique. Sa composition hors du commun permet de maintenir en bonne santé les os, le cartilage et les tendons souvent altérés au moment de la ménopause. 

Lire également : Les différentes phases de la ménopause démystifiées

Propriétés de la prêle bénéfiques pour les articulations

Au moment de la ménopause, il est plutôt fréquent de ressentir des douleurs articulaires, voire de développer de l’arthrose ou de l’ostéoporose. La baisse progressive puis la disparition des œstrogènes va favoriser les fragilités osseuses et cartilagineuses. En d’autres mots, le manque d’œstrogènes dans l’organisme impacte directement la matrice cartilagineuse et son renouvellement ainsi que le renouvellement osseux. Baisse de la synthétisation de chondrocyte, manque de collagène… Les raisons sont nombreuses. 

La solution pour limiter ces inconforts : la prêle ! La richesse en micronutriments de cette plante, comme les silicates, les flavonoïdes et les saponines, est idéale en cas de gêne articulaire ou d’arthrose. En effet, les flavonoïdes permettent de réduire les inflammations, les saponines jouent le rôle d’anti-douleur et les silicates, riches en silicium, autrement dit en silice, soutiennent la synthèse du collagène.

À noter, la prêle des champs, de son surnom “Queue-de-cheval”, est aussi reconnue pour prévenir l’apparition de maladies comme l’ostéoporose et freiner leur développement, typique au moment de la ménopause. La richesse en flavonoïdes de ce végétal permet de conserver une bonne densité osseuse en prévenant la perte de calcium et en favorisant son absorption dans l’estomac. 

De plus, la prêle des champs est aussi largement recommandée pour soulager les troubles urinaires et plus précisément les infections urinaires, très fréquentes au moment de la ménopause. En effet, ses propriétés diurétiques permettent d’éliminer plus facilement les toxines dues aux infections urinaires et de favoriser un bon équilibre bactérien au niveau de la vessie.

Comment utiliser la prêle dans le traitement de l’arthrose ?

Vous l’aurez compris, la prêle peut être un partenaire non négligeable au moment de la ménopause pour soulager les douleurs articulaires. Néanmoins, pour profiter de toutes ses vertus, il est indispensable de connaître quelques astuces pour profiter de tous ses bienfaits. 

Choisir le bon format

Tisanes, compléments alimentaires, crème… Les solutions à base de prêle sont nombreuses. Suivant vos symptômes et vos habitudes de vie, certaines seront plus ou moins recommandées. Plus précisément, pour soulager les douleurs articulaires post-ménopausiques nous vous recommandons :

  •  Les tisanes, pour une solution de soutien douce. Attention, suivant le produit utilisé, la préparation peut être un peu longue, car pour profiter de tous les bienfaits de cette plante, il faut la faire macérer. Une consommation régulière vous aidera à préserver votre capital osseux et ainsi éviter les douleurs articulaires. Néanmoins, il existe aussi des tisanes plus classiques ne nécessitant que quelques minutes d’infusion proposant généralement des associations de plantes ultra-reminéralisantes comme l’ortie et le cassis.
  • Les compléments alimentaires pour une formule hautement dosée et facile à prendre au quotidien. Comprimés, gélules, ou encore poudre, les formats et les formules sont multiples pour répondre aux besoins de toutes les femmes. D’ailleurs, certains compléments proposent des formules enrichies en actifs et nutriments, comme l’harpagophytum, pour une action globale sur les symptômes de la ménopause

Notre remède tout-en-un Algiflex, ce complément offre une action globale sur les articulations pour retrouver confort, souplesse et mobilité pendant la ménopause. 

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Ce complément naturel favorise le renforcement du système locomoteur tout en préservant la souplesse et la santé de vos articulations grace à sa formule complète.

Être vigilant sur le dosage 

Pour une action bénéfique sur les articulations, peu importe le produit à base de prêle utilisé, il est important de choisir un dosage suffisant. Pour les tisanes, c’est le nombre de cuillères à soupe et le temps de macération qui vous assurera la meilleure tisane possible. Généralement, il est conseillé de faire macérer 2 g de prêle dans 150 ml d’eau pendant maximum 12 h. Pour les compléments alimentaires, un apport quotidien de 1 à 2 g est recommandé. Veillez cependant à bien respecter la posologie de votre supplément pour éviter tout effet secondaire.

Précautions et contre-indications

La prêle des champs est une solution de phytothérapie généralement sans danger pour la santé. Néanmoins, pour éviter tout désagrément, il est nécessaire de respecter quelques règles d’utilisations. 

En effet, cette plante peut être contre-indiquée pour les personnes souffrant de maladies cardiaques et rénales, pour les enfants, ainsi que pour les femmes enceintes ou allaitantes. De plus, il est important de noter que comme tout complément alimentaire, la prêle des champs peut présenter des effets secondaires chez certaines personnes. Il est donc recommandé de consulter un professionnel de santé avant de commencer toute cure à base de prêle, surtout pour les personnes souffrant de problèmes de santé particuliers et/ou sous traitements médicamenteux.

En conclusion, la prêle des champs est une plante aux nombreuses propriétés bénéfiques pour les articulations. Grâce à sa teneur en silicium et à ses propriétés anti-inflammatoires, elle peut aider à soulager les douleurs articulaires, à améliorer la souplesse des articulations et à combattre les inflammations. Elle peut donc être un soutien naturel intéressant pour les personnes souffrant de problèmes articulaires au moment de la ménopause.

Phytœstrogènes : bienfaits et dangers potentiels pour la santé des femmes

Les phytœstrogènes sont une alternative aux traitements hormonaux traditionnels prescrits au moment de la ménopause ou de la préménopause. Ces molécules complètements naturelles, issus de végétaux et de plantes comme le soja ou le houblon, ont un fonctionnement très similaire à celui des œstrogènes. Bouffées de chaleur, douleurs articulaires, mastodynies, sécheresse vaginale… Les phytœstrogènes peuvent soulager bon nombre de symptômes liés à la ménopause en rééquilibrant naturellement les taux d’œstrogènes dans l’organisme. Néanmoins, l’usage de ces œstrogènes naturels reste très controversé, nos experts vous expliquent tout. 

Quels sont les bienfaits des phytœstrogènes pour la santé des femmes ? 

Comme expliqué, les phytoœstrogènes peuvent être des alliés de taille pour soulager les symptômes de la préménopause et de la ménopause. En action, ces derniers, et essentiellement les isoflavones, grâce à leur forte ressemblance aux œstrogènes, se fixent aux récepteurs du système endocriniens pour agir comme les hormones sexuelles féminines. En d’autres termes, les phytoœstrogènes ont pour effet de limiter les variations hormonales, généralement en cause dans tous les symptômes de la ménopause. 

Les isoflavones, qu’est-ce que c’est ? C’est une famille de phytœstrogènes. Il en existe trois sortes : les coumestrans, les lignanes et les isoflavones. Ces derniers étant les plus répandus et faciles à trouver dans l’alimentation, comme dans le soja et les compléments alimentaires. Découvrez les avantages et les précautions avec les isoflavones.


En plus de soulager les symptômes de la ménopause comme les sueurs nocturnes ou encore les douleurs mammaires, les phytœstrogènes sont reconnus pour prévenir certaines maladies. En effet, selon certaines études cliniques aux résultats positifs, la prise de complément alimentaire à base de phytoœstrogènes pourrait limiter l’apparition d’ostéoporose en préservant le capital osseux et la matrice cartilagineuse.

Dangers et préoccupations potentiels

Il est tout de même important de préciser que les phytœstrogènes sont assez controversés, ce n’est en aucun cas une solution miracle aux désagréments liés à la ménopause. En effet, d’après bon nombre d’études, cette solution naturelle reste un composé hormonal pouvant avoir des effets secondaires sur l’organisme comme lors de la prise de traitements hormonaux de substitution. La prise de phytœstrogènes pourrait favoriser :

  • L’apparition de certains cancers sensibles aux œstrogènes comme le cancer du sein ou de l’utérus, cancers dits “hormonodépendants”.  
  • Des interactions médicamenteuses. Les phytœstrogènes réduisent les effets de certains traitements contre l’ostéoporose et le cancer.

Le saviez-vous ? Les cancers hormono-dépendants touchent des zones directement liées à l’activité hormonale et les hormones favorisent le développement des tumeurs, que ce soit chez les femmes ou chez les hommes.

Il faut préciser que ces derniers touchent principalement les femmes en préménopause ou en ménopause. En consommation excessive, chez les enfants, les adolescents ou encore chez les hommes adultes, les phytoœstrogènes peuvent avoir des effets sur le métabolisme comme l’infertilité.

Bien évidemment, il est recommandé de consulter votre médecin avant de vous supplémenter avec ce type d’actifs. Votre médecin traitant ou votre gynécologue pourra vous renseigner et vous conseiller au mieux suivant vos antécédents et vos besoins.

Conseils d’utilisation

Comme expliqué plus haut, il existe 2 sources de phytœstrogènes : l’alimentation et les compléments alimentaires. Voici tous nos conseils pour les intégrer à votre routine. 

Adopter une alimentation ciblée

Soja, sauge, lentilles, noix, brocoli, choux frisés, pois chiche… De nombreux aliments contiennent des phytœstrogènes. Il peut donc être intéressant au moment de la ménopause d’intégrer à votre régime alimentaire ces sources naturelles d’œstrogènes pour limiter les symptômes.

Pour des effets positifs et visibles sur l’organisme au moment de la préménopause ou de la ménopause, il est conseillé d’en consommer 40 à 80 mg. Un taux généralement difficile à atteindre, il représente une consommation de ½ litre de lait de soja par jour. Il peut donc être intéressant en supplément d’utiliser des compléments alimentaires pour vous assurer des apports suffisants.

Choisir le bon supplément 

Comprimé, gélule, stick à boire, formule à base d’isoflavone de soja ou de houblon, solutions enrichies en vitamines et oligo-éléments… Il existe plusieurs formes et formules de compléments alimentaires à base de phytoœstrogènes sur le marché de la nutraceutique. Ces compléments peuvent être pris quotidiennement pour aider à maintenir l’équilibre hormonal et atténuer les symptômes de la ménopause.

Prenez, tout de même, le temps de choisir la formule la plus adaptée à vos besoins et de la meilleure qualité possible, par exemple en privilégiant les formules à base d’ingrédients d’origine biologique. 

Pour vous aider à passer une ménopause en toute sérénité, il est aussi possible de se supplémenter avec des compléments alimentaires non hormonaux. Phytothérapie, nutriments essentiels… De nombreux actifs existent. Notre solution, Donaclim Ménopause ®, sa formule innovante et naturelle soulage les symptômes indésirables de la ménopause, le tout, sans hormones ni phytohormones.

Saviez-vous que l’huile d’onagre ne contient ni hormones ni phytohormones ? Cette particularité en fait un choix idéal pour celles et ceux qui souhaitent éviter les phytœstrogènes.

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Donaclim Ménopause : complément alimentaire pour atténuer les symptômes de la ménopause

Donaclim Ménopause® aide à équilibrer les fonctions psychologiques, favoriser la relaxation et retrouver un sommeil réparateur, grâce à sa formule complète.

En résumé, les phytoestrogènes peuvent être une option naturelle pour certaines femmes pour soulager les symptômes de la ménopause. Cependant, il est essentiel de consulter un professionnel de santé avant de commencer un traitement aux phytœstrogènes pour s’assurer de leur sécurité et de leur efficacité dans votre cas particulier. Ne l’oubliez jamais, nous sommes toutes différentes !

Préménopause et prise de poids : comprendre et gérer les changements corporels

Bouffées de chaleur, insomnies, sautes d’humeur… Vous êtes en pleine préménopause et pour couronner le tout, vous voyez les courbes de votre corps s’arrondir. Pas d’inquiétude, ce phénomène est très fréquent et touche de nombreuses femmes. Cette période est propice à la prise de poids et à l’apparition de quelques bourrelets. Mais pourquoi le corps change-t-il à cette période ? Comment prévenir les kilos en trop ? Découvrez toutes nos astuces dans cet article dédié. 

Pourquoi prend-on du poids à la préménopause ?

La préménopause est une phase de transition avant d’entrer en ménopause complète. Les ovaires continuent de libérer des œstrogènes, mais en quantité moins importante et très variable, ce qui peut entraîner certains changements et désordres métaboliques, physiques et psychiques. 

Bouffées de chaleur, sautes d’humeur, douleurs articulaires… Les symptômes associés à la préménopause sont bien connus, mais saviez-vous que cette étape de la vie d’une femme peut aussi engendrer une prise de poids et donc un mal-être ? Ce phénomène est une conséquence directe de toutes les variations hormonales subie par l’organisme. 

En détail, l’apparition de quelques kilos en trop à cette période de la vie d’une femme est le plus souvent dû à : 

  •  Une augmentation de la synthétisation de cortisol et d’insuline, deux hormones favorisant l’installation et l’accumulation de tissus adipeux.
  • Une synthétisation très variable des œstrogènes favorisant la rétention d’eau.
  • Une baisse de la production de testostérone, une hormone agissant sur la prise de masse musculaire, ce qui facilite le développement de masse graisseuse et la baisse du métabolisme de base. 
  • Un dérèglement de libération de leptine, l’hormone en charge de la satiété entraînant une augmentation de l’appétit. 

Le métabolisme de base, qu’est-ce que c’est ? C’est l’énergie dont a besoin le corps au repos, pour fonctionner correctement (respiration, fonctionnement des organes…). 

Il est important de préciser qu’il est aussi plus facile de prendre du poids avec l’âge, aussi bien pour les femmes que pour les hommes. En effet, en vieillissant, le corps consomme beaucoup moins d’énergie, en moyenne 100 à 200 calories en moins par jour, car le métabolisme de base ralenti. Ce ralentissement est, lui aussi, principalement dû à la baisse de la production hormonale et à la perte de masse musculaire. 

Les effets négatifs d’une prise de poids pendant la préménopause 

C’est bien connu, une prise de poids rapide et trop importante peut être dangereuse pour la santé, que ce soit pour les femmes comme pour les hommes, néanmoins, c’est encore plus vrai durant la préménopause. En effet, une prise de poids trop importante à cette période de la vie d’une femme peut avoir des effets négatifs sur sa santé. 

Globalement, ​​un excès de poids peut : 

  • Augmenter le risque de développer des maladies cardiovasculaires, telles que l’hypertension, l’hypercholestérolémie et les maladies vasculaires, à cause de la prise de masse grasse au niveau du ventre. La graisse viscérale est une mauvaise graisse, non essentielle au bon fonctionnement du corps. 
  • Favoriser les douleurs articulaires à cause de l’augmentation de la charge soutenue par les articulations, déjà fragilisées par les variations hormonales. 
  • Exacerber certains symptômes de la préménopause comme les bouffées de chaleur et les troubles du sommeil. 
  • Fragiliser les os et favoriser l’apparition d’ostéoporose. 

Prévenir la prise de poids à la préménopause

Mesdames, pas d’inquiétude, la prise de poids pendant la ménopause n’est en aucun cas une fatalité si vous adoptez les bonnes solutions, voici nos conseils : 

Limiter la perte de masse musculaire en pratiquant une activité physique régulière 

Le sport est indispensable pour une santé de fer, surtout au moment de la préménopause et de la ménopause. Pour prévenir l’installation de bourrelets disgracieux et une prise de poids trop importante à cette période, il est important de pratiquer une activité sportive, 2 à 3 fois par semaine. Cela permet d’activer le métabolisme pour ainsi brûler plus de calories et éviter l’installation des kilos en trop, mais aussi de préserver la masse musculaire pour freiner le ralentissement du métabolisme de base et donc la prise de masse graisseuse. 

Randonnée, natation, danse… L’important est de choisir une activité physique qui vous plaise pour vous y tenir et y prendre du plaisir. En effet, faire du sport est aussi l’occasion de se détendre et de faire baisser son taux d’hormone du stress, le cortisol, reconnu pour soutenir le stockage des graisses. 

Adopter un style de vie sain

En complément du sport, ajuster certaines de vos habitudes de vie est indispensable. Par exemple, il faudra être vigilant quant à votre régime alimentaire en évitant au maximum les aliments transformés riches en mauvaises graisses et en sucres ainsi que l’alcool, pour privilégier une alimentation équilibrée riche en fibres, en protéines et en nutriments essentiels. Par exemple, lors de fringales, évitez les gâteaux industriels et préférez les noix reconnues pour être riches en bons nutriments. Attention aux idées reçues, l’objectif n’est pas de vous priver, mais de choisir intelligemment les aliments que vous mangerez. Bien évidemment, il sera aussi crucial de faire attention à vous de manière plus globale, en dormant suffisamment et en vous accordant des moments de détente.  

Choisir le bon complément alimentaire 

Pour décupler l’effet de tous vos efforts et vous assurer de conserver une silhouette harmonieuse, que ce soit durant la préménopause ou pendant la ménopause, il est possible d’utiliser des capteurs de graisses. Ces compléments alimentaires minceurs captent directement les graisses ingérées au niveau de l’estomac pour diminuer l’apport calorique quotidien et donc le stockage des graisses. En action, ces suppléments contiennent des fibres naturellement capables de capter toutes les graisses. 

Notre complément minceur coup de cœur : Chitosan. Ce supplément capte toutes les graisses du bol alimentaire grâce à sa formule unique à base d’Ascophyllum Nodosum et de Chitosan. 

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En résumé, la prise de poids pendant la préménopause provient de phénomènes métaboliques complexes. Néanmoins, en suivant nos recommandations et en adoptant une alimentation équilibrée et une activité physique régulière, il est possible de prévenir la prise de poids à la préménopause de manière efficace et durable.